L’autorité de surveillance financière britannique, la Financial Conduct Authority (FCA), tire la sonnette d’alarme. Dans un communiqué publié jeudi, la FCA explique «s’inquiéter du fait, qu’en raison de la pression exercée sur le budget des ménages, certains clients pourraient réduire les assurances dont ils ont besoin et se retrouver sans protection». L’institution, qui précise avoir écrit aux dirigeants du secteur de l’assurance pour leur demander de vérifier que les clients ne sont pas confrontés à des produits inutiles ou des pénalités injustes, affirme qu’elle interviendra rapidement pour protéger les clients en cas de mauvaises pratiques. «Nous avons un secteur de l’assurance florissant et efficace, et nous voulons que les gens obtiennent la couverture dont ils ont besoin à un coût qu’ils peuvent se permettre, afin que les entreprises et les clients en bénéficient», explique Sheldon Mills, directeur exécutif, consommateurs et concurrence.
Les négociations annuelles obligatoires (NAO) ont débuté de manière anticipée. Tandis que les syndicats réclament des mesures salariales pérennes, les banques essaient de limiter leurs coûts.
19 degrés, telle est la température (en vogue et d’ailleurs prévue « en moyenne » par le législateur) maximale à laquelle seront chauffés cet hiver les locaux de CNP Assurances (16 °C pour son site de repli). L’assureur s’y est engagé, tout comme il n’allumera pas, la nuit, son enseigne lumineuse sur le périphérique parisien. Deux mesures dans le cadre d’efforts structurels déployés pour diminuer de 30 % entre 2022 et 2023 la consommation d’électricité des locaux du groupe en France. Un horizon passant par l’adhésion à la démarche EcoWatt portée par RTE (Réseau de transport d’électricité) et l’Agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (Ademe). La baisse de consommation sera même des deux tiers pour la seule Ile-de-France, notamment après le déménagement fin 2022 du siège social. Au sein duquel les collaborateurs seront invités à pédaler pour faire fonctionner leurs ordinateurs. Mais non, ce n’est pas prévu. Pour l’instant.
Les banques de Wall Street vont devoir adapter leur compliance à l’utilisation du service de messagerie instantanée Whatsapp. Seize banques, dont Citigroup, Goldman Sachs, Bank of America, Deutsche Bank, Barclays, Morgan Stanley, Credit Suisse et UBS, ont été condamnées par le gendarme boursier américain à une amende cumulée de 1,1 milliard de dollars pour ne pas avoir gardé de trace des échanges réalisés par leurs employés avec des collègues ou des clients sur leurs téléphones personnels. Elles ont ainsi violé des lois fédérales destinées notamment à garantir «la confiance» dans le système bancaire. «En manquant à leurs obligations, ces acteurs de marché n’ont pas réussi à maintenir cette confiance», met en avant le président de la SEC Gary Gensler dans un communiqué. Onze banques parmi les seize ont, par ailleurs, écopé d’une amende cumulée de 710 millions de dollars infligée par la Commodity Futures Trading Commission, chargée de garantir l’intégrité des marchés de dérivés. Au total, la facture s'élève pour les géants de Wall Street à 1,8 milliard de dollars. Bank of America, Citigroup, Goldman Sachs et Morgan Stanley sont déjà à la manoeuvre pour revoir leurs processus de conformité et ont engagé un consultant extérieur.
Mutex, assureur du groupe Vyv spécialiste de la prévoyance, de l’épargne et de la retraite, et Shift Technology, fournisseur de solutions d’automatisation et d’optimisation des décisions basées sur l’intelligence artificielle pour le secteur de l’assurance, ont annoncé mercredi un partenariat pour «piloter au mieux les régimes en prévoyance , et notamment lutter plus efficacement contre la fraude». «La solution de détection de fraude de Shift appliquée à la prévoyance doit permettre à Mutex de détecter avec pertinence et précision les dossiers frauduleux, et de bloquer tout versement d’indemnités lié à un sinistres suspect», expliquent les deux entreprises dans un communiqué. Shift Technology, assurtechtricolore qui s’est muée en licorne en 2021 après avoir levé 220 millions de dollars (210 millions d’euros), identifie les déclarations potentiellement frauduleuses à l’aide de l’intelligence artificielle grâce à l’analyse de milliers de cas préexistants.
