De formation juridique, Bruno a rejoint L’Agefi au début du siècle, du temps du quotidien papier avant sa rapide mutation dans le monde du numérique. Il suit plus particulièrement les sujets de gouvernance, d’assemblée générale, de régulation des entreprises, de droit boursier, et s’intéresse également à la vie financière des émetteurs non financiers et aux questions de concurrence. Pour ajouter une pointe de légèreté, il est friand d’actualités des têtes couronnées.
Onze acteurs du secteur se partagent une amende totalisant 77 millions d'euros. Rector écope du plus lourd montant (25,5 millions d’euros), suivi par KP1 (19 millions), tous deux bénéficiant pourtant de la clémence.
Le groupe de haute technologie lève 180 millions d’euros, au prix de 20 euros par action uniquement auprès d’investisseurs institutionnels. Il se valorise sur la base d’un ratio valeur d’entreprise sur Ebitda 2024 ajusté et retraité de 10,9 fois.
Les gérants interrogés par L'Agefi anticipent une progression de 5,3% de l’Euro Stoxx 50 et de 4,9% du CAC 40 dans un an, contre une hausse attendue de 3,5% du S&P 500 et du Nikkei.
Le Panel Allocation consacre la moitié de son portefeuille aux actions pour le deuxième mois consécutif. Cash et actifs alternatifs restent délaissés par les gestions.
Le chiffre d’affaires de l’indice a reculé de 2,6% au premier trimestre, selon ATH. Toutefois, retraité de quatre poids lourds, il progresse de près de 2%.
Face aux peurs ou aux incompréhensions de certains investisseurs étrangers, le Trésor a précisé sa manière d’agir lors d’une rencontre organisée par le cabinet August Debouzy. Un sujet d'actualité alors que l'Etat menace de bloquer la vente de Biogaran, la filiale de génériques de Servier.
L’agence de notation extra-financière EthiFinance leur attribue un score de 81 sur 100, dix points au-dessus de la moyenne européenne, selon son premier baromètre.
Si près d’un tiers des salariés ont plus de 50 ans, seulement un recrutement sur dix concerne un senior, constate le premier index senior du Club Landoy.
En cas de doute sur la compatibilité d’un projet avec le droit de la concurrence, les entreprises peuvent demander une lettre d’orientation informelle au rapporteur général de l’Autorité.