Le Crédit Agricole Assurances a sélectionné le fonds Mérieux Participations 3, un nouveau fonds de Mérieux Equity Partners, pour investir en capital développement dans les secteurs de la santé et de la nutrition. A ses côtés, d’autres institutionnels ont suivi le mouvement comme Crédit Agricole Centre-Est, la holding Dassault (GIMD) et La Compagnie Financière La Luxembourgeoise. Ils représentent plus de 60% des engagements obtenus à ce jour par le fonds, lesquels s'élèvent à 200 millions d’euros. Dédié à l’accompagnement des sociétés en forte croissance dans les domaines de la santé et de la nutrition, Mérieux Participations 3 a été lancé au mois de juillet 2018 avec le soutien de la famille Mérieux et un objectif de levée de fonds supérieure à 300 millions d’euros. Il vise des investissements en capital développement et se positionne comme partenaire de sociétés en forte croissance, opérant dans les secteurs de la santé et de la nutrition en Europe de l’Ouest ou en Amérique du Nord. Avec un investissement unitaire compris entre 20 et 40 millions d’euros, le fonds se focalisera sur des opérations de type MBO/LBO et de capital développement, pour des entreprises ayant la capacité de devenir des acteurs de premier plan au niveau international. AB.
Frédéric Buzaré arrive en tant que responsable de la gestion d’Echiquier Agressor à compter du 1er octobre 2018 et travaillera avec Didier Le Menestrel,
C’est le taux de croissance pour 2017 des actifs investis en microfinance, selon le 2018 Symbiotics MIV Survey, qui montre que les fonds apportés par les investisseurs institutionnels privés augmentent de 27 %, les fonds publics de 17 % et les fonds apportés par les investisseurs particuliers et à hauts revenus de 16 %. Ces sommes ont financé des prêts à 655.000 emprunteurs, surtout des femmes (69 %), et en zone rurale (55 %). Le montant du prêt moyen s’élève à 2.432 dollars.
Reconnaissance. Après MSCI en mai dernier (première vague) puis cet été (seconde vague), c’est au tour de FTSE Russell d’inclure les A-shares chinoises dans ses indices mondiaux. Le fournisseur d’indices envisage de porter leur pondération dans ses indices clé à 20 %. Cette intégration se déroulera en trois phases entre juin 2019 et mars 2020. FTSE Russell a confirmé que les actions chinoises A allaient être promues au statut de marché émergent secondaire suite à la révision annuelle de sa classification pays menée en septembre et pour sa gamme FTSE Global Equity Index Series (FTSE GEIS). Après la fin de la première phase, les actions chinoises A constitueront environ 5,5 % du total de l’indice FTSE Emerging, contre 0,57 % pour le FTSE Global All Cap Index. La Chine sera ajoutée à sa liste de surveillance pour une possible inclusion dans ses indices obligataires mondiaux.
Surchauffe. Le rapport UBS Global Real Estate Bubble Index 2018 d’UBS Global Wealth Management s’est penché sur le risque de bulle des marchés du résidentiel dans les principaux centres financiers. En tête, Hong Kong, Munich, Toronto, Vancouver, Amsterdam et Londres. D’importants déséquilibres sont aussi manifestes à Stockholm, Paris ou Francfort. Les valorisations sont élevées à Zurich et Genève, ainsi qu’à Los Angeles, Tokyo et New York. A l’inverse, les marchés immobiliers semblent être à leur juste valeur à Boston, Singapour et Milan, voire sous-évalués à Chicago. Paris connaît les prix les plus prohibitifs d’Europe continentale. Pour acheter un logement de 60 m², un salarié qualifié dans le secteur tertiaire doit y consacrer 14 ans de salaire. UBS estime improbable la poursuite de la hausse des prix à ce rythme. Le rapport prix/revenu médian des villes analysées a progressé de 5,5 en 2008 à 7,5 en 2018. Comme le logement devenait inabordable au cours des cinq dernières années, presque toutes les villes devenues trop chères ont introduit de nouvelles règles, comme l’imposition de droits de timbre ou un contrôle des loyers.
L’Association Française de la Gestion financière (AFG) et l’Association française des investisseurs institutionnels (AF2I) ont réalisé une nouvelle série commune de questionnaires standards, destinés à améliorer la connaissance que peuvent avoir les investisseurs des sociétés de gestion de portefeuille (SGP) et de leurs offres, ont-elles annoncé par communiqué hier. Ces nouveaux questionnaires standards mis à disposition des clients (institutionnels ou sélectionneurs de fonds), dans le cadre de procédures de due diligence, ont été élaborés avec plus d’une vingtaine de sociétés de la Place de Paris. Ils ont été soumis le 2 octobre aux SGP et aux investisseurs. Le premier questionnaire vise à présenter la société de gestion, le deuxième détaille les caractéristiques du fonds d’investissement ouvert proposé, le troisième comporte des informations spécifiques en cas d’appel d’offres. Ces documents intègrent désormais de nouveaux aspects tels que les nouvelles contraintes réglementaires ou les problématiques liées à l’investissement socialement responsable.
Le gérant d’actifs serait en pole position pour empocher le contrat et pourrait offrir en échange une participation dans le gérant de fortune Cazenove.
