La société de gestion italienne Anima Holding a procédé à quelques changements au niveau de sa direction. Ainsi, Davide Sosio, ancien directeur financier du groupe et directeur des ressources humaines, prend le poste nouvellement créé de directeur des opérations et directeur des ressources humaines. Il reste dirigeant stratégique. Parallèlement, Marco Pogliani, anciennement chef de la division Planification et Fusions et Acquisitions, assume le rôle de directeur financier du groupe et acquiert le titre de directeur général stratégique.
Amundi annonce un léger changement à son logo. Le visuel de la marque ne change pas mais cette dernière était jusqu’alors accompagnée par les termes «Asset Management» accolés au nom d’Amundi. Le logo sera désormais identifié avec les termes «Investment Solutions». « Ce nouveau logo a pour ambition de refléter davantage le large éventail de solutions qu’Amundi développe pour ses clients en matière d’investissement à travers la gestion financière, la gestion administrative, la tenue de comptes et les services technologiques et digitaux », explique la société dans un communiqué.
À partir de début juillet, Rob Karofsky et Iqbal Khan assumeront conjointement la direction de la division Global Wealth Management d'UBS. Une nouvelle subdivision, GWM Solutions, sera dirigée par Yves-Alain Sommerhalder.
Le géant suédois du prêt-à-porter a également publié des résultats trimestriels inférieurs aux attentes et risque d'avoir du mal à atteindre son objectif de rentabilité sur l'ensemble de l'exercice.
Le constructeur allemand se rapproche du fabricant allemand de véhicules électriques avec qui il va créer une coentreprise. L'action Rivian a ouvert en forte hausse.
Le hedge fund Evolution a déclaré dans des documents judiciaires qu’il pensait que son ancien employé Robert Gagliardi était lié à plusieurs des transactions examinées par les autorités américaines dans le cadre des enquêtes qui ont conduit Morgan Stanley à payer une amende de 249 millions de dollars en janvier, rapporte le Financial Times. Evolution a fait ces déclarations au sujet de Robert Gagliardi dans le cadre d’un procès que ce dernier a intenté à Londres pour réclamer un bonus de 7,5 millions de dollars après son départ de l’entreprise.