Nos articles d’actualité et d’analyse sur les projets d’investissement d’un point de vue macro comme micro, au niveau des entreprises comme des acteurs financiers.
La société IPM France, basée à Romans sur Isère, annonce l’entrée à son capital du family office Eximium, associé à la société de capital investissement Crédit Agricole Sud Rhône Alpes Capital (CASRA Capital), dans le cadre d’une opération de réorganisation du capital aux côtés des trois fondateurs et actionnaires majoritaires Madame Simon-Demolis et Messieurs Dureau et Daumas. Cette opération signe ainsi la sortie réussie de Sofimac Régions, actionnaire minoritaire depuis 2009. Forte des succès réalisés cette année avec plus de 20 millions d’euros de contrats signés, cette réorganisation du capital permet également à IPM France de renforcer ses fonds propres afin de soutenir sa forte croissance. IPM France est le spécialiste français des solutions de bornes interactives à forte valeur ajoutée. En s’adossant à des partenaires financiers solides et de long terme, les dirigeants d’IPM France confirment leur objectif de poursuivre le développement de la société, notamment à l’international, et se mettent en capacité de saisir de nouvelles opportunités.
Acofi Gestion a annoncé, ce 24 octobre, l’acquisition auprès de RES, un des leaders mondiaux dans le domaine de projets d’énergies renouvelables, de deux parcs éoliens « clé en main » situés dans les départements de l’Ain et du Puy-de-Dôme. Cette opération a été effectuée pour le compte de son fonds Transition Energétique France. Pour sa part, RES, qui a réalisé le développement et la construction de ces deux parcs, en assurera également l’exploitation.Le groupe RES a développé et construit le site de Bois de Bajouve composé de 6 éoliennes VESTAS-2MW et le site des Monts de l’Ain composé de 9 éoliennes SENVION-2MW. Ces deux parcs disposent d’une puissance cumulée de 30MW et ils produiront chaque année 67,5 GWh d’énergie verte, soit la consommation de plus de 14.000 foyers, et permettront d’éviter ainsi l’émission de 42.300 tonnes de CO².Acofi a acquis 100% de ces deux projets via son fonds Transition Energétique France. Cette acquisition s’est accompagnée par la mise en place d’un prêt bancaire long terme octroyé par NORD/LB, structuré par les équipes de gestion du fonds et de la banque. Au terme de cette opération, le fonds Transition Energétique France, détient plus de 155MW d’actifs EnR en France Métropolitaine.
Les écarts entre hommes et femmes restent un défi en matière d’égalité, de développement durable et d’économie globale. Des décisions d’investissement personnel à long terme peuvent toutefois contribuer à réduire les disparités entre les sexes, estime UBS. Les femmes ont traditionnellement moins le goût du risque et leur confiance dans leurs décisions de placement est tendanciellement moins marquée que les hommes, selon une étude d’UBS, rapporte L’Agefi suisse. Or, les études montrent que les femmes disposent de connaissances financières importantes et sont plus disciplinées en la matière. Un goût du risque moindre signifie souvent une incapacité à réaliser un rendement nécessaire à long terme. Or, augmenter la confiance en soi sur les questions financières peut aussi aider à préserver son niveau de vie avec l’âge, juge le numéro un bancaire suisse. Esquissant la situation économique des femmes, UBS souligne notamment que ces dernières disposent en moyenne de clairement moins de ressources financières. Les pauses dans la vie professionnelle et le besoin de davantage de flexibilité au travail rendent plus difficile la constitution d’un capital. Compte tenu de leur espérance de vie plus élevée, il est aussi plus difficile pour les femmes de conserver leur niveau de vie à la retraite, car leurs ressources financières doivent être utilisées plus longtemps. UBS met en avant trois solutions qui permettraient de réduire l’impact de l’écart de rémunération entre les sexes et de l’espérance de vie plus longue sur le patrimoine financier des femmes. La prise en compte des circonstances individuelles incluant les objectifs financiers, de même que le choix de portefeuilles maximisant la probabilité d’atteindre ces objectifs font partie des moyens possibles pour réduire ces écarts. De plus, une meilleure présentation de la relation entre le risque et le retour sur investissement permettrait de diminuer l’aversion au risque, conclut UBS.
