Nos articles d'actualité et d'analyse sur l'économie chinoise, son évolution, ses perspectives et son impact sur les principales institutions financières.
Le marché primaire a débuté l’année en force, profitant de la forte demande des investisseurs. Mais les faibles primes d’émission se répercutent parfois sur les prix après l’émission.
La dernière émission d’obligations à 10 ans de la Grèce a été placée avec un rendement toujours supérieur aux OAT, mais dans la nouvelle hiérarchie des dettes dans la zone euro, la France n’est pas la mieux placée.
L’indice des prix à la consommation a légèrement ralenti en décembre alors que le marché s’attendait à un chiffre stable, offrant la possibilité à la Banque d’Angleterre de baisser ses taux.
En une semaine, 15 milliards d’euros ont été émis par des corporates sur le marché euro. Tous les segments étaient ouverts, malgré les turbulences sur les marchés de taux.
La récente hausse des taux montre que le gouvernement britannique a épuisé sa faible marge budgétaire. Rachel Reeves, la ministre des Finances, va devoir annoncer des mesures d’ajustement pour stopper l’hémorragie sur les marchés.
Les investisseurs craignent un retour du rendement des Treasuries à 10 ans américains sur le niveau de 5%, ce qui pourrait accentuer la correction à Wall Street et entraîner l’ensemble des places boursières.
L’exceptionnalisme américain continue de guider les marchés, et la politique économique de Donald Trump aimante toute l’attention. Certains investisseurs gardent espoir sur l’Europe, voire sur la Chine.
Moins nombreuses mais tout aussi clés, les élections en Allemagne, au Canada mais aussi dans certains pays en Europe de l’Est ou en Amérique latine pourraient engendrer de la volatilité sur les marchés financiers.