La plateforme d’open banking Tink et BNP Paribas annoncent le déploiement de leur partenariat en Europe. Tink devient ainsi le partenaire privilégié de BNP Paribas en Europe pour les technologies d’agrégation de comptes, d’initiation de paiements et de gestion des finances personnelles. Au-delà du partenariat existant entre Tink et BNP Paribas Fortis, le réseau de banque de détail de BNP Paribas en Belgique, Tink s’associe désormais avec le réseau de banque de détail italien de BNP Paribas, Banca Nazionale del Lavoro (BNL). Ce partenariat intervient quelques jours après la levée de fonds de 90 millions d’euros effectuée par Tink, à laquelle a participé BNP Paribas.
La plateforme d’open banking Tink et BNP Paribas annoncent le déploiement de leur partenariat en Europe. Tink devient ainsi le partenaire privilégié de BNP Paribas en Europe pour les technologies d’agrégation de comptes, d’initiation de paiements et de gestion des finances personnelles.
BNP Paribas a annoncé ce matin la nomination de Sofia Merlo comme directrice des ressources humaines et membre du comité exécutif du groupe à partir du mois de mai. Après une période de transition, elle succèdera en fin d’année à Yves Martrenchar, 62 ans, en poste depuis 2012 et entré dans le groupe en 1980. Co-responsable mondiale de la banque privée depuis fin 2011, Sofia Merlo est en charge des marchés domestiques de BNP Paribas (France, Luxembourg…) et ses filiales internationales de banque de détail.
La première banque suisse rabote son objectif de rentabilité après des performances en retrait. Une annonce qui préfigure les résultats de ses pairs européens.
UBS a revu à la baisse ce mardi ses projections à moyen terme, après avoir manqué ses principaux objectifs en 2019. La première banque suisse a parallèlement annoncé la cession d’une participation majoritaire dans UBS Fondcenter à Clearstream, un spécialiste des opérations post-marché qui appartient à Deutsche Börse. En réaction, le titre chutait de 5,5% dans les premiers échanges à la Bourse de Zurich.
Société Générale Securities Services (SGSS) a annoncé ce 20 janvierla nomination de Roberto Pecora en tant que directeur général et administrateur délégué de SGSS S.p.A. en Italie (SGSS en Italie). Robert Pecora est rattaché au conseil de direction de SGSS S.p.A. et travaillera en coordination avec David Abitbol, président du conseil d’administration de SGSS S.p.A. et directeur de Société Générale Securities Services (SGSS) et Alessandro Gumier, responsable banque de grande clientèle et solutions investisseurs en Italie. Basé à Milan, sa nomination est effective depuis le 1er janvier 2020. Roberto Pecora remplace Frédéric Barroyer, qui a été récemment nommé directeur épargne dans l’entreprise chez Société Générale Assurances. Roberto Pecora a plus de 20 ans d’expérience dans les activités de marché. Il était responsable des activités de marché en Italie depuis 2009 et dirigeait également les activités italiennes de Lyxor Asset Management. Depuis 2007, il était responsable actions et dérivés en Italie et précédemment responsable de la vente produits structurés actions, une position qu’il occupait depuis 2005. Il a débuté sa carrière en tant que gérant de portefeuille actions au sein du département de gestion d’actifs du Groupe Allianz. SGSS en Italie,avec plus de 6,981 milliards d’eurosd’actifs conservés, fournit des services post-marché aux investisseurs institutionnels : conservation et règlement, services dépositaires d’administration de fond, middle-office, gestion de liquidité, agent de transfert et gestion de risque et de performance.
Le fonds d’investissement britannique AnaCap serait sur les rangs pour reprendre l’activité de HSBC en France, dont le processus de vente aurait été lancé, selon Le Figaro. AnaCap a racheté en 2017 l’ex-filiale française de la banque Barclays, qu’il a depuis rebaptisée Milleis Banque. D’autres candidats ont manifesté leur intérêt pour cette filiale du géant britannique HSBC, lui-même en restructuration. La Banque postale, qui ambitionne de changer de dimension, serait «très intéressée» par le réseau de HSBC, complémentaire du sien, poursuit le quotidien. Elle aurait mandaté la banque britannique Barclays pour examiner l’opération. Crédit agricole, Crédit mutuel Alliance fédérale (ex-CM11-CIC) et BNP Paribas seraient aussi sur la liste, selon l’agence Bloomberg, tout comme les fonds d’investissement Apollo et Cerberus.