Eurazeo a annoncé, ce 24 octobre, la réalisation définitive de la cession de sa participation dans ANF Immobilier au prix de 22,15 euros par action après levée des différentes conditions suspensives prévues par le contrat de cession signé le 10 octobre 2017. Eurazeo avait annoncé cette cession à Icade fin juillet (voir NewsManagers du 25 juillet). La société a été présente au capital d’ANF Immobilier pendant 13 ans. Eurazeo réalise sur cette vente un produit de cession de 213 millions d’euros, un multiple de 2,3 fois son investissement et un TRI de 13 %. Proforma de cette transaction et compte tenu des opérations récemment annoncées, la trésorerie d’Eurazeo s’élève à un niveau proche de 700 millions d’euros. Par ailleurs, ANF Immobilier a conclu ce jour avec deux sociétés gérées par Primonial REIM des promesses synallagmatiques de vente portant sur son portefeuille immobilier historique à usage d’habitation et de commerce, situé principalement à Marseille, et d’un immeuble à Lyon pour un prix global de 400 millions d’euros, les droits de mutation restant à la charge de l’acquéreur. La cession du bloc majoritaire d’Eurazeo sera suivie d’une offre publique d’achat obligatoire d’Icade sur le reste du capital d’ANF Immobilier à un prix de 22,15 euros par action (l’« Offre Publique »), ce qui représente une prime de 10,2 % sur le cours moyen des trois derniers mois précédant la date de l’annonce de l’entrée en négociations exclusives le 24 juillet 2017. L’ouverture de l’Offre Publique devrait intervenir dans le courant du mois de novembre 2017, sous réserve de l’avis de conformité du Collège de l’AMF.
Selon une étude de HSBC, reprise par Les Echos, 68% des investisseurs dans le monde ont l’intention d’augmenter leurs investissements verts. Toutefois, 56% d’entre eux jugent le niveau de transparence actuel sur le risque climatique « très insuffisant ». En Europe, 97% des investisseurs déclarent vouloir augmenter leurs poches dédiées à l’investissement durable, contre 85% sur le continent américain, 68,3% en Asie et moins de 20% au Moyen-Orient.
Les fonds d’actions américaines gérés passivement ont enregistré au mois de septembre une collecte nette de 12,7 milliards de dollars, contre 8,5 milliards de dollars en août 2017, selon des statistiques communiquées par Morningstar. Du côté de la gestion active, les fonds d’actions américaines ont subi des rachats à hauteur de 18,5 milliards de dollars, soit 4,5 milliards de moins que le mois précédent. La catégorie la plus recherchée en septembre a été celle des obligations fiscalisées avec des entrées nettes de 34,9 milliards de dollars contre 27,5 milliards de dollars en août. On observe toutefois que les flux passifs sur cette catégorie se sont élevés à 20,5 milliards de dollars contre seulement 14,4 milliards de dollars du côté de la gestion active.Pimco a fait la course en tête en termes de flux actifs, avec des entrées nettes de 3,2 milliards de dollars alors que Fidelity, Franklin Templeton et T. Rowe Price ont affiché des sorties significatives. Sur le front de la gestion passive, Vanguard occupe la première place avec des entrées nettes de 28,1 milliards de dollars, devant BlackRock/iShares avec 18,5 milliards de dollars.Les fonds gérés activement les plus recherchés ont été le Pimco Income avec des entrées nettes de 2,7 milliards de dollars, et le Vanguard Growth and Income Fund avec 2,2 milliards de dollars. Du côté de la gestion passive, le nouveau fonds Vanguard Reit II Index a attiré 6,3 milliards de dollars tandis que le Vanguard Total Bond Market II Index Fund et le Vanguard Total Stock Market Index Fund ont engrangé respectivement 4 milliards de dollars et 2,5 milliards de dollars.
