Retrouvez les articles d’actualité et d’analyse portant sur les résultats financiers (comptes trimestriels, semestriels, annuels, journées investisseurs, avertissements sur résultats) publiés par les grandes entreprises françaises et internationales.
La société de gestion de Deutsche Bank, DWS, et la Caisse de Dépôt et Placement du Québec seraient en négociations avancées pour acquérir Ermewa, la division de location de locomotives, de wagons de fret et de wagons- citernes de la compagnie ferroviaire française SNCF, relate Bloomberg. Cette filiale de la SNCF, quicompte plus de 42.000 wagons et 60.000 conteneurs-citernes, est en vente depuis octobre 2020. Le montant de la transaction serait évalué à plus de trois milliards d’euros selon des sources citées par Bloomberg tandis qu’un accord pourrait intervenir cette semaine au plus tôt.
L’action L’Oréal plie vendredi matin, alors que le numéro un mondial des cosmétiques souffre d’un manque de visibilité lié à la persistance de la crise sanitaire du coronavirus. « Certaines divisions, activités ou régions du groupe restent encore pénalisées par l'évolution de la pandémie de Covid-19 et n’offrent pas une visibilité suffisante pour se ruer sur l’action L’Oréal », observe un analyste basé à Londres.
Le fondeur taïwanais de semi-conducteurs TSMC a déclaré jeudi qu’il mettait tout en oeuvre pour accroître sa productivité face à la pénurie mondiale de puces, signalant néanmoins que les défauts d’approvisionnement pourraient se poursuivre l’an prochain. Lors de la publication de ses résultats trimestriels, il a souligné qu’il s’efforçait d'étendre ses capacités tout en maintenant des prix raisonnables. Le sous-traitant, qui compte parmi ses clients Apple et Qualcomm, a enregistré une hausse de 19,4% de son bénéfice net à 139,7 milliards de dollars taïwanais (4,11 milliards d’euros) à fin mars 2021, contre 134 milliards de dollars locaux attendus.
Tout en confirmant ses prévisions pour l’ensemble de l’exercice 2021, l’américain PepsiCo a dévoilé jeudi un bénéfice par action hors éléments exceptionnels de 1,21 dollar au titre du premier trimestre, dépassant ainsi les attentes du consensus qui tablait en moyenne sur 1,12 dollar. Le chiffre d’affaires du groupe de boissons et de produits agroalimentaires a augmenté de 6,8 % à 14,82 milliards de dollars (12,38 milliards d’euros), alors que les analystes anticipaient 14,65 milliards de dollars.
Tout en confirmant ses prévisions pour l’ensemble de l’exercice 2021, l’américain PepsiCo a dévoilé jeudi un bénéfice par action hors éléments exceptionnels de 1,21 dollar au titre du premier trimestre, dépassant ainsi les attentes du consensus qui tablait en moyenne sur 1,12 dollar. Le chiffre d’affaires du groupe de boissons et de produits agroalimentaires a augmenté de 6,8 % à 14,82 milliards de dollars (12,38 milliards d’euros), alors que les analystes anticipaient 14,65 milliards de dollars.
Le fondeur taïwanais de semi-conducteurs TSMC a déclaré jeudi qu’il mettait tout en oeuvre pour accroître sa productivité face à la pénurie mondiale de puces, signalant néanmoins que les défauts d’approvisionnement pourraient se poursuivre l’an prochain. Lors de la publication de ses résultats trimestriels, il a souligné qu’il s’efforçait d'étendre ses capacités tout en maintenant des prix raisonnables. Le sous-traitant, qui compte parmi ses clients Apple et Qualcomm, a enregistré une hausse de 19,4% de son bénéfice net à 139,7 milliards de dollars taïwanais (4,11 milliards d’euros) à fin mars 2021, là où les analystes tablaient en moyenne sur 134 milliards de dollars locaux.
L'éditeur allemand de logiciels a relevé dans la nuit de mardi à mercredi ses prévisions financières pour l’exercice 2021 après avoir réalisé de meilleures performances que prévu au premier trimestre. SAP anticipe désormais un chiffre d’affaires ajusté de 9,2 milliards à 9,5 milliards d’euros pour son activité d’informatique dématérialisée (‘cloud’) et de 23,4 milliards à 23,8 milliards d’euros pour le cloud et les logiciels. Il tablait auparavant sur des fourchettes de 9,1 milliards à 9,5 milliards d’euros pour le cloud et de 23,3 milliards à 23,8 milliards d’euros pour le cloud et les logiciels.
