Retrouvez les articles d’actualité et d’analyse portant sur les résultats financiers (comptes trimestriels, semestriels, annuels, journées investisseurs, avertissements sur résultats) publiés par les grandes entreprises françaises et internationales.
Ryanair a affiché lundi son meilleur bénéfice après impôts pour le trimestre octobre-décembre et a déclaré s’attendre à une demande «robuste» pour les vols de Pâques et de l'été 2023. Le premier transporteur aérien européen en termes de passagers a enregistré un bénéfice de 211 millions d’euros au cours du troisième trimestre, clos le 31 décembre, de son exercice 2022-2023. Ce chiffre est à comparer à une prévision de 200 millions d’euros établie par les analystes interrogés par l’entreprise et à son précédent record de 106 millions d’euros sur les trois derniers mois de 2017.
Le sidérurgiste suédois SSAB a déclaré vendredi qu’il comptait augmenter ses expéditions au premier trimestre 2023 dans un contexte de stabilisation du coût des matières premières. Les aciéristes ont bénéficié d’une demande soutenue pendant la majeure partie de l’an dernier, mais au second semestre, ils ont été confrontés à un ralentissement significatif en Europe, région la plus durement touchée par la crise énergétique découlant de la guerre en Ukraine. Au quatrième trimestre 2022, son bénéfice d’exploitation a chuté de 45,8% à 3,77 milliards de couronnes (337 millions d’euros) en rythme annuel, un niveau légèrement en-deçà du consensus des analystes. SSAB a en outre annoncé une dépréciation d’actifs de 33,3 milliards de couronnes découlant de la hausse des taux d’intérêt, sans impact sur sa génération de trésorerie ou son dividende. Il proposera une hausse de 65,7% de son dividende par action à 8,70 couronnes au titre de l’exercice 2022 et prépare un programme de rachat d’actions.
Vestas a annoncé vendredi un chiffre d’affaires préliminaire de 14,49 milliards d’euros pour l’exercice 2022, légèrement inférieur à la fourchette de 14,5 milliards à 15,5 milliards que le fabricant d’éoliennes avait prévu. «Les niveaux d’activité en 2023 devraient être inférieurs à ceux de 2022, suivis d’une accélération en 2024 où les installations sur les marchés clés devraient augmenter», a déclaré le groupe danois dans un communiqué. Il anticipe un chiffre d’affaires compris entre 14 et 15,5 milliards d’euros cette année, avec une marge d’exploitation hors éléments exceptionnels évoluant entre -2% et +3%, contre une marge négative de 8% enregistrée sur l’exercice écoulé. Vestas présentera le 8 février prochain ses états financiers complets pour l’exercice 2022.
Le sidérurgiste suédois SSAB a déclaré vendredi qu’il comptait augmenter ses expéditions au premier trimestre 2023 dans un contexte de stabilisation du coût des matières premières. Les aciéristes ont bénéficié d’une demande soutenue pendant la majeure partie de l’an dernier, mais au second semestre, ils ont été confrontés à un ralentissement significatif en Europe, la région la plus durement touchée par la crise énergétique découlant de la guerre en Ukraine. Au quatrième trimestre 2022, son bénéfice d’exploitation a chuté de 45,8% à 3,77 milliards de couronnes en rythme annuel, un niveau légèrement en-deçà du consensus des analystes.
De nombreuses entreprises publieront leurs comptes, d'Apple à Sanofi en passant par Alphabet, Amazon, Meta, Exxon Mobil, Publicis ou Dassault Systèmes.
Vestas a annoncé vendredi un chiffre d’affaires préliminaire de 14,49 milliards d’euros pour l’exercice 2022, légèrement inférieur à la fourchette de 14,5 milliards à 15,5 milliards que le fabricant d’éoliennes avait prévu. «Les niveaux d’activité en 2023 devraient être inférieurs à ceux de 2022, suivis d’une accélération en 2024 où les installations sur les marchés clés devraient augmenter», a déclaré le groupe danois dans un communiqué.
Le titre Sartorius Stedim Biotech gagnait plus de 6% jeudi en fin de matinée, alors que le fournisseur de l’industrie pharmaceutique a relevé sa prévision de chiffre d’affaires pour 2025 à environ 4,4 milliards d’euros, contre 4 milliards d’euros auparavant.
Un record de 387 milliards d'euros pour l'indice MSCI Europe est attendu cette année, selon Allianz GI. Le dividende reste un facteur de stabilité pour les cours de Bourse.
Le producteur de composants pour l’industrie électronique Soitec a confirmé mercredi ses objectifs pour son exercice 2022-2023, après avoir enregistré une croissance soutenue de ses revenus au troisième trimestre clos à la fin décembre. Le chiffre d’affaires du groupe isérois s’est établi à 274 millions d’euros pour le trimestre écoulé, en progression de 32% en données publiées par rapport à la même période de l’exercice précédent. A périmètre et taux de change constants, il est ressorti en hausse de 25%. Pour l’ensemble de son exercice 2022-2023, qui s’achèvera à la fin mars, Soitec a maintenu ses objectifs. Le groupe continue d’anticiper une croissance de son chiffre d’affaires d’environ 20% à périmètre et taux de change constants ainsi qu’une marge d’excédent brut d’exploitation (Ebitda) autour de 36%.
