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Johnson & Johnson a annoncé mercredi avoir lancé le développement d’un vaccin contre le virus 2019nCoV responsable de l'épidémie en provenance de Chine. Le laboratoire américain entend recourir aux technologies AdVac et PER.c6 de sa filiale Janssen, utilisées pour le vaccin contre Ebola actuellement commercialisé par Janssen et des antiviraux expérimentaux contre le HIV et le virus Zika.
Johnson & Johnson a annoncé mercredi avoir lancé le développement d’un vaccin contre le nouveau coronavirus 2019nCoV dans le cadre d’une série de mesures destinées à lutter contre l'épidémie en provenance de Chine.
L’action Genfit a perdu jusqu’à 15% en séance jeudi, avant de clôturer en baisse de 2,75% à 17,35 euros. Plus de 3% de son capital ont été échangés, soit des volumes quatre fois plus élevés que la moyenne des dernières semaines. En début d’après-midi, la biopharmaceutique a communiqué pour réagir «à des spéculations infondées». Genfit précise que son essai clinique Resolve-It «progresse comme prévu». Les premiers résultats intermédiaires «seront publiés avant la fin du premier trimestre 2020».
L’action Genfit a perdu jusqu’à 15% en séance, avant de clôturer en baisse de 2,75% à 17,35 euros. Plus de 3% de son capital ont été échangés, soit des volumes quatre fois plus élevé que la moyenne de ces dernières semaines. En début d’après-midi, la biopharmaceutique a communiqué au marché pour réagir « à des spéculations infondées ». Genfit précise que son essai clinique Resolve-It « progresse comme prévu ».
L’avocate générale Kokott propose à la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) de juger qu’un accord de règlement amiable d’un litige opposant le titulaire d’un brevet pharmaceutique à un fabricant de médicaments génériques peut être contraire au droit de la concurrence de l’Union. Selon elle, un tel accord peut s’analyser en une restriction de la concurrence par objet ou par effet ainsi qu’en un abus de position dominante. Cela fait suite à un litige entre GlaxoSmithKline (GSK) et des fabricants de médicaments génériques, arrangé par des accords de règlement amiable, qui ont été considérés comme un abus de sa position dominante de GSK.
Le fabricant américain de biens de consommation et de produits pharmaceutiques a réalisé au quatrième trimestre 2019 un bénéfice net en progrès de 31,9% à 4,01 milliards de dollars (3,61 milliards d’euros) d’un an sur l’autre. Son bénéfice par action ajusté a augmenté de 4,6% à 1,88 dollar, dépassant le consensus FactSet de 1,87 dollar. Son chiffre d’affaires a progressé de 1,7% à 20,75 milliards, à comparer à un consensus de 20,80 milliards. Les ventes aux Etats-Unis ont crû de 1,4%, à 10,77 milliards, tandis que les ventes à l’international ont augmenté de 2,1% à 9,97 milliards.
Bone Therapeutics a consommé moins de trésorerie que prévu en 2019, brûlant 11,5 millions d’euros, contre 12 à 13 millions anticipé. Fin 2019, le groupe disposait d’une trésorerie nette de 8,6 millions d’euros. La biotech belge estime disposer d’une trésorerie suffisante pour réaliser ses objectifs jusqu’au troisième trimestre 2020.
L’avocate générale Kokott propose à la Cour de justice de l’Union européenne (CJUE) de juger qu’un accord de règlement amiable d’un litige opposant le titulaire d’un brevet pharmaceutique à un fabricant de médicaments génériques peut être contraire au droit de la concurrence de l’Union. Selon elle, un tel accord peut s’analyser en une restriction de la concurrence par objet ou par effet ainsi qu’en un abus de position dominante
Le fabricant américain de biens de consommation et de produits pharmaceutiques a publié aujourd’hui des résultats trimestriels supérieurs aux attentes, mais son chiffre d’affaires est ressorti légèrement inférieur aux prévisions. Au quatrième trimestre 2019, le bénéfice net de Johnson & Johnson a progressé de 31,9% à 4,01 milliards de dollars (3,61 milliards d’euros) d’un an sur l’autre. Son bénéfice par action ajusté a augmenté de 4,6% à 1,88 dollar, dépassant le consensus de 1,87 dollar établi par FactSet.
La biopharmaceutique Genkyotex lance une augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription (DPS) pour un montant maximum de 6,13 millions d’euros. Trois actions détenues permettent d’acquérir une action nouvelle au prix unitaire de 2,02 euros, soit une décote de 7,13% sur le cours du 15 janvier. Le DPS sera détaché le 21 janvier, et la période de souscription sera ouverte du 23 janvier au 3 février inclus. L’opération est garantie à hauteur de 75,36% par des engagements de souscription de 4,62 millions d’euros d’actionnaires historiques.
