Retrouvez les articles d’actualité et d’analyse portant sur les résultats financiers (comptes trimestriels, semestriels, annuels, journées investisseurs, avertissements sur résultats) publiés par les grandes entreprises françaises et internationales.
L'enquête d'Aviva Investors met par ailleurs en évidence l'importance croissante des enjeux environnementaux, sociaux et de gouvernance (ESG) pour les investisseurs.
Heineken a indiqué ce matin que son bénéfice d’exploitation serait cette année dans le bas de sa fourchette de prévisions, après une baisse inattendue de ses ventes au troisième trimestre sur le continent américain, seulement partiellement compensée par le dynamisme de ses activités en Asie. Le groupe néerlandais, deuxième brasseur mondial, s’attend désormais pour 2019 à une progression d’environ 4% de son bénéfice d’exploitation à périmètre comparable. Il prévoyait auparavant une hausse dans le milieu d’une fourchette à un chiffre.
Les dirigeants demandent qu’ils soient pris en compte par les agences de notation et que les sanctions soient indiquées sur les bases d’informations légales.
Le retard de paiements est désormais de 10,9 jours en moyenne pour les PME et de 8,9 jours pour les grands comptes, selon le dernier baromètre ARC/IFOP. Si les retards de plus de 30 jours diminuent cette année, les retards de 1 à 10 jours repartent à la hausse. Pour les deux tiers des dirigeants interrogés, les délais de paiement n’ont pas changé dans le secteur public. Les trois quarts des dirigeants demandent que les délais de paiement clients/fournisseurs deviennent une donnée obligatoire du rapport RSE.
Thales, qui a abaissé jeudi dernier son objectif de croissance organique pour 2019, a réalisé sur les neuf premiers mois de l’année un chiffre d’affaires stable, à 12,41 milliards d’euros, avec des prises de commandes en recul de 6% à 10,445 milliards, à périmètre et changes constants. Les prises de commandes ont été dynamiques sur les marchés émergents (+11% organiquement) mais elles ont baissé de 10% sur les marchés matures (Europe, Amérique du Nord, Australie et Nouvelle-Zélande).
Imerys chute en Bourse mardi, après avoir annoncé la démission de son directeur général et abaissé son objectif de résultat net courant pour 2019. En milieu de journée, l’action perd 11,57% à 33,18 euros, accusant le plus fort repli du SBF 120.
Le retard de paiements est désormais de 10,9 jours en moyenne pour les PME et de 8,9 jours en moyenne pour les grands comptes, selon le dernier baromètre ARC/IFOP. Si les retards de plus de 30 jours diminuent de façon importante cette année, les retards de 1 à 10 jours repartent à la hausse. « Cela peut notamment s’expliquer par une pratique du name & shame plus systématique et la publication des premières amendes dont le plafond est aujourd’hui de 2 millions d’euros », déclare Denis Le Bossé, président du cabinet ARC. Pour les deux tiers des dirigeants interrogés, les délais de paiement n’ont pas changé dans le secteur public.
L’action Sartorius Stedim Biotech gagnait 3,7% à 130,50 euros en fin de matinée, après que le fournisseur de l’industrie pharmaceutique a relevé pour la deuxième fois de l’année sa prévision de croissance pour l’exercice 2019. Ses dirigeants prévoient désormais que l’extrémité supérieure de la fourchette d’objectif de hausse des ventes s'étalant entre 12% et 16% sera atteinte.
Le montant de goodwill du CAC 40 a progressé de 16% l’an dernier, soutenu par une politique d’acquisitions dynamique, selon l’étude annuelle de Duff & Phelps.
Le groupe américain de services pétroliers a enregistré au troisième trimestre 12,7 milliards de dollars de dépréciations, dont 8,8 milliards pour les seules survaleurs en grande partie liées aux acquisitions de Smith International en 2010 et de Cameron en 2016. Le solde provient d’une dépréciation des actifs de pompage pressurisé nord-américains, pour 1,57 milliards de dollars, et d’une dépréciation de 1 milliard d’actifs intangibles. Avec cette charge exceptionnelle, la perte nette atteint 11,38 milliards de dollars. Retraité de cette charge, le résultat net redevient positif, à 596 millions de dollars.
Le Français Olivier Le Peuch, nommé à la direction générale de Schlumberger en juillet dernier, passe les comptes du numéro un mondial des services pétroliers à la paille de fer. Le groupe américain a enregistré dans ses comptes du troisième trimestre 12,7 milliards de dollars de dépréciations, dont 8,8 milliards pour les seules survaleurs en grande partie liées aux acquisitions de Smith International en 2010 et de Cameron en 2016. Le solde provient d’une dépréciation des actifs de pompage pressurisé nord-américains, pour 1,57 milliards de dollars, et d’une dépréciation de 1 milliard d’actifs intangibles.