Le conglomérat industriel 3M a annoncé mardi qu’il allait supprimer 2.500 emplois dans le secteur de la fabrication à l’échelle mondiale après avoir fait état d’une baisse de ses résultats trimestriels et d’un ralentissement de la demande. Le groupe américain a publié un bénéfice de 0,98 dollar par action au titre de son quatrième trimestre, contre 2,31 dollars un an plus tôt, pénalisé par une charge liée à l’abandon de la production des substances perfluoroalkylées (PFAS). Pour 2023, il prévoit une baisse du chiffre d’affaires de 2% à 6%. Il table également sur un recul du bénéfice par action ajusté, qui devrait s'établir entre 8,5 et 9 dollars, contre 9,88 dollars en 2022 et un consensus de 10,22 dollars.
General Electric (GE) a déclaré mardi prévoir un bénéfice ajusté pour 2023 inférieur aux attentes en raison des difficultés persistantes dans son activité d'énergies renouvelables. Cette division, confrontée à l’inflation et à des difficultés de la chaîne d’approvisionnement, a accusé une perte de 2,2 milliards de dollars (2,03 milliards d’euros) en 2022. GE anticipe un bénéfice ajusté par action de 1,60 dollar à 2 dollars pour l’exercice en cours, contre un consensus de 2,36 dollars. Le groupe américain, qui a achevé la scission de son unité de soins de santé au début du mois, prévoit de scinder ses activités énergétiques, y compris les énergies renouvelables, en une société distincte l’année prochaine.
General Electric (GE) a déclaré mardi prévoir un bénéfice ajusté pour 2023 inférieur aux attentes en raison des difficultés persistantes dans son activité d'énergies renouvelables. Cette division, confrontée à l’inflation et à des difficultés de la chaîne d’approvisionnement, a accusé une perte de 2,2 milliards de dollars (2,03 milliards d’euros) en 2022. GE anticipe un bénéfice ajusté par action de 1,60 dollar à 2 dollars pour l’exercice en cours, contre un consensus de 2,36 dollars.
Le conglomérat industriel 3M a annoncé mardi qu’il allait supprimer 2.500 emplois dans le secteur de la fabrication à l’échelle mondiale après avoir fait état d’une baisse de ses résultats trimestriels et d’un ralentissement de la demande. Le groupe américain a publié un bénéfice de 0,98 dollar par action au titre de son quatrième trimestre, contre 2,31 dollars un an plus tôt, pénalisé par une charge liée à l’abandon de la production des substances perfluoroalkylées (PFAS). Pour 2023, 3M prévoit une baisse du chiffre d’affaires de 2% à 6%. Il table également sur un recul du bénéfice par action ajusté, qui devrait s'établir entre 8,5 et 9 dollars, contre 9,88 dollars en 2022 et un consensus de 10,22 dollars.
Les encours des activités de services d’investissement (actifs administrés et supervisés) de State Street ont reculé de 16% % sur un an au quatrième trimestre 2022 pour atteindre 36.700 milliards de dollars, a annoncé le groupe américain à l’occasion de la publication de ses résultats annuels vendredi 20 janvier. Les actifs sous gestion ont eux aussi reculé de 16% sur un an à la fin du quatrième trimestre pour s'élever à 3.500 milliards de dollars fin 2022. Le groupe indique que la baisse des encours gérés directement par lui reflète principalement la chute des marchés en fin de trimestre, une décollecte nette auprès de la clientèle des institutionnels et un impact de change négatif, partiellement compensés par une collecte nette positive dans les produits ETF (27 milliards au quatrième trimestre et 22 milliards sur l’année). Au total, le groupe a décollecté 17 milliards de dollars dans ses activités de gestion d’actifs sur les trois derniers mois de l’année. Sur l’exercice complet, la décollecte est de 37 milliards. Concernant les mandats de services d’investissement, State Street indique avoir collecté 434 milliards de dollars au quatrième trimestre 2022. «Les actifs de services de fin de trimestre qui restent encore à installer dans les périodes futures équivalent à 3.600 milliards de dollars», précise un communiqué. Le groupe ajoute que ces nouveaux mandats sont le reflet d’un large éventail de contrats gagnés «dans tous les segments de clientèle et toutes les régions». Enfin, notons que la décision surprise de State Street en fin d’année de ne pas racheter BBH Investor Services a eu un impact négatif de coûts d’acquisition et de restructuration de 31 millions de dollars au quatrième trimestre 2022. La banque dirigée par Ron O’Hanley, annonce aussi avoir passé «des charges de repositionnement» de 70 millions de dollars au quatrième trimestre «liées à la rationalisation de l’organisation des services d’investissement et à l’optimisation de sa capacité immobilière».