Les family offices ont réduit leur exposition aux hedge funds en 2019, l’allocation revenant de 28% en 2018 à 22,4% l’an dernier, selon la dernière étude publiée parPeltz International, rapporte le site spécialisé Opalesque. Au total, les family offices ont réduit leurs allocations aux investissements alternatifs alors qu’ils ont augmenté les poches dédiées aux actions et à l’obligataire. Les family offices ont investi en priorité dans les actions des pays développés, à hauteur de 30%, devant l’alternatif (25%), l’obligataire des pays développés (14%), les obligations émergentes (7%), le monétaire (7%) et les actions des pays émergents (5%). Dans l’espace alternatif, l’allocation la plus importante revient à l’immobilier, à hauteur de 30%, devant le private equity en direct (25%), les hedge funds (22%), les fonds de private equity (19%), les REIT (3%), et les matières premières (1%). Parmi les évolutions possibles dans le secteur des family offices, 83% des participants au sondage prévoient une augmentation significative des multi-family offices alors qu’ils sont seulement 61% à envisager une tendance similaire du côté du single-family offices. Les family offices envisagent par ailleurs d’investir en priorité dans les technologies (76%), devant l’ESG (72%), les co-investissements (68%), l’alternatif (48%) et les start-up (38%).
Barclays lance un plan social, qui porte sur une centaine de postes dans sa banque corporate ainsi que sa banque d’investissement, dans un contexte de réduction des coûts. La banque a déjà licencié le directeur général ainsi que des dirigeants à Londres et en Asie, selon Bloomberg, qui cite des sources proches. Jes Staley, le directeur général de la banque, a déclaré l’an dernier que Barclays allait supprimer 3.000 postes au second trimestre. Il avait néanmoins indiqué en octobre que «les perspectives de l’année prochaine (2020, NDLR) sont incontestablement plus stimulantes qu’il y a un an». Dans son rapport annuel de 2018, Barclays indiquait compter plus de 83.000 salariés dans le monde.
Barclays lance un plan social, qui porte sur une centaine de postes dans sa banque corporate ainsi que sa banque d’investissement, dans un contexte de réduction des coûts.
La banque suisse UBS a officialisé mercredi la promotion de Jérôme Pin comme responsable du département de fusions-acquisitions midcaps au sein de sa banque privée en France. Il succède à Fabrice Scheer qui dirigeait l’activité depuis 2008. Tous deux avaient quitté le cabinet d’audit EY en 2005 pour rejoindre UBS. Fabrice Scheer a été recruté par la banque d’affaires espagnole Alantra pour renforcer son bureau parisien. Dans le M&A large caps, UBS France a récemment affirmé de nouvelles ambitions sous la houlette du spécialiste des télécoms Régis Turrini, après le vide laissé par le départ de Grégoire Haemmerlé chez Citi en 2018.
La banque suisse UBS a officialisé ce matin la promotion de Jérôme Pin comme responsable du département de fusions-acquisitions midcaps au sein de sa banque privée en France. Il succède à Fabrice Scheer qui dirigeait l’activité depuis 2008. Tous deux avaient quitté le cabinet d’audit EY en 2005 pour rejoindre UBS. Fabrice Scheer a été recruté par la banque d’affaires espagnole Alantra pour renforcer son bureau parisien.
UBS a commencé à supprimer des postes dans sa branche gestion du patrimoine, en Asie et en Europe. Elle a déjà coupé 20% de ses effectifs dans certaines équipes européennes, et certaines couches de management en Asie, pour rendre les clients plus proches des décideurs, selon l’agence Bloomberg, qui cite des sources proches. Si UBS n’a pas communiqué sur le nombre de postes affectés, Bloomberg estime que cela pourrait toucher 500 salariés. Dans ce cadre, UBS démantèle une entité dédiée aux ultra riches, et divise l’activité de gestion de patrimoine pour la zone EMEA (Europe, Afrique et Moyen-Orient) dans trois régions.