La justice américaine a réduit vendredi de 8 milliards (7,21 milliards d’euros) à 6,8 millions de dollars les dommages punitifs que doit verser Johnson & Johnson dans une affaire liée à son antipsychotique Risperdal. Le groupe pharmaceutique avait été condamné en octobre dernier à dédommager un plaignant pour ne pas avoir prévenu les jeunes hommes sur des effets secondaires de son médicament. Le juge de Philadelphie qui a allégé la condamnation n’a pas rendu publiques ses motivations dans l’immédiat.
La biopharmaceutique Genkyotex lance une augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription (DPS) pour un montant maximum de 6,13 millions d’euros. Trois actions détenues permettent d’acquérir une action nouvelle au prix unitaire de 2,02 euros, soit une décote de 7,13% sur le cours du 15 janvier. Le DPS sera détaché le 21 janvier, et la période de souscription sera ouverte du 23 janvier au 3 février inclus.
Jeito Capital, nouvelle société de gestion lancée par Rafaèle Tordjman et dédiée aux biotechs et aux biopharmaceutiques, vient de lever 200 millions d’euros pour son premier fonds, Jeito I. Ont notamment participé des investisseurs institutionnels et des family offices. Ces fonds seront investis dans une quinzaine de start-ups « ayant le potentiel de devenir de futures licornes », précise le communiqué. Jeito Capital explique se différencier par une stratégie d’investissement misant sur la continuité entre le début du développement clinique et jusqu’à l’accès au marché de médicaments particulièrement innovants, disposant de preuves de concept validées chez l’homme.
Le véhicule créé par Raphaèle Tordjman a déjà levé 200 millions, notamment auprès de Bpifrance, Axa, CNP, Aviva, BNP Paribas Fortis. Le premier investissement est attendu avant l’été.
Jeito Capital, nouvelle société de gestion lancée par Rafaèle Tordjman et dédiée aux biotechs et aux biopharmaceutiques, vient de lever 200 millions d’euros pour son premier fonds, Jeito I. Ont notamment participé des investisseurs institutionnels et des family offices. Ces fonds seront investis dans une quinzaine de start-ups « ayant le potentiel de devenir de futures licornes », précise le communiqué. « Notre ambition est de servir 3 cibles : les patients, les entrepreneurs et les investisseurs qui nous font confiance », précise Rafaèle Tordjman. Jeito Capital explique se différencier par une stratégie d’investissement misant sur la continuité entre le début du développement clinique et jusqu’à l’accès au marché de médicaments particulièrement innovants, dits « breakthrough », disposant de preuves de concept validées chez l’homme.
Le spécialiste du diagnostic in vitro BioMérieux a déposé une demande d’accréditation auprès de la Food & Drug Administration (FDA), l’autorité sanitaire américaine, pour le panel d’identification des hémocultures de sa filiale BioFire, spécialiste de la biologie moléculaire. Disponible depuis 2013, le panel Biofire BCID a fait évoluer le flux de travail des laboratoires et la prise en charge des patients pour plusieurs pathologies. La nouvelle génération du panel inclut 26 bactéries, sept levures et dix gènes de résistance aux antibiotiques.
Le spécialiste du diagnostic in vitro BioMérieux a annoncé aujourd’hui avoir déposé une demande d’accréditation auprès de la Food & Drug Administration (FDA), l’autorité sanitaire américaine, pour le panel d’identification des hémocultures de sa filiale BioFire, spécialiste de la biologie moléculaire. «Le panel Biofire BCID2 inclut plusieurs pathogènes supplémentaires, davantage de gènes de résistance aux antibiotiques et une évolution des cibles visées par rapport au panel Biofire BCID initial», souligne le groupe français.
L’allemand Bayer a signé un accord de licence avec la société biopharmaceutique américaine Daré Bioscience, qui lui permettra de commercialiser le contraceptif Ovaprene aux Etats-Unis une fois qu’il aura été approuvé par la Food & Drug Administration (FDA). Daré touchera un paiement initial d’un montant non communiqué, des paiements intermédiaires pouvant atteindre 310 millions de dollars (278 millions d’euros), ainsi que des redevances sur les ventes d’Ovaprene. Bayer, de son côté, disposera des droits exclusifs de commercialisation sur ce produit aux Etats-Unis.