Nos articles d’actualité et d’analyse sur les projets d’investissement d’un point de vue macro comme micro, au niveau des entreprises comme des acteurs financiers.
Le début du deuxième trimestre s’inscrit résolument dans la lignée de la fin du premier. Avec le ralentissement de l'économie mondiale, les risques politiques en Europe et l’infléchissement de la politique monétaire américaine, les investisseurs continuent de bouder les actions et de privilégier l’obligataire. Durant la semaine au 3 avril, les fonds actions, toutes zones géographiques confondues,ont affiché des sorties nettes de 7,7 milliards de dollars, dont près de 4 milliards de dollars de souscriptions dans les ETF mais 11,6 milliards de dollars de rachats dans les fonds ouverts, selon l'étude hebdomadaire de Bank of America Merrill Lynch qui reprend des données du spécialiste de l'évolution des données EPFR Global. Dans le détail, toutes les grandes catégories de fonds actions ont terminé la semaine dans le rouge. Les fonds dédiés aux actions européennes continuent de se distinguer avec des sorties nettes de 2,7 milliards de dollars, enregistrant ainsi des flux nets négatifs pour la 54ème semaine sur 56. Les fonds d’actions américaines ont en revanche bouclé la période sur des dégagements relativement plus limités de 1,6 milliard de dollars. Les fonds d’actions émergentes et les fonds d’actions japonaisesont encore subi des sorties nettes de respectivement 1 milliard de dollars et de 0,4 milliard de dollars. Côté obligataire, pratiquement toutes les catégories restent très recherchées. Les fonds d’obligations en catégorie d’investissement («IG») se distinguent du lot avec des entrées nettes de 7,5 milliards de dollars. Mais les fonds dédiés au high yield et les fonds de dette émergente continuent d’attirer les investisseurs avec des entrées nettes de 1,3 milliard de dollars dans chaque catégorie. Les fonds dédiés aux prêts bancaires ont enregistré une vingtième semaine de rachats, pour un montant de 0,7 milliard de dollars. Les analystes de Bank of America relèvent qu’au stade actuel, les matières premières et les actions sont parties pour enregistrer leurs meilleures performances annuelles de tous les temps! Depuis le début de l’année, les matières premières enregistrent une performance annualisée de près de 85%. C’est mieux qu’en 1973, l’année de référence pour les matières premières. Côté actions, la performance annualisée depuis le début de l’année atteint 67,9%, plus qu’en 1933, l’année de tous les records pour les actions. Mais il est peut-être encore un peu tôt pour vendre, selon les analystes qui voient"le début de la fin du rally» en ce mois d’avril.
Le ministère des Finances de Norvège a annoncé vendredi que les obligations émergentes corporate et souveraines seraient désormais exclu du benchmark fixed income que suit le fonds souverain national. Cette décision fait suite à l’autorisation donnée en 2017 à Norges Bank IM de porter à 70% la part de ses investissements en actions.
Dans sa stratégie mensuelle d'allocation d'actifs, Edmond de Rothschild Asset Management se montre plus prudent sur les actions. NewsManagers publie la note d'analyse de Benjamin Melman, directeur allocation d'actifs et dettes souveraines de la société de gestion.
Santander Asset Management a nommé un nouveau responsable global des investissements en la personne de José Mazoy. Depuis le départ de Gonzalo Milans del Bosch fin décembre 2018, ces fonctions étaient occupées parJacobo Ortega Vich et Eduardo Castro, respectivement directeur des investissements de Santander AM Espagne etEurope et Santander AM Brésil. José Mazoy rejoint Santander AM en provenance d’UBS où il était responsable mondial des stratégies dynamiques depuis trois ans. Il a auparavant été co-responsable mondial des stratégies de trading macro systématiques chez Goldman Sachs et responsable des produits indexés en Europe chez Barclays.