La banque allemande Aareal Bank est disposée à vendre son activité de logiciels Aareon dans le moyen terme, mais résistera à l’appel d’un investisseur activiste pour l’effectuer dans l’immédiat, selon Reuters, qui cite une source proche. Nous allons «développer une forte proposition de valeur indépendante en tant qu’entreprise logicielle avec une position autonome sur le marché», indique Aareal dans un communiqué. Elle compte doubler ses résultats à moyen terme, en développant son activité numérique et via des acquisitions. Aareal a étudié plusieurs options sous la pression de l’investisseur activiste Teleios, mais en novembre dernier, a choisi de ne pas vendre une majorité de ses parts.
La troisième banque américaine a fait des progrès dans son activité de banque d’entreprise: sa part de marché dans le conseil, le syndicat de financement, les fonds propres et la dette est passée de 4,9% à 5,1% entre 2018 et 2019, selon des données de la plateforme de marchés financiers Dealogic. Citigroup s'était battue pour décoller alors qu’elle doit encore obtenir des parts de marché significatives face à des concurrents tels que JPMorgan Chase & Co, Goldman Sachs Group, et Morgan Stanley.
Carrefour Banque, filiale bancaire du distributeur français, recentre ses activités dans le crédit et le paiement, a déclaré à l’AFP une dirigeante du groupe, confirmant des informations de presse. Son offre bancaire C-zam fait l’objet d’une «revue stratégique» avant une décision au printemps. Selon les données fournies par le distributeur, le nombre de comptes C-zam atteignait 120.000 à fin 2018. Nickel, son concurrent le plus direct, détenu majoritairement par BNP Paribas, revendique 1,5 million de clients à fin 2019. Carrefour Banque a déjà élagué ses activités avec l’arrêt en novembre de la commercialisation de son contrat d’assurance vie en fonds euros, Carrefour Horizon, à la rémunération nette de 2,44% en 2018.
Carrefour Banque a arrêté, le 31 octobre dernier, la commercialisation de son contrat d’assurance-vie multisupport, Carrefour Horizons. La filiale bancaire, codétenue par Carrefour (60%) et BNP Paribas (40%) veut recentrer ses activités, selon Les Echos. Cela pose la question de l’avenir du compte courant C-Zam, un coffret à 5 euros (plus 1 euro par mois), lancé en grande pompe en avril 2017, sur le modèle du Compte-Nickel. Carrefour Banque pourrait notamment se repositionner sur l’existant, son écosystème autour de la carte Pass Mastercard.
Citigroup et Morgan Stanley étaient dans le rouge lundi à Wall Street, alors que l’analyste de Deutsche Bank Matt O’Connor a abaissé sa recommandation sur les deux titres d'«acheter» à «conserver». L’analyste se dit préoccupé par les perspectives économiques et s’attend à ce que la croissance des revenus des deux banques reste «poussive». Il juge que Citigroup continue de rencontrer des difficultés dans la banque de détail, et que Morgan Stanley aura davantage de difficultés à réaliser des économies dans la gestion de fortune. Elle avait annoncé, en décembre dernier, supprimer 1.500 postes. L’action Citigroup perdait 0,7%, puis clôturait à -0,29%, à 79,46 dollars, tandis que Morgan Stanley abandonnait 1%, et remontait à -0,37%, à 51,01 dollars.
Citigroup prévoit de recruter 2.500 développeurs informatiques cette année pour sa banque d’investissement, selon l’agence Bloomberg. Ils s’ajouteront aux 23.000 experts en informatique déjà au sein de ses effectifs. Ces embauches seront réparties un peu partout dans le monde (New York, Londres, Shanghai, Chennai, etc). A la fin du troisième trimestre 2019, Citigroup comptait 199.000 salariés dans le monde. Les grandes banques américaines multiplient les investissements pour gérer leur transformation numérique du secteur financier. JP Morgan y consacre 11 milliards de dollars par an, Bank of America 10 milliards et Citigroup 8,5 milliards.
