Boeing a annoncé hier qu’il allait déplacer le siège de son pôle défense, espace et sécurité de St. Louis, dans le Missouri, à Washington. Une dizaine de dirigeants de cette unité, dont sa directrice générale, Leanne Caret, commenceront à s’y installer dès le mois de janvier, a précisé un porte-parole de l’avionneur américain. Le groupe a annoncé le mois dernier qu’il supprimerait 500 emplois sur une période de quatre ans et qu’il fermerait deux sites dans le cadre d’une refonte de ce pôle.
Après avoir ouvert en baisse de plus de 3% après l’annonce du plan stratégique d’UniCredit, l’action de la banque italienne a finalement retrouvé les faveurs des marchés. A la mi-séance, le titre engrangeait plus de 6%, les opérateurs voyant finalement d’un bon œil l’augmentation de capital massive de 13 milliards d’euros qui doit permettre au ratio CET1 de grimper de 10,8% à fin septembre à environ 12,5% à horizon 2019.
La Poste doit accélérer le rythme de ses réformes pour survivre dans un environnement en profonde mutation, un exercice qui passe par une réflexion de l’Etat sur les missions de service public qu’il lui a confiées, estime la Cour des comptes dans un rapport publié ce matin. Cela passe par la poursuite de la baisse des effectifs et des réorganisations des réseaux (bureaux et acheminement) du courrier, une diminution du «poids excessif» des fonctions de soutien et immobilière et aussi une politique de croissance externe «plus cohérente» qui permette d’améliorer sa rentabilité.
Le fabricant de médicaments génériques américain Mylan envisage une restructuration qui pourrait l’amener à réduire ses effectifs d’un peu moins de 10%. Le groupe indique, sans autre précision, que le programme de réorganisation concernera «certains» de ses sites. Mylan, qui emploie 35.000 personnes dans le monde, a subi de vives critiques pour avoir fortement augmenté le prix de son stylo auto-injecteur d’adrénaline EpiPen, utilisé pour le traitement d’urgence des réactions allergiques sévères.
Le fabricant de médicaments génériques Mylan a dit mercredi envisager une restructuration qui pourrait l’amener à réduire ses effectifs d’un peu moins de 10%. Le groupe indique sans autre précision que le programme de réorganisation concernera «certains» de ses sites. Le laboratoire pharmaceutique américain, qui emploie quelque 35.000 personnes dans le monde, a subi de vives critiques pour avoir fortement augmenté le prix de son stylo auto-injecteur d’adrénaline EpiPen, utilisé pour le traitement d’urgence des réactions allergiques sévères.
Le Trésor italien a indiqué ce matin par la voix de son porte-parole qu’il « nie être en train de préparer une quelconque demande au Mécanisme européen de stabilité (MES) liée à une intervention en faveur des banque du pays ». Plus tôt dans la matinée, La Stampa avait indiqué que l’Italie prévoyait de demander au MES un prêt de 15 milliards d’euros pour soutenir son secteur bancaire.
Barclays fermera l’activité de négoce de produits d'énergie au sein de sa division Macro, ce qui touchera des dizaines d’emplois, selon une note interne dont Reuters a pris connaissance. La division Macro de la banque britannique regroupe le négoce de produits d'énergie, essentiellement des dérivés tels que les futures sur le pétrole, ainsi que des produits de change et de taux. Barclays a expliqué que le désengagement du segment énergie, qui représente moins de 2% des revenus d’ensemble de l’activité marchés, permettrait de consacrer plus de ressources aux autres catégories de produits de la division Macro. La banque britannique a déjà annoncé cette année l’arrêt du négoce de métaux précieux et d’or.
Barclays fermera l’activité de négoce de produits d'énergie au sein de sa division Macro, ce qui touchera des dizaines d’emplois, selon une note interne dont Reuters a pris connaissance. La division Macro de la banque britannique regroupe le négoce de produits d'énergie, essentiellement des dérivés tels que les futures sur le pétrole, ainsi que des produits de change et de taux. Barclays a expliqué que le désengagement du segment énergie, qui représente moins de 2% des revenus d’ensemble de l’activité marchés, permettrait de consacrer plus de ressources aux autres catégories de produits de la division Macro. La banque britannique a déjà annoncé cette année l’arrêt du négoce de métaux précieux et d’or.
Le réseau social professionnel a annoncé hier avoir été placé en redressement judiciaire pour trois mois par le tribunal de commerce de Paris qui devrait se prononcer d’ici à la fin de l’année sur des offres de reprise de son activité. Au début du mois, le concurrent français du géant mondial LinkedIn, à court de financement, avait demandé la suspension de son cours de Bourse. Viadeo a d’ores et déjà reçu plusieurs offres de reprise prévoyant le maintien d’une part «significative» des effectifs, précise le groupe.
