Virginie quitte sa région lilloise au début des années 2000 pour rejoindre Paris et le monde de l’analyse financière. Elle plonge finalement dans l’univers du journalisme, qu’elle ne quittera plus. Elle débute chez Option Finance et suit tous les rythmes de la presse écrite : agence, quotidien, hebdomadaire… Ses sujets de prédilection : la banque, l’assurance et le private equity, secteur qu’elle couvre depuis plus de quinze ans et sur lequel elle se concentre désormais plus particulièrement à L’Agefi.
Le véhicule, qui a collecté 300 millions d’euros auprès d’investisseurs tels qu’HarbourVest et Schroders, vise à réinvestir en minoritaire dans deux actifs du gérant, cédés à TA Associates et Stirling Square Capital Partners.
Noëlla de Bermingham, présidente de la Commission Sustainability de France Invest, livre à L’Agefi les avancées du secteur sur les aspects environnementaux, sociaux et de gouvernance.
En souscrivant à une augmentation de capital de 3 millions d’euros, le repreneur détiendra l’intégralité du capital du gérant, dont la maison-mère est en redressement judiciaire.
Exclusif - Les deux sociétés d’investissement, qui prennent une part minoritaire dans l’entreprise familiale, accompagneront le passage de flambeau entre la quatrième et la cinquième génération.
La société d’investissement, qui fête ses cinq ans, vient par ailleurs d’annoncer le premier closing de son fonds de deuxième génération, à 150 millions d’euros.
L’investisseur prend une participation de 35% dans le groupe de restaurants, via un investissement de 30 millions d’euros incluant une augmentation de capital de 20 millions.
Pour cette nouvelle stratégie, la société d’investissement lève un fonds visant 300 millions d’euros, pour lequel un premier closing vient d’être réalisé à hauteur de 150 millions d’euros.
Le gérant canadien, qui avait levé le mois passé le plus important véhicule de dette dédié à la classe d’actifs, vient de boucler un fonds equity de 28 milliards de dollars.
Lancée officiellement ce 29 novembre, l’association France Deeptech entend mieux répondre aux besoins de financement des pépites françaises, estimés à 12 milliards d’euros entre 2024 et 2026. Avec pour objectif l'émergence de champions d'envergure internationale.