Citigroup et Morgan Stanley s’inscrivent légèrement dans le rouge lundi à Wall Street, alors que l’analyste de Deutsche Bank Matt O’Connor a abaissé sa recommandation sur les deux titres d'«acheter» à «conserver». L’analyste se dit préoccupé par les perspectives économiques et s’attend à ce que la croissance des revenus des deux banques reste «poussive». Il juge que Citigroup continue de rencontrer des difficultés dans la banque de détail et dispose d’une flexibilité moindre en matière de coûts.
Candidat au rachat de la banque allemande Bankhaus Lampe, Oddo BHF n’est plus en lice, selon le site allemand Finanz-Szene. La banque française n’a pas reçu de réponse à son offre, a appris L’Agefi un source proche du dossier. Selon Finanz-Szene, le groupe agroalimentaire Oetker, propriétaire de Bankhaus Lampe, a réduit le nombre des repreneurs potentiels à un ou deux établissements. En octobre, le chinois Fosun et le néerlandais ABN Amro étaient cités au côté de Oddo BHF par la presse allemande. Ils possèdent déjà des banques privées en Allemagne. Fin 2018, Bankhaus Lampe gérait environ 19 milliards d’euros d’actifs.
La Finma, l’autorité de surveillance des marchés financiers helvétique, veut clarifier les questions de gouvernance au sein de la banque, après une affaire d’espionnage de dirigeants. Elle a annoncé vendredi la nomination d’un chargé d’audit indépendant auprès du groupe bancaire. Il devra notamment «clarifier les questions de gouvernance d’entreprise, notamment dans le contexte des activités de filature». Le régulateur rendra ses conclusions publiques. Cette affaire a éclaté en septembre dernier avec la révélation de filatures menées par la banque helvétique auprès d’un ex-dirigeant, Iqbal Khan, parti rejoindre UBS.
Candidat au rachat de la banque allemande Bankhaus Lampe, Oddo BHF n’est plus en lice, selon le site allemand Finanz-Szene. La banque française n’a pas reçu de réponse à son offre, a appris L’Agefi un source proche du dossier, qui en a conclu qu’Oddo BHF n’a pas été retenu par le vendeur. Selon Finanz-Szene, le groupe agroalimentaire Oetker, propriétaire de Bankhaus Lampe, a réduit le nombre des repreneurs potentiels à un ou deux établissements. En octobre, le chinois Fosun et le néerlandais ABN Amro étaient cités au côté de Oddo BHF par la presse allemande. Tous trois possèdent déjà des banques privées en Allemagne.
BNP Paribas pourrait transférer de Paris à Genève 75 postes de son activité de financement du négoce des matières premières, dans le cadre d’un plan de consolidation de son département de solutions pour le commerce spécialisé dans la région Europe, Moyen-Orient et Afrique (EMEA), selon Reuters. Son département de financement des matières premières peine à être rentable depuis que ses opérations ont été réduites à la suite d’une amende de 8,9 milliards de dollars (8,0 milliards d’euros) infligée en 2014 pour violation d’embargos américains. Alors qu’une source citée par Reuters évoque le transfert d’environ 75 postes de Paris vers Genève dans le cadre d’une réorganisation, BNP Paribas assure qu’il n’y aura aucun licenciement dans la capitale française.
BBVA a annoncé jeudi qu’elle allait passer au quatrième trimestre une charge de dépréciation de 1,5 milliard de dollars (1,35 milliard d’euros), qui reflétera l’impact de la baisse des taux d’intérêt et celui du ralentissement économique. Selon la banque espagnole, l’ajustement négatif de la survaleur de sa filiale américaine aura un impact moindre qu’attendu sur ses bénéfices futurs. Les activités américaines de BBVA représentent environ 10% de ses bénéfices. Au cours des neuf premiers mois de l’exercice fiscal en cours, la banque a dégagé un bénéfice net en baisse de 17% par rapport à la même période l’an dernier.
L’ancienne directrice commerciale de Neuflize-OBC a lancé HâpyFew en juin dernier, Le multi-family office est centré sur le conseil plutôt que sur la gestion financière avec une rémunération 100 % honoraires