La société foncière britannique Hammerson a acquis, auprès d’un vendeur privé, le centre commercial Cergy 3. Développant 11.000 m2, il est adjacent au centre « Les 3 Fontaines », déjà détenu par l’investisseur d’origine britannique. Le montant de l’opération s'élève à 72 millions de livres ou 81 millions d’euros.Cette acquisition " permet à Hammerson de consolider sa position dans la région et d’améliorer l’expérience shopping proposée aux visiteurs, grâce à la gestion désormais mutualisée de la commercialisation et des animations et services des deux centres ", commente un communiqué. Cergy 3 accueille 46 boutiques et restaurants, parmi lesquels la Fnac, la Grande Récré et Foot Locker, et enregistre 3,2 millions euros de loyers annuels. " Des initiatives ont d’ores et déjà été identifiées pour en accroître l’attractivité " précise Hammerson.
Le fournisseur d’ETF Wisdom Tree Investments a annoncé ce 20 octobre le développement de nouveaux portefeuilles modèles gérés en fonction du risque en partenariat avec le spécialiste du conseil IQCIO. Les Wisdom Tree IQCIO Risk-Managed Model Portfolios intègrent la volatilité de marché dans un processus d’allocation qui s’efforce de limiter les pertes et de maximiser les rendements ajustés du risque. Ces modèles utilisent l’approche d’investissement fondamentale de Wisdom Tree ainsi que l’outil d’optimisation développé par IQCIO, Intelligent Portfolio Optimizer, pour la sélection des ETF et une allocation dynamique, ce qui permet d’ajouter de l’alpha pour le compte des investisseurs, précise un communiqué.Les différents portefeuilles modèles(conservateur, modéré ou agressif) sont réservés à l’usage exclusif des conseillers financiers de Key Investment Services par le biais de la plateforme Envestnet Wealth Management.
La situation en Catalogne inquiète les investisseurs. Le groupe d’investissement américain Starwood Capital, spécialiste de l’immobilier et de l’hôtellerie, se montre ainsi très vigilant sur ses investissements en Espagne et en Catalogne en particulier. « Nous maintenons un contrôle particulièrement attentif sur la situation en Espagne et en Catalogne, a-t-il reconnu dans un communiqué publié au London Stock Exchange ce vendredi 20 octobre. La société est notamment exposée à Barcelone via un prêt de 46 millions d’eruos dans un hôtel local. Elle dispose par ailleurs de deux autres prêts de 61 millions d’euros garantis par des actifs « retail » en Espagne (hors Catalogne) actuellement en cours d’exécution. « Les tensions autour de l’indépendance de la Catalogne ne sont pas nouvelles, cependant le niveau d’incertitude s’est accru considérablement à la suite du référendum du 1er octobre », juge Starwood Capital. Dans un tel contexte, « le groupe est plus prudent et privilégiera les opportunités d’investissement qui sont relativement isolées de l’incertitude actuelle », ajoute la société d’investissement. « Pendant ce temps, le groupe continuera à suivre l’évolution de la situation politique tout en surveillant de près le marché espagnol pour identifier les opportunités ajustées au risque intéressantes qui pourraient survenir », conclut Starwood Capital.
L’Arabie saoudite va autoriser les investisseurs étrangers disposant d’une expérience et d’une expertise suffisantes à prendre des participations stratégiques supérieures à 10% dans ses entreprises cotées, a annoncé hier l’autorité boursière saoudienne. Les règles actuelles interdisent à un investisseur étranger unique de détenir 10% ou plus d’une entreprise saoudienne cotée. Les investissements étrangers dans certains secteurs clés de l'économie du pays resteront néanmoins limités ou interdits, a ajouté l’autorité boursière, sans préciser lesquels.
Selon l’agence Bloomberg, le gérant d’actifs Pimco s’est porté acquéreur d’une titrisation portant sur un portefeuille de 1,7 milliard de livres de prêts hypothécaires britanniques de mauvaise qualité proposé par Co-op Bank. Pimco avait déjà acheté auprès de Co-op Bank des titrisations similaires en mai et en août pour environ 3 milliards de livres.
