Rédacteur en chef L'Agefi Patrimoine/Gestion Privée
L’économétrie, les calculs d’écart-type, de variance et de covariance ont été assez vite éclairants. La vie de Jean-François ne se ferait pas là. Et comme écrire est sa passion, marqué au fer d’études économiques, c’est dans ce sillon qu’il creusera. Sa mine – de stylo s’entend – glissera d’abord au Figaro Economie, puis au Journal des Finances, Investir, Mieux-Vivre et La Vie Financière. L’antre de L’Agefi s’ouvre alors : NewsManagers, avant L’Actifs en 2016. Avec une coloration «placements» et «fonds d’investissement» marquée, il y parle d’argent et explique comment en gagner. Même si, tout cela est un peu paradoxal, il dépense sans compter en sortant billet après billet…
Un avis de convocation a été envoyé aux actionnaires d'Amundi pour son assemblée générale ordinaire et extraordinaire qui se tiendra le jeudi 16 mai 2019
Piloter en lâchant les rênes. Ne plus prendre la main. C’est ainsi que semble se dessiner l’avenir de la gestion collective, comme le démontre le poids croissant des ETF et des fonds indiciels dans le paysage, au détriment de la gestion active. Bien sûr, il est ici question d’une photo globale, incluant aussi bien la part institutionnelle où ces fonds règnent en maître, que celle de la distribution où leur présence est moins forte - mais où ils gagnent désormais des parts de marché. Tout de même, le message est clair. Le monde se transforme, il évolue. Jadis, les gérants ont tissé des liens avec leurs clients en leur racontant des histoires. Mais de belles histoires. Celles d’entreprises sur des marchés en devenir et promises au statut de pépites de la côte. Ces schémas perdurent sur certains marchés qui se singularisent par leur profondeur et leur inefficience. C’est le cas naturellement pour des catégories de fonds qui travaillent des petites et moyennes capitalisations à l’échelle du Continent ou des Etats-Unis. Mais la gestion active a semble-t-il perdu une bataille majeure au sein des catégories reines de la classe d’actifs « actions ». La faute pour cette dernière à des coûts nettement plus élevés comparés à ceux des fonds indiciels. La faute également à cette main de l’homme qui peut flancher, et qui permet à la gestion indicielle de truster au long cours les classements sur les marchés d’actions américains, et désormais sur les places financières de ce côté-ci de l’Atlantique. Bien sûr, on peut trouver chaque année une (petite) proportion de fonds qui battent leur indice, catégorie par catégorie. Mais non seulement leur nombre est faible, mais l’espoir que leurs bons résultats se réalisent à nouveau l’année suivante est très mince. Bref, en termes statistiques, il n’existe pas de persistance de la surperformance. Au sein des classes d’actifs obligataires, la gestion active pourrait avoir son lot de consolation en s’affichant incontournable. Mais cette victoire ne fera pas illusion. Si elle brille, c’est avant tout parce que les indices en question ne peuvent se répliquer en l’état.
Carmignac a nommé Marie-Anne Allier en tant que co-gérante des fonds obligataires européens Carmignac Sécurité et Carmignac Portfolio Sécurité. Elle prendra ses fonctions chez Carmignac le 29 avril et reportera à Rose Ouahba, responsable de l’équipe obligataire chez Carmignac. Elle sera basée à Paris et travaillera avec Keith Ney, gérant de Carmignac Sécurité depuis 2013 et co-gérant de Carmignac Portfolio Patrimoine Europe avec Mark Denham, responsable des actions européennes.
Il s'agit d'une liste de nouveaux sites internet identifiés proposant en France d’investir dans des biens divers sans disposer des autorisations nécessaires,