Retrouvez les articles d’actualité et d’analyse portant sur les résultats financiers (comptes trimestriels, semestriels, annuels, journées investisseurs, avertissements sur résultats) publiés par les grandes entreprises françaises et internationales.
Le groupe minier anglo-australien a annoncé un repli de 8% à 4,03 milliards de dollars (3,56 milliards d’euros) du bénéfice courant de ses activités poursuivies au titre du premier semestre, clos fin décembre, de son exercice 2018/209. Le consensus tablait sur 4,21 milliards. Le chiffre d’affaires généré par l’extraction de minerai de fer, sa plus importante activité, a augmenté de 2,7% mais celui de la division cuivre a diminué de 17,3%. BHP, qui a maintenu son acompte sur dividende inchangé, a en revanche vu bondir son bénéfice net de 86% à 3,76 milliards de dollars. L’an dernier à la même époque, son résultat net avait été affecté par des charges exceptionnelles de 2 milliards de dollars liées principalement à la réforme fiscale américaine.
Le promoteur immobilier a confirmé ses perspectives à moyen terme. Pour 2019, Nexity table sur un chiffre d’affaires (CA) et sur un excédent brut d’exploitation (Ebitda) en croissance d’au moins 5%. Le CA de Nexity pour 2018 s’est établi à 4,14 milliards d’euros, en progression de 16% par rapport à 2017. Le résultat opérationnel courant s’est inscrit en hausse 10,3%, à 372,7 millions, en 2018, tandis que l’Ebitda a augmenté de 13,6%, à 523 millions. Le résultat net s’est inscrit en hausse de 12,4%, à 197,7 millions. Le résultat net a augmenté de 51,6% l’an dernier, à 276,9 millions. Le groupe compte proposer le paiement en 2019 d’un dividende stable de 2,50 euros par action au titre de 2018.
Le groupe minier anglo-australien a annoncé aujourd’hui un repli de 8% à 4,03 milliards de dollars (3,56 milliards d’euros) du bénéfice courant de ses activités poursuivies au titre du premier semestre, clos fin décembre, de son exercice 2018/209. Le consensus tablait sur 4,21 milliards. Le chiffre d’affaires généré par l’extraction de minerai de fer, sa plus importante activité, a augmenté de 2,7% mais celui de la division cuivre a diminué de 17,3%.
HSBC Holdings a publié mardi un bénéfice annuel inférieur aux attentes, en raison d’une hausse des coûts et a prévenu que le ralentissement économique en Chine, les tensions commerciales et les incertitudes liées au Brexit pourraient constituer de nouveaux obstacles cette année.
Nouveau record pour RCI Bank & Services. La banque captive de l’alliance Renault-Nissan a enregistré l’an dernier une hausse de 1,5%, sur un an glissant, de ses nouveaux financements, à 20,9 milliards d’euros. Son résultat avant impôts a progressé de 12,8%, à 1,22 milliard d’euros, dans le sillage d’un produit net bancaire en augmentation de 18,6%, à 1,93 milliard. Sur le front des charges, le coût du risque s’est établi en 2018 à 0,33% des actifs productifs moyens (APM), contre 0,11% en 2017, en raison du passage à la norme IFRS9. Les frais de fonctionnement ont représenté 1,27% des APM l’an dernier, soit une amélioration de 5 points de base par rapport à l’exercice précédent.
Nouveau record pour RCI Bank & Services. La banque captive de l’alliance Renault-Nissan a enregistré l’an dernier une hausse de 1,5%, sur un an glissant, de ses nouveaux financements, à 20,9 milliards d’euros. Et le résultat avant impôts a progressé de 12,8%, à 1,22 milliard d’euros, dans le sillage d’un produit net bancaire en augmentation de 18,6%, à 1,93 milliard d’euros. Sur le front des charges, le coût du risque s’est établi en 2018 à 0,33% des actifs productifs moyens (APM), contre 0,11% en 2017, en raison du passage à la norme IFRS9. Les frais de fonctionnement ont en revanche représenté 1,27% des APM l’an dernier, soit une amélioration de 5 points de base par rapport à l’exercice précédent.
L’assureur allemand a comme prévu publié vendredi un bénéfice d’exploitation dans le haut de sa fourchette de prévisions pour 2018, à 11,5 milliards d’euros, un niveau qui sera le milieu de sa nouvelle fourchette pour 2019.
