@page { size: 8.27in 11.69in; margin: 0.79in }p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent }JuliusBaer on Monday, 29 October announced that it has created a newdivision dedicated to external wealth managers and independentfinancial advisers. Philipp Rickenbacher, a member of the board ofdirectors at Julius Baer, is taking over as head of theintermediaries & global custody division. Nicolas de Skowronskiwill replace him from the start of January 2019 in his current roleas head of the advisory solutions activity, and will join the boardof directors, the private bank says in a statement.“Externalwealth managers and financial advisers have long been appreciatedclients and partners of Julius Baer,” the CEO of the bank, BernhardHodler, says in a statement. He says the segment “will continue tobenefit from increased demand for independent financial advising.”Rickenbacher,who joined Julius Baer in 2004, predicts that the group should beable to “increase its market share through a targeted strategy. …An improvement in efficiency should make it possible [for thisactivity] to make a positive contribution to business volumes andprofits,” he adds.
BrightSphere Investment Group (formerly Old Mutual Asset Management), an asset manager with offices in Boston and London relying on a multi-boutique model, has registered the US value equity strategy run by one of its affiliates in Luxembourg, NewsManagers can reveal.The fund, BHM&S Dividend Focused Value Equity, is managed by Barrow, Hanley, Mewhinney & Strauss (BHM&S), an asset management firm founded in 1979 and based in Dallas and managing some $90bn of assets for institutional clients worldwide.The company focuses mainly on three value features : a cost/income ratio and price/book value ratio which are below the market, and dividend yield higher than the market. In addition to paying cash dividends, stocks invested by the Dividend Value strategy from BHM&S must have a track record of cash dividend payments over the last 25 consecutive years. More than $7.7bn in assets were managed in the US version of the strategy as of end of June 2018.The BHM&S fund has been registered as a sub-fund of the Luxembourg Sicav BrightSphere Global Funds. It is the first Ucits fund launched by BHM&S and it will be first registered in Belgium, Germany and the United Kingdom whilst BrightSphere, majority shareholder of the Texas manager, will further seek approvals from other European regulators.
La société de gestion suédoise Max Mitteregger Kapitalförvaltning va fermer son fonds long/short sur les actions nordiques Gladiator aux nouveaux investisseurs à compter du 1er décembre 2018. L’objectif de cette décision est de limiter le montant des encours pour garantir une gestion efficace du fonds dans l’intérêt des investisseurs actuels.Le fonds, géré par Max Mitteregger, affichait un encours de plus de 4,7 milliards de couronnes suédoises (soit 455 millions d’euros) au 30 septembre. Depuis son lancement en 2005, il a affiché une performance nette annualisée de 13 %. Depuis le début de l’année à fin septembre, le fonds gagne 21,24 %.
Edmond de Rothschild doit annoncer, ce mardi 16 juillet, que son fonds Bridge IV, dédié aux infrastructures, a réalisé fin juillet 2018 son premier « closing » d’un montant de plus de 250 millions d’euros. Ce quatrième fonds de la plateforme de dette d’infrastructure du groupe Edmond de Rothschild comporte deux sous-fonds. Le premier est sur la dette senior sécurisée de qualité « investment grade » et est labellisé TEEC (Transition Energétique et Ecologique pour le Climat), baptisé Bridge IV Senior Energy Transition. Le second, spécialisé dans la dette « high yield » et baptisé Bridge IV Higher Yield, vise un rendement plus élevé en contrepartie d’un risque plus élevé. Trois investissements ont déjà été réalisés par Bridge IV, dont deux pour le compte de Bridge IV Higher Yield. « Ils génèrent un rendement agrégé de 6,2% », précise Edmond de Rothschild.Le fonds Bridge IV s’adresse aux investisseurs institutionnels professionnels européens. Il offre également un traitement Solvency 2 très favorable dans la continuité des millésimes II et III. « L’objectif de collecte globale de ce fonds de droit luxembourgeois se situe entre 500 et 750 millions d’euros », indique Edmond de Rothschild.Les encours de la plateforme de dette infrastructure du groupe Edmond de Rothschild ont été multipliés par quatre depuis le premier « closing » de 400 millions d’euros réalisé en 2014 au travers du fonds Bridge I. Ils s’affichent désormais à 1,6 milliard d’euros.Basée à Londres, l’équipe de gestion de Bridge a continué de déployer ses fonds à un rythme soutenu en 2018 avec un montant de 170 millions d’euros investis dans six transactions, notamment dans les secteurs des énergies renouvelables, des télécommunications, du stockage de ressources naturelles ou encore des concessions de chauffage urbain. A fin septembre 2018, cette plateforme de dette d’infrastructure a investi dans 28 actifs dans neuf pays européens pour un montant total de 1,4 milliard d’euros avec un temps de déploiement moyen de ses fonds de 18 mois.
