Nos articles d’actualité et d’analyse sur les évolutions des différents marchés de matières premières (blé, maïs, gaz, charbon, cuivre, fer, terres rares etc.) et sur les principaux acteurs internationaux du secteur.
Suite au succès rencontré par les ETF de matières premières diversifiées en 2016, avec près de 2 milliards de dollars investis, Source a annoncé hier le lancement d’un nouvel ETF conçu pour suivre l’indice Bloomberg Commodity, lancé en 1998 et qui couvre 20 matières premières. L’ETF Source Bloomberg Commodity UCITS affiche des frais de 0,40% par an (0,19% de frais courants et 0,21% de frais de swap). «Ces fonds sont totalement transparents et ils offrent une qualité de réplication rarement égalée», avance Chris Mellor de Source. A l’instar des autres ETF de Source, il sera coté à Londres et domicilié en Irlande.
Suite au succès rencontré par les ETF de matières premières diversifiées en 2016, avec près de 2 milliards de dollars investis, Source a annoncé aujourd’hui le lancement d’un nouvel ETF conçu pour suivre l’indice Bloomberg Commodity, lancé en 1998 et qui couvre 20 matières premières. L’ETF Source Bloomberg Commodity UCITS affiche des frais de 0,40% par an (0,19% de frais courants et 0,21% de frais de swap). «Ces fonds sont totalement transparents et ils offrent une qualité de réplication rarement égalée», avance Chris Mellor de Source. A l’instar des autres ETF de Source, il sera coté à Londres et domicilié en Irlande.
L’Australie anticipe une forte chute du prix du minerai de fer, l’une de ses principales ressources d’exportation, après sa hausse inattendue en 2016 alimentée par la demande chinoise. Elle prévoit un prix moyen de 52 dollars (49,46 euros) la tonne en 2017, puis 47 dollars en 2018, contre 80 dollars aujourd’hui. Le prix du minerai de fer a déjà perdu 9% depuis mi-décembre, après s'être envolé pour afficher une hausse d’environ 80% sur l’ensemble de l’année 2016. Les grands groupes miniers devraient annoncer des profits exceptionnels au titre de 2016 dans les semaines à venir.
L’Australie anticipe une forte chute du prix du minerai de fer, l’une de ses principales ressources d’exportation, après sa hausse inattendue en 2016 alimentée par la demande chinoise. La prévision d’un prix moyen de quelque 52 dollars (49,46 euros) la tonne en 2017, puis 47 dollars en 2018, contre 80 dollars aujourd’hui, intervient alors que les grands groupes miniers devraient annoncer des profits exceptionnels dans les semaines à venir. Le prix du minerai de fer a déjà perdu 9% depuis mi-décembre, après s'être envolé pour afficher une hausse d’environ 80% sur l’ensemble de l’année 2016.
La Corée du Sud a annoncé mardi qu’elle ramenait à zéro les taxes sur les importations de produits à base d’oeufs (ovoproduits) pour faire face à la pénurie d’oeufs en raison des abattages provoqués par l'épizootie de grippe aviaire. Cette mesure, qui concerne huit types d’ovoproduits dont les oeufs frais, entrera en vigueur mercredi jusqu’au 30 juin et pourra être prolongée si nécessaire. Les ovoproduits étaient jusqu'à présent taxés de 8 à 30%. La Corée du Sud n’a plus importé d’oeufs frais depuis 1999.
Les pays producteurs de pétrole hors Opep se sont engagés samedi à réduire leur production de 558.000 barils par jour (bpj) à partir du 1er janvier 2017 dans le cadre d’un accord avec les membres du cartel pétrolier sans précédent depuis 2001. La décision, en discussion depuis près d’un an, a été prise lors d’une réunion à Vienne avec les treize pays membres de l’Opep, dans le but de soutenir les cours. Fin novembre, les pays de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole s'étaient déjà engagés à diminuer leur production de 1,2 million de bpj à compter également du 1er janvier. Les 25 pays représentés aux discussions de Vienne produisent 55% du pétrole dans le monde, a précisé le ministre russe de l’Energie, Alexander Novak, dont le pays diminuera de 300.000 bpj sa production au cours du premier semestre de 2017. Les baisses prévues représentent globalement 2% de l’offre mondiale.