Détenue exclusivement par ses fondateurs et ses employés depuis sa création, MedinCell accueille désormais un premier investisseur institutionnel en ouvrant son capital à CM-CIC Innovation. L’entreprise montpelliéraine, qui développe une nouvelle génération de médicaments injectables à longue durée d’action grâce à sa technologie BEPO®, ouvre ainsi la voie à de futures opérations de financement visant notamment à accélérer le développement de son portefeuille de produits, annonce un communiqué.MedinCell est une entreprise pharmaceutique technologique qui a développé et breveté la technologie BEPO® qui permet de contrôler et de garantir la délivrance régulière à dose thérapeutique optimale d’un médicament pendant plusieurs jours, semaines ou mois, à partir d’un simple dépôt de quelques millimètres. Entièrement bio résorbable, le dépôt se forme immédiatement après une injection sous-cutanée ou localisée. Dans le cadre de cette opération, CM-CIC Innovation rejoint le conseil de surveillance de la société.
Le plan d’investissement Juncker de l’Union européenne créé mi-2015 est en bonne voie d’attirer les 315 milliards d’euros visés d’ici le milieu de l’an prochain et fera en sorte de soutenir davantage les Etats membres les plus pauvres de l’Union, a annoncé hier le vice-président de la Commission Jyrki Katainen. Ce projet a déjà généré 241 milliards d’euros d’investissements dans l’UE, soit les trois quarts du montant visé, ce qui a permis de créer 300.000 emplois, a dit Katainen. Le plan est prolongé jusqu'à fin 2020, avec un objectif d’investissement porté à 500 milliards d’euros, a-t-il ajouté.
Les actifs sous gestion des organismes de placement collectifs (OPC) ont enregistré au mois de septembre une progression de 1,3 % ou 573,5 milliards de dollars pour s'établir à 45.370 milliards de dollars à la fin septembre, selon les dernières statistiques communiquées par Thomson Reuters Lipper. L’essentiel de cette hausse est à mettre sur le compte de la bonne performance des marchés qui a représenté une manne de plus de 500 milliards de dollars, les entrées nettes totalisant «seulement» 70,7 milliards de dollars. Sur un an, les encours progressent de près de 6.000 milliards de dollars, la part de la collecte s'élevant à 1.580 milliards de dollars.Durant le mois sous revue, les fonds obligataires ont été les plus recherchés avec des entrées nettes de 56,45 milliards de dollars, devant les fonds diversifiés et les fonds actions avec des collectes nettes de respectivement 15,5 milliards de dollars et 8,5 milliards de dollars. A l’autre bout du spectre, les fonds alternatifs ont bouclé le mois de septembre sur des sorties nettes de 7,4 milliards de dollars. Depuis le début de l’année, la collecte des fonds obligataires est largement en tête, avec un montant de 628,6 milliards de dollars, devant les fonds actions et les fonds diversifiés, qui affichent des entrées nettes de respectivement 297,6 milliards de dollars et 231,9 milliards de dollars. Les fonds les plus performants depuis le début de l’année sont les fonds actions (17,5%) et les fonds diversifiés (11,8%).
Les investisseurs restent très optimistes début octobre. Ils ont réduit leurs poches de liquidités de 5,8% à 4,7%, leur plus bas niveau en deux ans et demi, souligne le dernier sondage réalisé par BofA Merrill Lynch entre les 6 et 12 octobre auprès d’un échantillon de 207 participants pesant 585 milliards de dollars. Parallèlement, 41% net des investisseurs s’attendent à une nouvelle amélioration de la situation sur le front économique au cours des douze prochains mois, contre 25% le mois dernier mais il est vrai un record de 62% en début d’année.Les actions de la zone euro restent très recherchées. «L’Europe est en vogue selon les investisseurs internationaux, avec une surpondération des actions de la zone euro proche des niveaux record et des prévisions de bénéfices par action en forte amélioration. Les investisseurs européens restent optimistes sur les perspectives macro et s’attendent à une ré accélération globale», commente Ronan Carr, stratégiste actions européennes. Cela dit, les gestionnaires d’actifs se positionnent pour une hausse des rendements, en revenant sur les banques et le Japon, autrement dit des actifs qui vont bénéficier de la remontée des taux et de l’inflation, et en sortant des services aux collectivités, des marchés émergents, de la santé et de l’obligataire.
