Après une première semaine mitigée, les spreads de crédit se détendent malgré des montants records de nouvelles obligations. Mais les investisseurs restent vigilants.
Les prix semblent repartir à la hausse dans le résidentiel au Royaume-Uni tandis que les ménages suédois sont rassurés par la pause de la banque centrale.
Le risque est celui d’un enlisement. De la durée de la situation dépendront les effets sur l’inflation, la croissance et les résultats des entreprises.
Le PIB a progressé de 0,3% sur un mois, effaçant la contraction d’octobre. Une récession technique mais très légère se profile. Certains économistes croient au rebond en 2024.
Le bal des comptes annuels débute vendredi à Wall Street. Le consensus des analystes a fortement ajusté ses prévisions qui semblent trop pessimistes pour les comptes 2023. Les résultats pourraient surprendre positivement. Mais cela ne devrait pas être un catalyseur suffisant pour Wall Street.
L’écart de valorisation entre les indices boursiers et leurs versions équipondérées n’a jamais été aussi élevé, illustrant la concentration des performances sur un petit nombre de valeurs et le potentiel de larges pans du marché.
Après la bonne performance de 2023, accentuée par le rallye de la fin de l’année, les investisseurs sont plus prudents sur les actions, notamment américaines, et vendent le secteur qui en a le plus profité.
Après des ventes au détail décevantes, la production industrielle outre-Rhin surprend à la baisse en novembre. Les économistes anticipent un quatrième trimestre en contraction alors que décembre ne s'annonce guère mieux. Le début d’année risque également d’être défavorable.