En 2018, 3,5 milliards d’eurosont été levés par 6 fonds français, soit une progression de 48% par rapport à 2017, qui viendront financer les entreprises en dette privée, selon la deuxième édition de l'étude sur l’activité en 2018 des fonds de dette actifs en France présentée ce 4 avril parFrance Invest (Association des Investisseurs pour la Croissance) et Deloitte. Cetteforte progression enregistrée en 2018 confirme la place croissante de la dette privée dans les modes de financement proposant pour les entreprises et les investisseurs en capital, une solution de financement alternative et complémentaire à la dette bancaire. Par ailleurs, 7 milliards d’eurosde dette privée ont financé 147 opérations réalisées par les fonds français et étrangers actifs en France. Ce quireprésente une hausse de 16% des montants investis et de 20% des opérations par rapport à 2017. La France confirme, comme l’an passé, son rang de deuxième marché européen de la dette privée avec 35% des opérations réalisées en 2018, loin devant l’Allemagne. Selon l'étude, 60% des montants investis et 50% des opérations financent la transmission d’entreprises. « L’activité des fonds de dette privée actifs en France enregistre une forte accélération en 2018 à deux niveaux : pour les montants levés par les fonds auprès des investisseurs principalement institutionnels, qui reconnaissent une source de diversification de leurs placements, ainsi que pour les montants investis et le nombre d’opérations. La France se positionne à nouveau comme le deuxième marché européen de la dette privée, attirant aussi bien des fonds français que des fonds internationaux. », a commentéCécile Mayer-Levi, présidente de la Commission Dette Privée de France Invest, citée dans le communiqué. La dette privée recensée dans cette étude recouvre une large diversité de types de financements, incluant la dette senior souscrite par des fonds de dette, les financements unitranches ainsi que la mezzanine et autre dette subordonnée. Avec 29% du total des opérations, le secteur des biens et services de consommation est le premier secteur financé en dette privée. 65% des opérations ont accompagné une transaction menée par un investisseur en capital. 35% des opérations sont réalisées sans la présence d’un fonds investisseur en capital, ce qui souligne, en parallèle, que la dette privée devient une source de financement à part entière. Pour ce qui est des fonds de dette français, 76% de leurs opérations ont été effectuées en France, et 24% hors de France, ce qui représente un niveau élevé pour ce marché de la dette privée récent dans l’Hexagone.« Les fonds de dette privée ont continué leur forte progression en 2018 et nous avons également vu l’arrivée de nouveaux entrants étrangers, confirmant l’attractivité de la France sur ce marché. L’observation des transactions révèle que le marché français reste encore concentré sur la période 2017-18 avec 45% des montants investis fournis par cinq fonds, dont deux anglo-saxons. L’arrivée de nouveaux entrants va conduire à une plus grande diversité des offres de financement aux entreprises comme nous l’avons observé en Angleterre depuis quelques années », a soulignéGuillaume Leredde, Assistant Director chez Deloitte Debt Advisory. (*) Ces fonds sont à la fois les membres de la Commission Dette Privée de France Invest et les structures internationales disposant d’une équipe spécialisée en dette privée ou d’un bureau de représentation en France. 84% des 37 structures interrogées ont répondu à l’étude.
Blackstone Group, plus grand gestionnaire d’actifs alternatifs du monde, a levé plus de 22 milliards de dollars (19,5 milliards d’euros) pour son dernier fonds spéculatif, en lice pour être le plus important fonds jamais mis en place dans le secteur du capital-investissement, a appris Reuters mercredi d’une source au fait du dossier. Blackstone, basé à New York et dirigé par son cofondateur Stephen Schwarzman, pense boucler dans le courant de cette année la collecte pour ce qui sera son huitième fonds spéculatif, a précisé la source qui a requis l’anonymat. Blackstone n’a pas fixé d’objectif pour cette collecte mais prévoit qu’elle dépassera le record établi par Apollo Global Management avec un fonds d’une valeur de 24,6 milliards de dollars, a ajouté la source. Une porte-parole de Blackstone n’a pas souhaité faire de commentaire sur la levée de fonds, rapportée précédemment par Bloomberg News. Blackstone a pour objectif d’atteindre 1.000 milliards de dollars d’actifs sous gestion d’ici 2026. A la fin 2018, le total de ses actifs gérés s'élevait à 472,2 milliards de dollars.