Vivendi compte toujours céder jusqu'à 50% de Universal Music Group (UMG) à un ou plusieurs partenaires stratégiques, a déclaré jeudi aux analystes financiers Arnaud de Puyfontaine, président du directoire de Vivendi, lors de la publication des résultats annuels du groupe. Il choisira les banques l’accompagnant «dans les prochaines semaines». Par ailleurs, Vincent Bolloré, principal actionnaire de Vivendi et PDG du groupe Bolloré, quittera le conseil du groupe de médias et de divertissement lors de la prochaine assemblée générale de la société, le 15 avril. Lui qui avait déjà laissé la présidence du conseil de Vivendi à son fils Yannick l’an dernier, devrait céder la place à son autre fils Cyrille, dont la désignation sera soumise aux votes des actionnaires. Le groupe a publié des résultats 2018 marqués par une forte hausse de son résultat d’exploitation bien que Canal+ n’ait pas atteint ses objectifs de rentabilité.
Legrand a annoncé jeudi prévoir un ralentissement de sa croissance organique en 2019 dans un contexte macro-économique incertain, après avoir « pleinement » atteint ses objectifs en 2018. « Sur la base de projections macro-économiques globalement favorables mais devenues plus incertaines pour 2019 », Legrand se fixe pour objectif une progression organique de ses ventes en 2019 comprise entre 0 et 4%. La croissance du chiffre d’affaires s’est élevée à 4,9% en 2018. Le groupe de composants électriques retient par ailleurs un objectif de marge opérationnelle ajustée avant acquisitions (à périmètre 2018) comprise entre 19,9% et 20,7% du chiffre d’affaires. Elle était de 20,2% avant acquisitions l’an dernier.
Nestlé s’attend à poursuivre en 2019 le redressement de sa croissance organique, qu’il compte porter au-delà de 3%, l’amélioration de ses performances en Chine et en Amérique du Nord lui ayant permis d’accélérer à nouveau l’an dernier après six années de ralentissement. La croissance organique du groupe suisse a atteint 3,0% sur l’ensemble de 2018 avec une pointe à 3,7% au dernier trimestre. Nestlé souhaite renouer avec une croissance des ventes de l’ordre de 5% en 2020, avec une marge d’exploitation ajustée de 17,5-18,5%.
Unibail-Rodamco-Westfield s’attend pour cette année à un résultat net récurrent par action ajusté (RNRPAA) inférieur à celui réalisé en 2018, qui serait compris entre 11,80 eu 12 euros. En 2018, ce RNRPAA est ressorti à 12,92 euros après 12,05 euros l’année précédente. Le groupe spécialisé dans les centres commerciaux a finalisé début juin le rachat de Westfield: sur les 3 milliards d’euros de cessions prévus, 2 milliards ont déjà été réalisés. Pour réduire son endettement, le groupe entend accélérer les cessions. Mais il maintiendra son dividende par action à minimum 10,80 euros, qui sera aussi le montant versé au titre de 2018. Selon le consensus Infront Data pour Reuters, les analystes anticipaient un dividende de 11,3 euros pour 2018 et de 11,6 euros pour 2019.
Le deuxième brasseur mondial a indiqué ce matin qu’il tablait sur une croissance de son bénéfice d’exploitation en 2019 quasiment identique à celle de 2018. Le groupe néerlandais estime que les conditions de marché restent volatiles, mais il anticipe une progression de son chiffre d’affaires tirée par la hausse des ventes de bières, l’augmentation des prix et la consommation de boissons plus chères. L’an dernier, son bénéfice d’exploitation avant exceptionnels a augmenté de 6,4% sur une base comparable à 3,87 milliards d’euros, légèrement supérieur au consensus moyen de 3,85 milliards.
Ingenico vise une croissance de ses revenus cette année. Le spécialiste de terminaux de paiements a fermé la porte il y a quelques mois à plusieurs marques d’intérêt. Il anticipe pour 2019 une stabilisation de son activité de terminaux de paiements (Banks & Acquirers). Celle-ci a vu son chiffre d’affaires reculer de 4% l’an dernier tandis que son Ebitda a chuté de 25% à 277 millions. Globalement, Ingenico a enregistré une baisse de 7% de son Ebitda, tombé à 488 millions d’euros, tandis que ses ventes ont progressé de 2% à 2,64 milliards d’euros. Pour 2019, il prévoit un Ebitda supérieur à 550 millions d’euros pour une croissance à données comparables de 4% à 6% de son chiffre d’affaires. Pour ce faire, Ingenico va mettre en œuvre un plan baptisé «Fit for growth», qui prévoit 35 millions d’euros d'économies nettes.
L’action Randstad gagnait plus de 2% en fin de matinée après la publication par le groupe de travail temporaire de résultats trimestriels supérieurs aux attentes. Au quatrième trimestre 2018, il a dégagé un bénéfice d’exploitation avant survaleurs de 309 millions d’euros contre 305 millions d’euros un an plus tôt, montant également attendu par le consensus des analystes. Le chiffre d’affaires du groupe néerlandais a progressé de 0,3% à 6,1 milliards d’euros, un niveau conforme aux prévisions.