Retrouvez les articles d’actualité et d’analyse portant sur les résultats financiers (comptes trimestriels, semestriels, annuels, journées investisseurs, avertissements sur résultats) publiés par les grandes entreprises françaises et internationales.
La mauvaise tenue de l’économie sud-africaine aura eu raison des ambitions d’Old Mutual pour 2018. Le deuxième assureur sud-africain, issu de la finalisation de la scission d’Old Mutual Plc à l’été dernier, a publié lundi une baisse de 4% de son résultat d’exploitation au titre de l’exercice écoulé, à 9,96 milliards de rands (0,61 milliard d’euros). Le groupe tablait initialement sur une progression de son bénéfice d’exploitation supérieure de 2 points à la croissance du produit intérieur brut sud-africain.
Pénalisée par les difficultés de sa branche postale en pleine restructuration, Deutsche Post, propriétaire du livreur express DHL, a annoncé jeudi, pour son exercice 2018, un bénéfice net de 2,08 milliards d’euros, en baisse de 23,5% sur un an. Son bénéfice d’exploitation (Ebit) a reculé de 15,5% à 3,16 milliards d’euros pour un chiffre d’affaires en progression de 1,8% à 61,55 milliards. Le groupe de logistique a néanmoins relevé pour l’exercice en cours sa prévision d’Ebit qu’il situe désormais entre 3,9 et 4,3 milliards d’euros, contre 3,2 milliards prévus.
Le groupe d’ingénierie britannique va reprendre la distribution d’un dividende au titre de l’exercice 2018, après avoir renforcé son bilan et mis fin à un différend avec Boeing sur un programme de ravitaillement d’avions. Disposant d’une trésorerie nette de 10,3 millions de livres au 31 décembre dernier, il versera un dividende annuel de 1 penny par action. Cobham a ramené son levier financier à un niveau de 1,5 fois l’Ebitda à fin 2018, contre 3 fois deux ans plus tôt, grâce à une augmentation de capital réalisée en 2017. Il table sur une amélioration de ses performances, après un exercice 2018 marqué par un repli de 8% de son bénéfice d’exploitation à 196 millions de livres (228 millions d’euros).
Pénalisé par les difficultés de sa branche postale en pleine restructuration, Deutsche Post, propriétaire du livreur express DHL, a annoncé ce jeudi au titre de son exercice 2018 un bénéfice net de 2,08 milliards d’euros, en baisse de 23,5% sur un an. Son bénéfice d’exploitation (Ebit) a reculé de 15,5% à 3,16 milliards d’euros pour un chiffre d’affaires en progression de 1,8% à 61,55 milliards.
Le groupe d’ingénierie britannique a déclaré aujourd’hui qu’il allait reprendre la distribution d’un dividende au titre de 2018 après avoir renforcé son bilan et mis fin à un différend avec Boeing sur un programme de ravitaillement d’avions. Disposant d’une trésorerie nette de 10,3 millions de livres au 31 décembre dernier, il versera un dividende annuel de 1 penny par action.
Les actionnaires d’Aviva vont voir leur rémunération évoluer. A l’occasion de la publication de ses résultats annuels, présentés ce jeudi par son tout nouveau directeur général Maurice Tulloch, l’assureur britannique a annoncé que le dividende ne serait plus payé sur la base d’un taux de distribution fixe. Il sera désormais aligné sur la croissance de l’activité du groupe. Cette évolution de la politique de dividende de l’assureur s’inscrit dans sa stratégie de réduction de son endettement. Le cours de Bourse d’Aviva, qui a dégagé un bénéfice opérationnel par action en hausse de 7% l’an dernier, abandonnait 3,72% en fin de matinée.
Lanterne rouge du SBF 120, Elis cédait près de 6% en fin de matinée après la publication de ses résultats 2018. Les perspectives 2019 du groupe de blanchisserie industrielle ont déçu le marché. Elis table sur une accélération de sa croissance organique cette année à +3%, après +2,6% en 2018, dans le bas de sa fourchette indicative de 2,5% à 3%. Pour 2019, il vise une marge d’Ebitda de 31,2% à 31,6%. Oddo espérait 31,7%. Soit un recul ou une stabilité de la rentabilité. La marge était l’an dernier de 31,5%, alors que le groupe visait fin octobre une cible « légèrement supérieure » à 31,5%. Le blanchisseur invoque l’inflation des coûts de main d’œuvre et d’énergie. Elis maintiendra ces investissements à 20% du chiffre d’affaires.
LafargeHoclim a renoué avec les profits en 2018. Le premier cimentier mondial a dégagé un bénéfice net attribuable aux actionnaires de 1,5 milliard de francs suisses (1,32 milliard d’euros), contre une perte de 1,68 milliard un an auparavant. En données corrigées (charges de restructurations, désinvestissements…), le bénéfice net est ressorti à 1,57 milliard de francs, en hausse de 10,8% par rapport à 2017.
Le groupe biopharmaceutique français a publié mercredi une perte avant impôt de 18,3 millions d’euros au titre de l’exercice 2018, comparé à 19,1 millions d’euros en 2017. La réduction de cette perte s’est opérée malgré les investissements importants réalisés en recherche et développement. Son chiffre d’affaires issu des revenus de licences a atteint 4 millions d’euros, après 2,3 millions en 2017. Le groupe disposait d’une trésorerie et d'équivalents de trésorerie d’un montant de 22 millions d’euros au 31 décembre dernier, contre 41,4 millions d’euros un an plus tôt.