Blackstone Group LP, the world largest alternative asset manager, has raised over $22bn for its latest buyout fund, setting it on course to be the private equity industry’s biggest ever, a person familiar with the matter said to Reuters on Wednesday. New York-based Blackstone, led by co-founder Stephen Schwarzman, expects to conclude the fundraising for what will be its eighth buyout fund later this year, said the source, requesting anonymity as the details are confidential. Blackstone has not set a fundraising target, but it anticipates the buyout fund will overtake Apollo Global Management’s $24.6bn fund as the largest ever, the source added. Blackstone President Jon Gray had said in January the firm expected the fund to exceed $20bn in size. A Blackstone spokeswoman declined to comment on the progress of the fundraising, which was reported earlier by Bloomberg News. Blackstone has a target of reaching $1trnin assets under management by 2026. At the end of 2018, it had $472.2bn in total assets under management.
Soutenu en minoritaire par Activa Capital, Ardian Growth et Société Générale Capital Partenaires depuis deux ans, HR Path poursuit son ascension en remaniant son actionnariat. Le spécialiste du déploiement de progiciels intégrés dans le domaine des ressources humaines a offert une porte de sortie à ses partenaires financiers historiques en s’ouvrant à Andera Partners – lequel a déployé près de 30 M€ à travers son nouveau fonds Winch Capital 4, doté de 450 M€ depuis fin 2018. L’ex-EdRIP aurait ici devancé Capzanine et ICG dans le cadre de cet OBO, selon des informations de Capital Finance. Toujours contrôlé par ses dirigeants-fondateurs François Boulet et Cyril Courtin, HR Path a aussi profité de ce réajustement pour faire grimper au capital une quinzaine de managers. HR Path est à ce jour le principal intégrateur de Cegid, Oracle Cloud for HCM, SAP SuccessFactors Workday, HR Access, Sage et Talentsoft. D’ici cinq ans, il compte doubler sa taille pour côtoyer la barre des 200 M€ de chiffre d’affaires.
BNP Paribas va lancer un nouveau produit financier, qui promet d’investir dans certaines des 300 «licornes» (des entreprises valorisées plus d’un milliard de dollars) recensées à travers le monde, dont le total des valorisations dépasse les 1.000 milliards de dollars, rapportent Les Echos et le Wall Street Journal. Pour cela, la banque française s’est alliée à la plate-forme californienne Forge (ex-Equidate), spécialisée depuis cinq ans dans l’investissement sur les marchés privés, via le lancement d’un produit commun et une prise de participation minoritaire (pour un montant non dévoilé). Au cours du prochain trimestre, BNP Paribas et Forge lanceront leur premier produit, composé d’un panier de valeurs représentatives, de différents secteurs et origines géographiques.
Le fournisseur d’indices Solactive, basé à Francfort en Allemagne,a annoncé ce 3 avril le lancement duSolactive MicroSectors U.S. Big Bank Index. Cet indice,le résultat de lapremière collaboration conjointe de Solactive avec la société américaine REX Shares, sert de sous-jacent à une série de long & short ETN pour les investisseurs avertis, et n’est lié qu’aux plus grandes banques américaines. En ce qui a trait à la classification conventionnelle des secteurs, l’indice équipondéréretientles dix titres les plus importants selon la capitalisation boursière à flottant libre du secteur bancaire américain, ce qui donne aux investisseurs une exposition directe aux sociétés financières les plus significatives. Les banques américaines sont l’un des segments les plus travaillés sur les marchés. Leur performance agrégée permet d’exprimer des points de vue sur les bénéfices, les simulations de crise, la Fed, la courbe des taux, et plus encore. Ils présentent des données que les professionnels de la finance utilisent pour calculer les indicateurs de santé du système financier américain. Par conséquent, le Solactive MicroSectors U.S. Big Bank Index permetaux investisseurs avertis non seulement d’avoir uneexposition précise aux principaux acteurs bancaires aux États-Unis, mais aussi de disposer d’unbaromètre potentiel de tendance pour l’ensemble du secteur bancaire américain.