Le fonds NovESS, dédié au financement de l'économie sociale et solidaire, a annoncé avoir effectué durant l'été cinq prises de participation pour un montant total de 4,5 millions d’euros afin d’accompagner le développement de projets. Ces prises de participation concernent UCPA Sport Loisirs, une association issue du groupe UCPA pour 2,5 millions d’euros en titres associatifs; Kelbongoo, une société spécialisée dans la vente en circuits courts de produits fermiers, pour 500.000 euros en actions et en obligations convertibles; Illusion & macadam, une société coopérative d’intérêt collectif, via une participation de 300.000 euros en titres participatifs; Veyret Techniques Découpe (VTD), une société coopérative et participative spécialisée dans la fabrication, la commercialisation et le négoce d’outillages, pour laquelle NovEss a investi 1 million d’euros en titres participatifs; et enfin, Learn Enjoy, une société spécialisée dans la conception et la distribution d’applications éducatives pour accompagner des enfants présentant des difficultés d’apprentissage dans laquelle NovESS a pris une participation de 250.000 euros en actions. NeswManagers avait déjà parlé de ce dernier investissement le 12 septembre. Le fonds NovESS agit dans le cadre d’un mandat porté par la Banque des Territoires (groupe CDC), BNP Paribas, BNP Paribas Cardif, CNP Assurances, le Crédit Coopératif, l’Ircantec, la Mutuelle Nationale Territoriale, l’Union Mutualiste Retraite et l’ERAFP, dont la gestion a été déléguée à Mandarine Gestion.
Le groupe français Biogroup-LCD a signé un protocole d’accord avec la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ), en vue d’une levée de fonds de 180 millions d’euros. Stéphane Eimer, le dirigeant fondateur de Biogroup-LCD, reste majoritaire au capital de la société. L’accompagnement de la CDPQ doit permettre à Biogroup-LCD de poursuivre sa stratégie de croissance externe au cours des années à venir en consolidant sa présence dans les régions où le groupe est aujourd’hui présent et en se développant dans de nouvelles régions. La transaction doit être finalisée fin novembre 2018. Biogroup-LCD était conseillé par Degroof Petercam.
IM Global Partner and Dolan McEniry Capital Management on 1 October announced the launch of the IM Dolan McEniry Corporate Bond fund, an open fund focused on the value and quality of corporate bonds, for long-term revenue growth. The fund is the second investment product from IM Dolan McInery since IM Global Partner acquired a 45% stake in the asset management firm Dolan McEniry Capital Management, based in Chicago and specialised in bonds, in late 2016. The first fund, IM Dolan McEniry US Corporate UCIT fund, was launched in October 2017. “This fund will have a similar investment strategy to the flagship bond product Core Plus, and will give investors access to conservative bond portfolios with very attractive long-term track records,” say Daniel D. Dolan and Roger S. McEniry, co-owners of Dolan McEniry. p { margin-bottom: 0.1in; line-height: 115%; background: transparent none repeat scroll 0% 0%; }
A l’instar de nombreuses caisses de pension suisses, Prévoyance Santé Valais alloue près d’un tiers de ses encours (1,5 milliard de francs suisses) à l’immobilier. Pour le reste, la caisse s’est efforcée d’aller chercher du rendement sur des actifs diversifiés, avec des résultats qu’elle juge mitigés. L’institution, qui investit majoritairement au travers de fonds, réfléchit aujourd’hui à augmenter sa poche actions.
“Monoculture”, tel est le néologisme employé par Christian Zufferey pour qualifier sa vie professionnelle. Ses études très diverses, entamées dans les années 80 ont en effet servi une seule et même entreprise : Prévoyance Santé Valais (PRESV), caisse de pension dont il est aujourd'hui directeur. Heureux dans cette structure à taille humaine, il occupe son temps libre en chanson, grâce à l'Octuor vocal de Sion dont il fait partie depuis 22 ans.
Aviva Investors a renforcé son équipe de recherche multigestion avec le recrutement de l’ancien sélectionneur de Barings Luca Dal Mas et de l’ancien gérant de Jupiter Joshua Biele, rapporte Citywire. Les deux nouvelles recrues seront basées à Londres et rattachées à Isabel Emo Capodilista, responsable de la recherche pour la multigestion.