Le rachat géant d’obligations par Tesco va appauvrir un peu plus le vivier de dette haut rendement européenne, rapporte le Financial Times. La diminution du marché reflète une augmentation des groupes qui obtiennent une note de crédit plus forte. Ainsi, leurs obligations quittent les indices d’obligations pourries pour rejoindre les paniers mieux notés. Anglo American est sorti de l’indice « euro high yield bond » de Bank of America Merrill Lynch fin août. Telecom Italia est sur le point de devenir une autre « star montante ». « Pas moins de 8 à 10 % de l’indice pourrait nous quitter dans les six prochains mois et il est difficile d’imaginer qu’une proportion similaire d’anges déchus va compenser la perte », commente Petre Aspbury, gérant chez JPMorgan Asset Management.
Keecker vient de clôturer une levée de fonds de 4,5 millions d’euros auprès du Hardware Club, suivi de SEB Alliance et d’A Plus Finance. Cette levée vient compléter les investissements de NK8, Kima Ventures et de Jacques-Antoine Granjon déjà réalisés en 2015. Keecker, qui prévoit de se lancer aux Etats-Unis d’ici la fin de l’année, annonce également l’arrivée de François Barbier, président des opérations chez Flex, et d’Alexis Houssou, co-fondateur du Hardware Club, à son comité de surveillance.Keecker est le premier robot multimédia à commandes vocales conçu et imaginé pour simplifier la technologie de la maison. Ce robot qui transforme le divertissement, la communication et la surveillance de la maison, combine à la fois un projecteur orientable à 90°, un système audio 4.1, deux caméras, deux microphones, de multiples capteurs et surtout aucun câble. Après avoir cartographié son environnement, Keecker se déplace de manière intelligente et autonome en évitant les obstacles.
La Française REM a annoncé ce 18 octobre l’acquisition de l’immeuble de bureaux « Cityscope » situé 3 rue Franklin à Montreuil, auprès d’InfraRed Capital Partners (représenté par Hemisphere) et Générale Continentale Investissements. Cette acquisition a été réalisée pour le compte de 6 SCPI (La Française Pierre, Epargne Foncière, LF Europimmo, Multimmobilier 2, Sélectinvest 1 et Pierre Priviliège) gérées par La Française REM. « Cityscope » est localisé aux portes de Paris, dans la zone « cœur de ville » en face du centre commercial Grand Angle. L’immeuble de 40 000 m2 est réparti sur vingt-six étages et offre 386 emplacements de parking en sous-sol. L’ensemble immobilier est desservi par six lignes de bus et se situe à seulement 200 mètres de la station « Mairie de Montreuil » sur la ligne 9 du métro.
BNP Paribas REIM a annoncé l’acquisition d’un immeuble située à Montigny-Le-Bretonneux, dans les Yvelines, d’une surface de 14.000 m2. L’ensemble est entièrement loué par le constructeur automobile Nissan dont c’est le centre européen. L’acheteur est un investisseur du Moyen-Orient resté anonyme. L’opération a été réalisée via un share deal à l’OPCI K Montigny géré par BNP Paribas REIM, au sein de la ligne de métier Investment Management qui s’occupe des clients internationaux qui cherchent à investir sur le marché immobilier européen.
Bridgepoint Development Capital, l’activité « Smid-Cap » de Bridgepoint, a annoncé, hier, la réorganisation du capital et la prise de contrôle de 5àsec, spécialiste du nettoyage et de l’entretien des textiles. A cette occasion, les fonds Capzanine, IFE Mezzanine et Quilvest Private Equity cèdent l’intégralité de leurs parts. Parquest Capital et Rive Private Investment conservent, pour leur part, une participation minoritaire.Fondé à Marseille en 1968, 5àsec est aujourd’hui présent dans 31 pays. En 2016, le groupe a réalisé un chiffre d’affaires de près de 85 millions d’euros au travers de son réseau de 1.730 magasins (succursales et franchises).