Une étude de Morningstar citée par le Wall Street Journal montre que les fonds climat et diversité ne votent pas toujours de manière cohérente avec les valeurs qu’ils affichent. Ainsi, l’ETF sur la diversité hommes/femmes de State Street, lancé il y a trois ans, a voté en faveur de seulement deux des 10 propositions d’actionnaires demandant que les entreprises augmentent la diversité du conseil ou dévoilent davantage d’information sur les salariés comme l’égalité des rémunérations. «Les intentions d’un fonds ne se traduisent pas forcément dans leurs votes», commente Madison Sargis, directrice associée de la recherche quantitative de Morningstar. «C’est une chose d’acheter des titres respectant certains critères, mais c’en est une autre de voter pour soutenir ces sujets», poursuit-elle.
Face à la pression réglementaire, l’efficience des fonctions de conformité et de contrôle interne est devenue un enjeu clé pour le développement des sociétés de gestion, estime le cabinet de conseil Alpha FMC. Ce dernier a mené une étude qui relève d’après un communiqué envoyé par la société, que si les organisations sont différentes selon les acteurs, les leviers pour améliorer les modèles opérationnels sont eux identiques : automatisation et définition précise du périmètre de ces fonctions. Concernant les fonctions de contrôles, trois types de tâches émergent parmi les acteurs : les tâches « cœur » obligatoirement prises en charge par les fonctions conformité et contrôle interne (gestion des conflits d’intérêts, lutte contre la criminalité financière), les tâches périphériques pouvant être assurées par d’autres fonctions (suivi des franchissements des seuils, révision des fonds propres AIFM), et pour finir les tâches dites de « legacy », comme le monitoring des ratios réglementaires dont les modalités de prise en charge sont propres à chaque société de gestion. Ces dernières, souvent confiées au RCCI (responsable de la conformité et du contrôle interne) , peuvent diminuer l’efficacité opérationnelle des fonctions de contrôle. Il s’agit, en effet, de tâches chronophages, qui, de plus, peuvent générer des conflits d’intérêts.Pour éviter cet écueil et préserver l’efficience opérationnelle, il apparaît primordial de recentrer les fonctions de contrôles sur les tâches «cœur» et «périphériques», juge le cabinet. Il ressort également de l’étude que l’automatisation constitue un axe fort de progrès pour les fonctions de conformité et de contrôle interne. Si certaines tâches sont généralement automatisées, comme le suivi des franchissements de seuil ou la détection des abus de marché, les sociétés de gestion réaliseraient de réels gains de productivité et des économies de moyens humains en automatisant d’autres tâches, telles que le reporting AIFM, la remontée des incidents opérationnels, ou le traitement des transactions personnelles. «Il est à noter que l’automatisation des fonctions de contrôle ou de conformité ne dépend pas exclusivement de la bonne volonté des acteurs. En effet, ils sont dépendants de l’offre des fournisseurs d’outils qui n’est pas encore mature », précise Hella Laarif, consultante senior d’Alpha FMC en charge de l’étude. (*) L'étude a été réalisée auprès des responsables de la conformité et du contrôle interne (RCCI) de 26 sociétés de gestion françaises, représentatives du marché et disposant d’encours supérieurs à un milliard d’euros.
L’américain Oaktree a acquis un portefeuille d’hôtels italiens de 300 millions d’euros à Castello Sgr, rapporte Il Sole – 24 Ore. L’objectif de l’opération est de créer une plate-forme d’hôtels et de loisirs avec le soutien de Castello qui continuera à gérer le nouveau fonds dans lequel le portefeuille sera logé. Dans les 24-36 mois qui viennent, Oaktree veut investir 700 millions d’euros supplémentaires dans les hôtels italiens.