Le spécialiste des solutions de paiement dans le monde du travail Edenred a confirmé ce matin l’ensemble de ses objectifs à court et moyen terme, après la poursuite d’une croissance organique soutenue au troisième trimestre. Pour la période de juillet à septembre, le revenu total du groupe est ressorti à 393 millions d’euros, en hausse de 20,7% sur un an en données publiées et de 13,8% en données comparables. La société a bénéficié d’effets de change légèrement positifs, à hauteur de 0,8 point de pourcentage, tandis que les effets de périmètre ont soutenu la croissance à hauteur de 6 points de pourcentage.
Renault, Danone, Thales et Accor. En abaissant leurs objectifs, quatre grands noms du CAC 40 alimentent ce matin les doutes des marchés financiers. En fin de matinée l’indice de référence de la Bourse de Paris perd 0,34% à 5.653 points. L’indice élargi SBF 120 perd 0,30%...
Le groupe suisse a décidé d’intégrer l’activité Nestlé Waters dans les trois zones géographiques du Groupe à compter du 1er janvier 2020. Une unité d’affaires stratégique (UAS) dédiée sera créée et rattachée à Patrice Bula, membre de la direction générale et responsable des UAS, du marketing et des ventes. Par ailleurs, Nestlé compte distribuer jusqu’à 20 milliards de francs suisses à ses actionnaires sur la période 2020-2022, tout en maintenant sa politique de dividendes. Le groupe lancera un programme de rachats d’actions dès janvier 2020. Le chiffre d’affaires de Nestlé a progressé de 2,9% à 68,4 milliards de francs suisses sur les neuf premiers mois de l’année.
Teleperformance a relevé ses objectifs financiers à moyen terme. En 2022, le numéro un mondial de la relation clients externalisée vise un chiffre d’affaires organique d’au moins 6,5 milliards d’euros (soit une croissance annuelle moyenne d’au moins 7%) et d’au moins 7 milliards en cas d’acquisitions. L’objectif précédent était de 6 milliards d’euros de revenus organiques. La marge d’Ebita annuelle devrait progresser d’au moins 10 points de base par rapport à l’exercice précédent.
A l’occasion de la publication de son chiffre d’affaires sur neuf mois, Nestlé a annoncé la réorganisation de son activité d’eau en bouteille. Le groupe suisse a décidé d’intégrer l’activité Nestlé Waters dans les trois zones géographiques du Groupe à compter du 1er janvier 2020. Une unité d’affaires stratégique (UAS) dédiée sera créée et rattachée à Patrice Bula, membre de la direction générale et responsable des UAS, du marketing et des ventes. Cette modification a pour objectif de « mieux répondre à l’évolution rapide des préférences des consommateurs, à accélérer la croissance rentable et à créer des synergies », précise Nestlé dans un communiqué.
Idinvest Partners a annoncé ce 15 octobre le lancement du FCPR Idinvest Entrepreneurs Club, un véhicule éligible au report d’imposition de la plus-value de cession. Ce fonds est destiné à financer l’expansion des entreprises européennes technologiques et en forte croissance. La loi de finance 2019 a rendu les fonds d’investissement éligibles au dispositif de remploi dans le cadre de l’apport cession prévu à l’article 150-0 B-Ter du code général des impôts. Il permet aux entrepreneurs cédant une participation dans leur entreprise de bénéficier d’un report d’imposition de leur plus-value lorsqu’ils réinvestissent 60% du prix de cession dans des actifs éligibles. Le FCPR, destiné aux investisseurs particuliers, est éligible à ce dispositif pour les cessions de participations réalisées à compter du 1er janvier 2019. Idinvest Entrepreneurs Club sera intégré dans un programme d’investissement de 1 milliards d’euros aux côtés du fonds Eurazeo Growth Fund III, réservé aux investisseurs institutionnels. Les deux véhicules co-investiront aux mêmes conditions financières dans les mêmes transactions. L’objectif de ce programme est de financer en capital des entreprises non cotées de technologie, européennes, et en forte croissance.
Soitec a confirmé mardi ses objectifs financiers pour l’exercice 2019-2020, visant une croissance organique et une marge Ebitda proches de 30%. Au cours des trois mois à fin septembre, le chiffre d’affaires du spécialiste des matériaux semi-conducteurs a atteint 139 millions d’euros, en hausse de 46% par rapport à la même période de l’exercice précédent. Il a bénéficié d’effets de change positifs, à hauteur de 4,6%, et d’un effet périmètre de +1,8% lié aux acquisitions de Dolphin Integration et d’EpiGaN. Au premier semestre, le chiffre d’affaires du groupe grenoblois s’est établi à 258 millions d’euros, en hausse de 38% en données publiées et de 30% à taux de change et périmètre constants.