Des poids lourds de la cote comme Apple, Pfizer, AMD, BMW ou Stellantis, publieront leurs résultats. Les comptes de plusieurs banques, dont la Société Générale et HSBC, sont également attendus.
Le comité de politique monétaire nippon, qui se réunit les 30 et 31 octobre, dispose de nombreux leviers pour signaler un léger resserrement tout en gardant son taux directeur négatif.
Les investisseurs ont de nouveau testé ce seuil après l’avoir dépassé en début de semaine. Outre la résilience de l’économie américaine, ses besoins de financement font décoller les taux.
Le regain de tension au Proche-Orient aura des conséquences sur l’économie israélienne, avec une augmentation des dépenses publiques et de la dette, et un risque de stagflation. La banque centrale se concentre sur la stabilité du système financier.
La somme sera versée par Engie à l’Etat belge. Elle sera gérée à long terme via une structure nommée Hedera de façon à dégager suffisamment de ressources pour financer le traitement des déchets radioactifs.
Le PIB américain a augmenté de 4,9% entre juillet et octobre en rythme annualisé, plus que prévu par les économistes, confirmant la résilience de l’économie malgré les taux élevés.
L'arme fiscale choisie par l'administration Biden s'est avérée redoutablement efficace pour stimuler l'investissement privé, estime Didier Borowski, responsable de la recherche sur les politiques macroéconomiques d'Amundi Institute.
Les places boursières ont jusque-là bien résisté au regain de risque. L’histoire montre qu’après le choc initial, les actions se reprennent rapidement et affichent des gains après un an.
Dans ses prévisions budgétaires initiales, Bruxelles tablait sur une augmentation des taux très inférieure aux niveaux actuels. Ses propositions seront discutées lors du Conseil européen des 26 et 27 octobre.
Le krach de la fintech CAB Payments, introduite en juin sur le London Stock Exchange et qui a perdu les trois quarts de sa valeur cette semaine, ternit un peu plus le blason de Londres comme place de cotation. Depuis le Brexit, la City ne parvient plus à tenir son rang de destination mondiale pour les introductions en Bourse.
Alors que les déséquilibres économiques se sont aggravés, le président turc s’est résolu à une politique économique et monétaire plus orthodoxe. Les investisseurs restent prudents.
Après une tribune signée par Emmanuel Faber dans «Le Monde» du 10 octobre, attaquant la validité des normes extra-financières européennes, les partisans de la feuille de route de l'Union contestent sa vision, jugée à la fois trop financière et sans réelle efficacité.
Bruxelles veut alléger la myriade de normes de reporting récemment créées. Le cadre européen en matière de finance durable risque de faire les frais de cette nouvelle priorité, que certains jugent souhaitable sur le plan de la compétitivité.
Qualifié pour le second tour face au péroniste Sergio Massa, le candidat antisystème, Javier Milei, veut créer un électrochoc économique en imposant le dollar comme monnaie.
Le rendement de l’obligation souveraine a touché un nouveau plus haut depuis 2007, un peu plus d’une semaine avant la réunion de la Fed. De son côté, l’Euro Stoxx 50 est tombé temporairement sous 4.000 points.