La Banque centrale européenne (BCE) a ouvert mercredi une consultation publique sur un projet de guide relatif à sa manière d’évaluer « les acquéreurs de participations qualifiées dans les banques ». Dès lors qu’un actionnaire détient plus de 10% d’une banque ou qu’il exerce une influence « significative » sur celle-ci, sa participation est réputée « qualifiée » et est donc soumise à l’approbation de la BCE. Cela est aussi le cas lorsqu’un actionnaire dépasse les seuils de 20 %, 30% ou 50 % du capital ou des droits de vote d’une banque. La BCE précise que ce guide a pour objectif « d’accroître la transparence vis-à-vis des intervenants de marché ». Cette publication explique qui a l’obligation de se soumettre aux évaluations des participations qualifiées, quelle est la documentation requise pour faire une demande et comment la BCE évalue ces transactions. Ce guide complétera celui relatif à l’approche prudentielle de la consolidation dans le secteur bancaire publié en 2021. Les banques, les investisseurs et les autres acteurs impliqués dans les acquisitions bancaires devront formuler leurs commentaires avant le 9 novembre.
Mutex, assureur du groupe Vyv spécialiste de la prévoyance, de l’épargne et de la retraite, et Shift Technology, fournisseur de solutions d’automatisation et d’optimisation des décisions basées sur l’intelligence artificielle pour le secteur de l’assurance, ont annoncé mercredi un partenariat pour «piloter au mieux les régimes en prévoyance , et notamment lutter plus efficacement contre la fraude». «La solution de détection de fraude de Shift appliquée à la prévoyance doit permettre à Mutex de détecter avec pertinence et précision les dossiers frauduleux, et de bloquer tout versement d’indemnités lié à un sinistres suspect», expliquent les deux entreprises dans un communiqué. Shift Technology, assurtechtricolore qui s’est muée en licorne en 2021 après avoir levé 220 millions de dollars (210 millions d’euros), identifie les déclarations potentiellement frauduleuses à l’aide de l’intelligence artificielle grâce à l’analyse de milliers de cas préexistants.
La Banque centrale européenne (BCE) a ouvert mercredi une consultation publique sur un projet de guide relatif à sa manière d’évaluer « les acquéreurs de participations qualifiées dans les banques ». Dès lors qu’un actionnaire détient plus de 10% d’une banque ou qu’il exerce une influence « significative » sur celle-ci, sa participation est réputée « qualifiée » et est donc soumise à l’approbation de la BCE. Cela est aussi le cas lorsqu’un actionnaire dépasse les seuils de 20 %, 30% ou 50 % du capital ou des droits de vote d’une banque.
Les banques de Wall Street vont devoir adapter leur compliance à l’utilisation du service de messagerie instantanée Whatsapp. Seize banques, dont Citigroup, Goldman Sachs, Bank of America, Deutsche Bank, Barclays, Morgan Stanley, Credit Suisse et UBS, ont été condamnées par le gendarme boursier américain à une amende cumulée de 1,1 milliard de dollars pour ne pas avoir gardé de trace des échanges réalisés par leurs employés avec des collègues ou des clients sur leurs téléphones personnels.
CNP Assurances a annoncé mardi le lancement de la première offre 100% dématérialisée de son partenaire Alpheys sur les nouveaux contrats Eyden 2 Vie et Capi de CNP Patrimoine. Proposée en BtoB, l’offre Eyden 2 bénéficie de plusieurs évolutions. Les seuils d’accès ont été adaptés pour répondre aux attentes de la clientèle de la gestion privée. Un nouveau mode de gestion pilotée viendra prochainement s’ajouter à la gestion sous mandat personnalisée. Plateforme de référence sur le marché des professionnels du patrimoine avec 1000 partenaires conventionnés, le groupe Alpheys a développé en complément un outil moteur d’allocation pour construire tout ou partie des allocations adaptées aux besoins des clients de conseillers en gestion de patrimoine.
Le chancelier de l’Echiquier a rencontré les dirigeants de la City, au lendemain du plongeon de la livre sterling. L’incertitude règne sur la réponse de la BoE.
La révision de leur cadre fiscal, qui pourrait venir d’un amendement déposé dans les prochaines semaines au projet de loi de Finances pour 2023, se fait attendre.
Au nom de l’attractivité, le Haut comité juridique de la Place de Paris juge opportun d’autoriser les droits de vote multiples, uniquement lors de l’entrée en Bourse.
Les grandes entreprises ont atteint un niveau élevé de maturité et de transparence, mais ne doivent pas tarder à anticiper la mise en œuvre de la directive CSRD.
La multiplication des rumeurs et informations de presse pousse la direction de la banque suisse à réagir, a minima. En Bourse, l'action ne se redresse pas.
A la veille de la fusion des réseaux Société Générale et Crédit du Nord, les syndicats représentatifs jouent le rapport de force pour obtenir une augmentation générale conséquente.