Le gérant d’actifs Schroders devrait remporter un mandat de gestion de Lloyds Banking Group portant sur un encours de 109 milliards de livres (122,5 milliards d’euros), rapporte le Financial Times. Selon le journal britannique, l’accord s’accompagnerait d’une prise de participation de la banque britannique dans la structure de gestion de fortune Cazenove Capital, rachetée en mars 2013 par Schroders pour 424 millions de livres.
Aviva Investors, la filiale mondiale de gestion d’actifs d’Aviva plc, a annoncé hier la nomination de Susan Schmidt au poste de responsable de la gestion Actions américaines, et renforce ainsi sa présence géographique sur cette classe d’actifs. Cela fait suite à l’arrivée, en janvier 2018, de David Cumming au poste de responsable de la gestion actions, illustrant la volonté grandissante d’Aviva Investors de développer ses ressources dédiées aux actions. Susan Schmidt sera basée à Chicago et travaillera sous la responsabilité de David Cumming. Elle a auparavant été, pendant trois ans, gérante de portefeuille senior, responsable des petites et moyennes capitalisations américaines pour Westwood Holdings Group.
State Street Global Advisors (SSGA), la division de gestion d’actifs de State Street Corporation, a annoncé hier la nomination de Matteo Andreetto au poste de Senior Managing Director, responsable de l’activité SPDR ETF pour l’Europe, le Moyen-Orient et l’Afrique (EMEA), prenant effet immédiatement. Sous la direction de Rory Tobin, responsable mondial de l’activité SPDR ETF de State Street Global Advisors, il sera basé à Londres, où il aura pour mission de développer, diriger et exécuter tous les aspects de la stratégie commerciale SPDR ETF dans la région. Avant de rejoindre State Street, Matteo Andreetto a travaillé chez STOXX (Groupe Deutsche Börse), ainsi que Unicredit, Bank of America Merrill Lynch et Goldman Sachs.
Investisseur Privé tentera de réunir tous les services de gestion financière - un peu comme un robo-advisor - et patrimoniale en un seul site internet.
GAM a annoncé vendredi avoir apporté des modifications à son conseil d’administration. Ce dernier intégrera désormais le responsable des investissements, Matthew Beesley, tandis que Natalie Baylis, responsable de la compliance, quittera l’instance en raison de son départ du gestionnaire d’actifs suisse ce mois-ci. Elle sera remplacée par David Kemp, un ancien de Schroders qui rejoindra GAM le 1er octobre en tant que responsable par intérim de la conformité. David Kemp travaillera en étroite collaboration avec Rachel Wheeler, ancienne d’Aviva Investors, qui a pris le poste de «General Counsel» et a rejoint le conseil d’administration de GAM le 3 septembre 2018. Ces modifications interviennent alors que le groupe suisse a annoncé fin août qu’il allait commencer à rembourser début septembre les investisseurs pris au piège de ses fonds obligataires spéculatifs.
Carmignac a officialisé vendredi sa pratique, adoptée de longue date, d’exclure les sociétés productrices de tabac ainsi que les producteurs de charbon. Plus précisément, le gérant d’actifs n’investira plus dans aucune entreprise tirant plus de 25% de son chiffre d’affaires de l’extraction du charbon, une restriction qui s’appliquera à plus de 90% de ses actifs sous gestion. «En tant que gestionnaire d’actifs, Carmignac a pour objectif d’identifier et de réduire les risques d’investissement liés aux questions environnementales, sociales et de gouvernance. Nous nous sommes également engagés à contribuer à la réduction des gaz à effet de serre et sommes signataires des principes des Nations unies pour l’investissement responsable depuis 2012», précise un communiqué de presse.
Mérieux Equity Partners, la société de gestion créée par Mérieux Développement, a annoncé, ce 27 septembre, le premier « closing » de Mérieux Participations 3, un nouveau fonds spécialisé en capital-développement dans les secteurs de la santé et de la nutrition. Mérieux Participations 3 a été lancé en juillet 2018 avec le soutien de la famille Mérieux et un objectif de levée de fonds supérieure à 300 millions. « Deux mois seulement après l’autorisation de commercialisation de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF), un premier «closing» vient d’être réalisé pour un montant de 200 millions d’euros », indique la société de gestion dans un communiqué. Ce nouveau véhicule bénéficie du soutien de souscripteurs de référence, tels que la holding Dassault (GIMD), Crédit Agricole Centre-Est, Crédit Agricole Assurances et La Compagnie Financière La Luxembourgeoise, représentant plus de 60% des engagements obtenus à ce stade.Le fonds Mérieux Participations 3 se positionne comme partenaire de sociétés en forte croissance, opérant dans les secteurs de la santé et de la nutrition en Europe de l’Ouest ou en Amérique du Nord. Le fonds prendre des tickets unitaires compris entre 20 et 40 millions et se concentrera sur des opérations de type MBO/LBO et de capital-développement pour des entreprises ayant la capacité de devenir des acteurs de premier plan au niveau international.Mérieux Equity Partners a d’ores et déjà réalisé une première prise de participation majoritaire dans la société STIplastics Healthcaring, une entreprise iséroise spécialisée dans le développement et la fabrication de solutions plastiques pour les laboratoires du secteur de la pharmacie et de la nutrition. En outre, via ce nouveau fonds, la société ambitionne « de saisir de nouvelles opportunités d’investissement dans le secteur de la nutrition », à l’image de la récente de prise de participation dans Biobest, société commercialisant une gamme de solutions de lutte biologique intégrée, spécialisée dans la pollinisation et la protection naturelles des cultures.