Journaliste économique à L’Agefi – couverture des valeurs technologiques, innovation, télécoms, IPO, Gafa... –, Capucine est passée notamment par Challenges et Stratégies.
A l’approche de l'assemblée générale du groupe de télécoms italien, deux fonds turbulents proposent des listes alternatives à celle du conseil d'administration sortant. Bluebell Capital avance le nom de Laurence Lafont, une cadre dirigeante de Google, pour remplacer Pietro Labriola.
La Chine soutient l'inauguration sur ses terres d'un vaste centre de conception de puces de pointe par Huawei. Les Etats-Unis nouent un partenariat stratégique avec le Japon, avec l'aide de plusieurs géants technologiques américains.
Les rapporteurs de la mission d’information consacrée au groupe français de services numériques suggèrent cette piste dans un communiqué. Le président et le directeur général actuels d'Atos étaient auditionnés par celle-ci, mercredi 10 avril.
L’ancien directeur général d'Atos Nourdine Bihmane rejoint Konecta, géant espagnol des centres d'appels, prestataire téléphonique des Jeux olympiques de Paris 2024.
En quête d'argent frais et d'un bilan remodelé, l'ex-champion informatique français dévoile ses besoins de restructuration financière. L’Etat avance ses pions, avec un coup de pouce intéressé qui lui assure une action de préférence dans la filiale Bull. Une «première étape», avertit Bercy.
La société d’investissement de l'homme d'affaires a annoncé, dimanche 7 avril, soutenir le projet stratégique de David Layani pour Atos. Le groupe d’informatique présentait, lundi 8 avril en fin de journée, un schéma de réduction de sa dette.
Le numéro un mondial des puces mémoires prévoit un rebond de son bénéfice pour le premier trimestre. Il annonce en outre vouloir investir 44 milliards de dollars dans une unité de production au Texas.
Les débris spatiaux issus des satellites envoyés en orbite au-dessus de la Terre représentent un nouvel enjeu. Une poignée de start-up s'en emparent, et une ébauche de législation émerge.
L’Europe peine à maintenir son rang dans la conquête spatiale face à la concurrence des géants technologiques américains et d’une poignée de milliardaires. La Nasa et l’Agence spatiale européenne (ESA) en viennent à collaborer avec des start-up ou avec le nouvel acteur incontournable, Elon Musk.
Starlink, Eutelsat-OneWeb, bientôt, Kuiper, et Iris² : ces différents réseaux de satellites se font concurrence pour fournir l’internet haut débit sur toute la planète. Mais les européens ont peu de moyens face aux nouveaux acteurs américains.