La Chine a entériné la fusion de deux de ses plus gros sidérurgistes pour donner naissance au numéro deux mondial de l’acier, derrière ArcelorMittal. China Baowu Steel est issu de la fusion entre Baosteel et Wuhan Iron and Steel Group. Ce groupe gère des actifs cumulés de 730 milliards de yuans (99,7 milliards d’euros) et compte 228.000 employés. Baosteel et Wuhan Iron and Steel occupaient respectivement les cinquième et onzième rangs mondiaux en termes de capacités. La Chine produit environ la moitié de l’acier mondial, mais ses aciéries croulent sous les surcapacités en raison du ralentissement de l'économie. Pékin a promis de réduire les capacités de 100 à 150 millions de tonnes, sur un total de plus d’un milliard de tonnes, d’ici 2020.
Les prix très élevés du concentré semblent intégrer une aggravation du déséquilibre entre offre et demande. Pourtant, un redressement de la production est possible.
Selon une source du cartel, cet accord fera passer la production mondiale d'or noir à 32,5 millions de barils par jour, contre 33,6 millions de bpj actuellement
L’Organisation internationale du sucre (ISO) a révisé à la baisse sa prévision du déficit sur le marché mondial du sucre en 2016-2017. L’ISO attend désormais que la consommation dépasse la demande de 6,19 millions de tonnes sur la période octobre 2016-septembre 2017, alors qu’elle prévoyait en août un déficit de 7,05 millions de tonnes. Il s’agirait de la deuxième année de déficit pour le marché du sucre. Depuis le point bas atteint en août 2015, à 329 dollars la tonne de sucre brut à Londres, les cours ont grimpé de 88,15% pour atteindre un plus haut de trois ans et demi, à 619 dollars en septembre 2016.
Le ministre iranien du Pétrole est optimiste quant à la possibilité de parvenir à un accord sur une limitation de la production de l’Opep lors de la réunion ministérielle du cartel le 30 novembre à Vienne. Bijan Zanganeh estime même que les cours pourraient monter jusqu'à 55 dollars le baril si un accord est conclu et que les pays extérieurs à l’Opep s’y associent. Interrogé au sujet de la proposition de l’Opep de limiter la production iranienne à 3,92 millions de barils par jour, Bijan Zanganeh a répondu: «Nous n’avons pas conclu d’accord. Nous avons exprimé notre point de vue et nous sommes impatients de l’expliquer.» Le baril de Brent de la mer du Nord a fini vendredi à 46,86 dollars, le WTI américain à 45,58 dollars.
L’Organisation internationale du sucre (ISO) a révisé à la baisse sa prévision du déficit sur le marché mondial du sucre en 2016-2017. L’ISO attend désormais que la consommation dépasse la demande de 6,19 millions de tonnes sur la période octobre 2016-septembre 2017, alors qu’elle avait prévu en août un déficit de 7,05 millions de tonnes. Il s’agirait de la deuxième année de déficit pour le marché du sucre. « Ces deux saisons pourraient faire baisser les réserves mondiales de sucre de 11,1 millions de tonnes, ce qui pourrait contribuer à faire grimper les prix », a prévenu l’ISO. Depuis le point bas atteint en août 2015, à 329 dollars la tonne de sucre brut à Londres, les cours ont grimpé de 88,15% pour atteindre leur point haut en trois ans et demi, à 619 dollars en septembre 2016.
Des ministres de l’Opep auront probablement des discussions informelles à Doha vendredi pour «bâtir un consensus» autour des décisions prises par l’organisation à Alger en septembre dernier, indique Reuters, en citant une source du secteur de l'énergie en Algérie. Une réunion du Forum des pays exportateurs de gaz (FPEG) se tiendra cette semaine à Doha. Plusieurs sources avaient indiqué mardi que les ministres de l’Energie d’Arabie saoudite et de Russie pourraient se rencontrer à cette occasion.