La plateforme d’épargne européenne propose plus 500 obligations d’Etat et d’entreprise dans lesquelles il est désormais possible d’investir de manière fractionnée à partir d’un euro et sans frais variables.
Les investisseurs n’ont pas suivi l’émission obligataire du groupe de distribution, car le rendement n’était pas suffisant. Le marché reste ouvert, mais sélectif.
Après le très bon premier semestre pour les covered bonds, les entreprises financières pourraient se financer davantage via des obligations seniors préférées.
Le fonds de pension Alecta, qui en est actionnaire, a souligné le besoin de liquidités du groupe immobilier qui cherche les moyens de préserver son rating "investment grade".
Le groupe de télécoms a réalisé cette semaine avec succès sa première émission au format SLB. Mardi, Rexel a annoncé une troisième émission de ce type.
Le mois d’août a été difficile. Le rallye de fin de mois, grâce à la détente sur les taux, permet de limiter la baisse. Mais le contexte demeure incertain.
Les émissions d’obligations ont repris en force sur le marché euro avec deux émissions de respectivement 3,8 milliards et 2,5 milliards par Kering et LVMH.
Après BNP Paribas début août, plusieurs banques ont annoncé des émissions ou des échanges cette semaine. Et Santander un non-remboursement à date de «call».
Deux gérants obligataires reviennent pour «L'Agefi» sur les raisons d'investir dans des obligations émises par des Etats moins en vue sur le marché obligataire.
Après un mois atone pour les actifs obligataires, les investisseurs européens ont retrouvé de l’appétit pour la dette en amont du symposium de Jackson Hole.