Le groupe biopharmaceutique français a publié aujourd’hui une perte avant impôt de 18,3 millions d’euros au titre de l’exercice 2018, comparé à 19,1 millions d’euros en 2017. La réduction de cette perte s’est opérée malgré les investissements importants réalisés en recherche et développement. Son chiffre d’affaires issu des revenus de licences a atteint 4 millions d’euros, après 2,3 millions en 2017. Le groupe disposait d’une trésorerie et d'équivalents de trésorerie d’un montant de 22 millions d’euros au 31 décembre dernier, contre 41,4 millions d’euros un an plus tôt.
L’action du spécialiste britannique des fonds fermés de retraite et d’assurance vie, Phoenix Group, et celle de la société de livraison de repas Just Eat intégreront le FTSE 100 le 15 mars, en remplacement des valeurs GVC Holdings et Wood Group. Le titre Phoenix gagnait 1,91% en fin de matinée, le groupe ayant publié un bénéfice d’exploitation de 708 millions de livres (824 millions d’euros), au titre de son exercice 2018, contre un profit de 368 millions en 2017. Phoenix Group a précisé être fin prêt en vue du Brexit, avec notamment un projet de transfert d’actifs au sein d’une filiale irlandaise, dans laquelle le groupe a investi 250 millions de livres.
L’action du spécialiste britannique des fonds fermés de retraite et d’assurance vie, Phoenix Group, et celle de la société de livraison de repas Just Eat intégreront le FTSE 100 le 15 mars, en remplacement des valeurs GVC Holdings et Wood Group. Le titre Phoenix gagnait 1,91% en fin de matinée, le groupe ayant publié un bénéfice d’exploitation de 708 millions de livres (824 millions d’euros), au titre de son exercice 2018, contre un profit de 368 millions en 2017. Phoenix Group a précisé être fin prêt en vue du Brexit, avec notamment un projet de transfert d’actifs au sein d’une filiale irlandaise, dans laquelle le groupe a investi 250 millions de livres.
Adecco Group a déclaré jeudi que les recrutements continuaient de ralentir en ce début d’année en Europe. Les analystes attendaient un bénéfice net de 150 millions d’euros pour le leader mondial du travail temporaire. Son chiffre d’affaires trimestriel publié a progressé de 1% à 6,1 milliards d’euros mais il s’est contracté de 1% en tenant compte des ajustements de calendrier. Il a subi une perte nette de 112 millions d’euros au quatrième trimestre 2018 en raison d’une dépréciation de 270 millions d’euros liée à ses activités en Allemagne.
Le premier brasseur mondial, AB InBev, affichait une dette nette de 102,5 milliards de dollars (89,8 milliards d’euros) à la fin de l’année dernière, selon ses résultats publiés jeudi. Le ratio de dette nette sur Ebitda (résultat d’exploitation) a ainsi été ramené à 4,6 fois en 2018, contre 4,8 fois un an auparavant. Les dirigeants du groupe belge entendent abaisser ce ratio sous la barre des 4 fois l’Ebitda d’ici fin 2020, alors que l’acquisition de SAB Miller en 2016 a fait gonfler la dette du groupe. AB InBev avait annoncé en octobre une baisse de moitié de son dividende après des ventes décevantes au troisième trimestre. Pour 2019, le brasseur prévoit une forte croissance de ses ventes et de ses résultats.
Le premier brasseur mondial, AB InBev, affichait une dette nette de 102,5 milliards de dollars (89,8 milliards d’euros) à la fin de l’année dernière, selon ses résultats publiés jeudi. Le ratio de dette nette sur Ebitda (résultat d’exploitation) a ainsi été ramené à 4,6 fois en 2018, contre 4,8 fois un an auparavant. Les dirigeants du groupe belge entendent abaisser ce ratio sous la barre des 4 fois l’Ebitda d’ici fin 2020, alors que l’acquisition de SAB Miller en 2016 a fait gonfler la dette du groupe. AB InBev avait annoncé en octobre une baisse de moitié de son dividende après des ventes décevantes au troisième trimestre.
Adecco Group, qui a subi une perte nette de 112 millions d’euros au quatrième trimestre 2018 en raison d’une dépréciation de 270 millions d’euros liée à ses activités en Allemagne, a déclaré jeudi que les recrutements continuaient de ralentir en ce début d’année en Europe. Les analystes attendaient un bénéfice net de 150 millions d’euros pour le leader mondial du travail temporaire. Son chiffre d’affaires trimestriel publié a progressé de 1% à 6,1 milliards d’euros mais il s’est contracté de 1% en tenant compte des ajustements de calendrier.
Arkéa, la branche dissidente du groupe Crédit Mutuel regroupant les fédérations de Bretagne, du Sud-Ouest et du Massif Central, a publié hier un bénéfice net en hausse de 2,1% sur un an (et de 16,5% hors éléments exceptionnels et norme IFRS 9), au titre de 2018, à 437 millions d’euros, son plus haut niveau jamais atteint. Record historique également pour le PNBA (produit net banque assurance), ressorti à 2,15 milliards d’euros l’an dernier, en progression de 2,7%, et de 4,7% à périmètre comparable.