Sur les cinq dernières années, la Caisse de pensions de la fonction publique de Neuchâtel, baptisée Prévoyance.ne, a eu à gérer rien de moins qu’une fusion, une recapitalisation et une révision de son plan d’investissement et d’allocation de ses actifs.
Olivier Santschi est pour le moins attaché à sa région et à son métier. Actuaire de formation et diplômé de l’Université de Neuchâtel, ce passionné de Cor d'harmonie, a passé toute sa carrière dans le charmant canton de Neuchâtel et a travaillé 28 ans au service des questions liées à la prévoyance. D’abord au sein du cabinet Aon Hewitt où il a exercé le conseil en prévoyance professionnelle aux caisses de pensions pendant une dizaine d'années. Puis au sein même des caisses de pensions publiques.
Elle a servi l'an dernier à ses assurés le rendement le plus élevé de ses homologues suisses. La fondation Profond peut se targuer d'une performance nette de plus de 11% de ses portefeuilles, grâce à une allocation atypique de ses investissements dans le monde institutionnel. Pour continuer dans ce sens, ses responsables envisagent aujourd’hui de tripler la poche d’actifs alternatifs de l’institution, et d’en déléguer la gestion à des spécialistes externes. Des réflexions sur l’ISR sont également en cours.
Laurent Schlaefli est un homme de défi. Ses postes à la nature très diverse lui ont imposé de prendre des sujets hétéroclites à bras le corps pour, à chaque fois, redresser la barre. Titulaire de plusieurs diplômes, cet adepte d’équitation depuis son plus jeune âge est aujourd’hui attelé à la transformation digitale de la fondation collective Profond, qu’il dirige depuis 18 mois.
Au début des années 90, la CNRACL, la Caisse de retraites des agents territoriaux et hospitaliers, disposait encore de larges réserves. Mais elles ont fondu au fil du temps, siphonnées par le système de compensation entre régimes de retraite et de surcompensation et régimes spéciaux. La pyramide des âges de plus en plus défavorable entre cotisants et retraités finit de vider les caisses. La CNRACL boucle ses derniers budgets encore à l’équilibre et se prépare à un cap difficile à partir de 2020.
Claude Domeizel a commencé sa vie professionnelle comme instituteur. Puis, en devenant maire de Volx (Alpes-de-Haute-Provence) et en s’emparant des sujets de retraite de son personnel communal, il s’est hissé à la présidence de la CNRACL et est devenu, en même temps, sénateur de son département. Se voulant au service de l’intérêt général, il a fait de la retraite un de ses sacerdoces.
La Caisse de dépôt et placement du Québec, deuxième plus gros fonds de pension canadien, investit près de la moitié des ses encours dans les actions cotées et les placements privés (private equity). Depuis la crise des subprimes, elle a décidé de reprendre en main la gestion de son portefeuille, en se concentrant sur des actifs réels et en favorisant une gestion en interne. Le nouveau bureau de Londres est appelé à devenir un « hub » pour l’Europe et l’Asie, orienté vers les placements privés.
En commençant sa carrière en coopération en Corée du Sud, il était fort possible que l’international accompagne Stéphane Etroy pour longtemps. C’est cette caractéristique qui a en tout cas plu à la Caisse de Dépôt et placement du Québec lorsqu’elle lui a proposé d’ouvrir un nouveau bureau à Londres, tête de pont pour couvrir à la fois les Etats-Unis, l’Europe et l’Asie. Installé à Londres depuis 20 ans, le premier vice-président et chef des placements privés de la Caisse voyage régulièrement au Québec, à New York et à Singapour mais aussi en Suisse, pays d'origine de son épouse.
Pensio B gère les pensions de retraite des ouvriers belges de la construction. Le fonds qui affiche 580 millions d’euros d’encours, compte notamment se lancer dans l’infrastructure pour diversifier ses placements et soutenir le secteur de la construction. L’enjeu est de taille pour ces 150.000 de salariés dont les retraites dépendent du bon choix de placements du fonds et de son gérant Bernard Caroyez.
Les Pays-Bas sont considérés comme le royaume des fonds de pension en Europe. Ces derniers pesant environ le double du PIB du pays. Pour la fédération des fonds de pension néerlandais, leur système de retraite offre un des meilleurs niveaux de couverture au monde. Vulnérables aux chocs de marché, ces institutions doivent néanmoins trouver leur équilibre dans un environnement de taux bas.