La dernière semaine de mars a fait office de confirmation. Les actions ont été les grandes perdantes du premier trimestre, notamment les actions européennes. Durant la semaine au 27 mars, les fonds dédiés aux actions européennes ont affiché des sorties nettes encore substantielles de 4,8 milliards de dollars, selon l'étude hebdomadaire de Bank of America Merrill Lynch. Sur l’ensemble du premier trimestre, les investisseurs ont vendu pour plus de 39 milliards de dollars d’actions européennes, relèvent les analystes de Bank of America Merrill Lynch qui reprennent des données du spécialiste de l'évolution des flux dans le monde EPFR Global. Les fonds d’actions américaines ne sont pas en reste avec des sortieségalement significatives de 7,7 milliards de dollars sur la semaine écoulée et de 37,6 milliards de dollars sur le trimestre. Les sociétés de gestion sont encore nombreuses à vanter les mérites de l’investissement sur les marchés émergents mais les flux sont aussi là pour montrer que depuis quelques semaines, l’univers émergent perd du terrain, en tout cas du côté des actions. Les fonds spécialisés sur les actions émergentes ont terminé la semaine écoulée sur des sorties nettes de 2 milliards de dollars, soit la cinquième semaine sur six en territoire négatif. Seuls les fonds d’actions japonaises tirent leur épingle du jeu avec des entrées nettes de 1,3 milliard de dollars. Au total, les fonds d’actions, toutes zones géographiques confondues, ont enregistré des sorties nettes de 12,5 milliards de dollars. A l’inverse, l’obligataire est le grand gagnant du premier trimestre. Les obligations en catégorie d’investissement («IG») ont attiré près de 35 milliards de dollars sur les trois premiers mois de l’année, la dette émergente 21,5 milliards de dollars et les obligations high yield 15 milliards de dollars. Et durant la semaine au 27 mars, les fonds d’obligations IG ont encore engrangé plus de 5 milliards de dollars, les fonds de dette émergente 2,2 milliards de dollars et les fonds d’obligations high yield pas loin de 1 milliard de dollars. Au total, les fonds obligataires, toutes catégories confondues,affichent une douzième semaine consécutive de flux nets positifs, pour un montant de 8,6 milliards de dollars. On peut observer au passage que les fonds d’obligations indexées sur l’inflation ne font plus du tout recette et affichent sur la semaine des sorties nettes record de 1,3 milliard de dollars. Les analystes de BofA Merrill Lynch placent d’ailleurs le deuxième trimestre sous le signe de la «stagnation séculaire» et de la «déflation». Ils soulignent que les flux dans les actifs déflationnistes comme les obligations d’entreprise,les obligations émergentes ou encore les REITs totalisent 87 milliards de dollars depuis le début de l’année...
L'équipementier Lisi, qui travaillepour les secteurs de l’aéronautique, de l’automobile et de la santé, a annoncé ce 29 mars avoir accordé à un fonds d’investissement géré par Quantum Capital Partners une exclusivité de négociation en vue de lui céder ses activités chaudronnerie et assemblage d’aérostructures. Le fonds a remis à Lisi une offre ferme sur ses filiales Indraero Siren et Lisi Aerospace Creuzet Maroc, qui emploient en tout 705 personnes pour un chiffre d’affaires de 61 millions d’euros. Dans un communiqué, Lisi indique que pour Quantum Capital, cette opération de rachat s’inscrit dans une logique de développement «en rassemblant l’ensemble de ses activités aéronautiques sous une même enseigne afin de faire jouer à plein les synergies opérationnelles et en rassemblantune taille critique supérieure à 100 millions d’euros». Basé à Munich, Quantum Capital Partners a déjà pris pied chez Aviatube, Secan ainsi que dans plusieurs entreprises des filières automobile et aluminium.
La banque privée suisseJulius Baerrépercute les coûts induits par les taux négatifs sur certains de ses clients, selon le site spécialisé Inside Paradeplatz. Julius Baerrappelleque cette pratique n’est pas nouvelle. La banque suissecotée au SMI répercute en effet les taux négatifs depuis l’introduction de cet instrument de politique monétaire. Les clients sont ponctionnés à partir d’un dépôt de 500.000 francs suisses. En outre, les chargés de relation avec la clientèle proposent des solutions d’investissement afin de réduire les montants déposés sur les comptes.
Jusqu’ici, les ventes d’ETF en Europe du Nord se sont concentrées sur la gestion d’actifs institutionnelle. Dans un entretien au site danois AMWatch, Matti Tammi, responsable de iShares Nordics (groupe BlackRock), anticipe toutefois des taux de croissance plus élevé dans la gestion de fortune et le retail.