Au lendemain de l’approbation du projet d’augmentation de son capital par son assemblée générale, Monte dei Paschi a annoncé un prix maximum de 24,9 euros pour les actions qu’elle va émettre. Ce montant prend en compte le reverse split à venir de 100 actions anciennes pour une nouvelle. L’opération devrait être bouclée avant le 31 décembre, la «fenêtre de tir» devant débuter le 7 ou 8 décembre, a indiqué son directeur général, Marco Morelli. «Sur la base de ce prix, les actionnaires actuels ne détiendront pas plus de 13% de la banque après la recapitalisation», calcule BNP Paribas. Le plafond «est purement technique car en pratique le prix va probablement être fixé à un niveau beaucoup plus bas pour s’assurer que les actionnaires actuels sont en réalité dilués au maximum». Le calendrier permettra de boucler auparavant l’opération de conversion de dette en actions et de passer le referendum du 4 décembre. Parallèlement, l’AG a nommé Alessandro Falciai pour remplacer le président démissionnaire Massimo Tononi.
Au lendemain de l’approbation du projet d’augmentation de son capital par son assemblée générale, Monte dei Paschi (MPS) a annoncé un prix maximum de 24,9 euros pour les actions qu’elle va émettre. Ce montant prend en compte le reverse split à venir de 100 actions anciennes pour une nouvelle. MPS a précisé que l’opération devrait être bouclée avant le 31 décembre, la «fenêtre de tir» devant débuter le 7 ou 8 décembre, a indiqué son directeur général, Marco Morelli.
Le groupe a confirmé hier l’assemblée générale du 15 décembre tout en prévenant qu’un rejet du plan de restructuration pourrait déclencher une cessation de paiement.
La presse italienne a rapporté hier que la banque transalpine pourrait comptabiliser 8 à 9 milliards d’euros de provisions sur des prêts douteux. Il Sole 24 précise que la banque étudierait un montage de titrisation similaire à celui de Monte dei Paschi, pour environ 20 milliards d’euros. Le mécanisme pourrait inclure un partenaire financier et être approuvé dès la semaine prochaine. Le journal ajoute que l’augmentation de capital d’UniCredit qui se profile pourrait inclure une offre de conversion volontaire de dette en capital. Le nouveau directeur général d’UniCredit, Jean-Pierre Mustier, doit dévoiler le 13 décembre un nouveau plan stratégique, ainsi que les modalités de l’appel au marché.
L’agence publique néerlandaise NL Financial Investments (NFLI) a annoncé hier qu’elle avait bouclé pour le compte de l’Etat la cession mercredi de 65 millions d’actions ABN Amro, par la voie d’une procédure accélérée. L’opération a été finalisée à 20,4 euros par action, soit un produit de cession de 1,32 milliard d’euros, et donnera lieu à une période de lock-up de 90 jours à partir de la livraison des titres le 21 novembre. L’Etat, qui a introduit en Bourse la banque (nationalisée en 2008) au mois de novembre, voit sa participation baisser de 77% à 70%.
L’agence publique NL Financial Investments (NFLI) a annoncé jeudi qu’elle avait bouclé pour le compte de l’Etat néerlandais la cession ce mercredi de 65 millions d’actions ABN Amro, par la voie d’une procédure accélérée de construction du livre d’ordres. L’opération a été finalisée à 20,4 euros par action, soit un produit de cession de 1,32 milliard d’euros, et donnera lieu à une période de lock-up de 90 jours à partir de la livraison des titres le 21 novembre. L’Etat néerlandais, qui avait procédé à l’IPO en novembre dernier de la banque nationalisée en 2008, voit sa participation baisser de 77% à 70%. L’action ABN Amro a enregistré une hausse d’environ 18% depuis son entrée en Bourse. La banque néerlandaise a par ailleurs annoncé mercredi matin 1.500 nouvelles suppressions de postes, pour pouvoir économiser 400 millions d’euros supplémentaires.
L’action UniCredit cédait plus de 3% ce jeudi à la mi-séance après que la presse italienne a rapporté que la banque transalpine pourrait comptabiliser 8 à 9 milliards d’euros de provisions sur des prêts douteux. Il Sole 24 précise que la banque italienne étudierait un montage de titrisation de prêts non performants similaire à celui de Monte dei Paschi pour un montant d’environ 20 milliards d’euros. Le mécanisme pourrait inclure un partenaire financier et être approuvé dès la semaine prochaine. Le journal ajoute par ailleurs que la potentielle augmentation de capital d’UniCredit de 13 milliards d’euros que se profile pourrait inclure une offre de conversion volontaire de dette en capital.
Quinze jours après l’épique assemblée générale du groupe de communication digitale, direction, créanciers et actionnaires sont parvenus en un temps record à trouver un nouvel accord. Si le principe du plan de restructuration n’a pas été modifié, les curseurs ont eté modifiés. Et pas seulement à la marge. Les actionnaires disposeront de 3 actions gratuites pour 2 actions détenues, au lieu de 1 action gratuite pour 1 détenue. Soit une amélioration de 50%. En revanche, les créanciers disposeront de moins de bons de souscription d’action (BSA). Au mieux 45 millions de BSA si aucun fonds n’est levé, au pire aucun BSA si l’augmentation de capital dépasse les 250 millions d’euros. Dans le projet initial, ils pouvaient espérer jusqu’à 155 millions de BSA.