Eurose, le fonds flagship de DNCA, fait peau neuve pour ses vingt ans. Le fonds patrimonial, principalement investi en obligations (62,3% des trois milliards d’euros d’encours, ou deux tiers hors liquidités et OPCVM), a mis à jour quelques règles d’investissement. Il va notamment pouvoir désormais investir dans des obligations de maturité plus longue. A fin février, la duration du portefeuille obligataire s'élevait à 1,84 an. La stratégie va également désormais intégrer des obligations subordonnées, et des stratégies actions plus opportunistes. Côté gestion des risques, des dérivés pourront être utilisés pour couvrir le risque de marché sur les actions, les taux et le crédit. L'équipe de gestion va par ailleurs prendre en compte la responsabilité des entreprises sur la base du modèle propriétaire de la maison, Above & Beyond Analysis, et exclure les entreprises les plus risquées. DNCA compte obtenir le Label ISR au second semestre 2021. Enfin, son gérant obligataire, Philippe Champigneulle, part à la retraite après 16 années aux manettes. La poche est désormais gérée par ses collaborateurs Romain Grandis et Baptiste Planchard, à ses côtés depuis cinq ans.
Contrôle interne. Un poisson aux arêtes piquantes pour Atos, dont le titre a chuté de 12 % le 1er avril. De quoi fragiliser la présence du groupe de services numériques au sein du CAC 40, dont il est la lanterne rouge en termes de capitalisation, à 6,4 milliards d’euros. A la source du plongeon, un communiqué d’Atos confessant que ses commissaires aux comptes (CAC), en l’occurrence Grant Thornton et Deloitte, avaient émis sur l’approbation des comptes une « réserve pour limitation de travaux » portant sur deux entités américaines, représentant tout de même 11 % du chiffre d’affaires consolidé. Le brouillard comptable est un sujet explosif, d’autant plus dans le sillage du scandale Wirecard. Les CAC précisent avoir mis au jour « plusieurs points de faiblesse du contrôle interne relatif au processus d’élaboration de l’information financière et à la comptabilisation du chiffre d’affaires conformément à la norme IFRS 15, qui ont conduit à constater plusieurs erreurs comptables, ainsi qu’un risque de contournement des contrôles ».
Ryanair prévoit de publier une perte hors éléments exceptionnels comprise entre 800 millions et 850 millions d’euros pour l’exercice clos le 31 mars dernier, contre une précédente fourchette de 850 millions à 950 millions d’euros. Pour l’exercice 2021-2022, la compagnie irlandaise à bas coût anticipait jusqu’à présent un trafic compris entre 80 millions et 120 millions de passagers.
Le groupe de restauration collective et de titres de services prépayés Sodexo a fait part jeudi de son ambition de renouer avec la croissance au second semestre de l’exercice qui s’achèvera en août 2021, après avoir atteint l’ensemble de ses objectifs sur les six premiers mois de ce même exercice. Pour le second semestre de l’exercice 2020-2021, Sodexo anticipe une croissance de son chiffre d’affaires comprises entre 10% et 15% en données internes et une marge d’exploitation de 3,1% à taux de change constants, malgré la persistance des répercussions de la crise sanitaire sur ses activités.
Le groupe de restauration collective et de titres de services prépayés Sodexo a fait part jeudi de son ambition de renouer avec la croissance au second semestre de l’exercice qui s’achèvera en août 2021, après avoir atteint l’ensemble de ses objectifs sur les six premiers mois de ce même exercice. Pour le second semestre de l’exercice 2020-2021, Sodexo anticipe une croissance de son chiffre d’affaires comprises entre 10% et 15% en données internes et une marge d’exploitation de 3,1% à taux de change constants, malgré la persistance des répercussions de la crise sanitaire sur ses activités.
Le chiffre d’affaires des entreprises de l'indice a reculé de 13% en 2020. Mais pour la plupart, difficile encore d'imaginer un réel rebond cette année.
C’est le recul du chiffre d’affaires accusé par les TPE et PME françaises en 2020, selon le baromètre du Conseil national de l’Ordre des experts-comptables. Des disparités interviennent sur les plans géographique et sectoriel. La Réunion (-4,7 %) a mieux résisté que d’autres régions, l’Ile-de-France (-13,1 %) et la Corse (-14,1 %) enregistrant les plus importants replis.