L’actualité (lancement, levée de fonds, nouveaux produits) des start-up qui utilisent les nouvelles technologies pour proposer des services innovants dans le domaine de la finance.
Outre la révision de la directive sur les services de paiement DSP2 qui pourrait encadrer l’open finance au-delà des comptes de paiement, banques et fintechs sont toujours à la recherche de modèles économiques viables.
Alors que commence la semaine de l’éducation financière sous l’égide de la Banque de France, un projet européen de «cybercitoyen» vient de présenter un rapport sur les pratiques des Etats-membres dans ce domaine.
La clientèle de commerçants du premier pourra ainsi bénéficier des innovations développées par le second et accepter des paiements open banking ou en cryptos.
La fintech de paiement, dont la valeur baisse continuellement depuis deux ans, veut utiliser ces fonds pour racheter les actions attribuées à ses salariés et régler la note fiscale correspondante.
Le service, qui sera intégré à la filiale Django de La Banque Postale, s’adresse directement aux consommateurs. Il ne nécessite pas d’intégration chez les commerçants et évite la surconsommation grâce à l’open banking.
En combinant open data et intelligence artificielle, cette start-up nordiste réduit considérablement la fraude et améliore le taux de transformation des enseignes.
Les fintechs ont déjà pris 10% du marché des paiements. Face à cette concurrence, 94% des banques cherchent à investir dans les technologies innovantes selon une enquête Finastra/Aite-Novarica.
Cette offre de crédit à la consommation instantané, aussi souple mais plus sécurisée que le «buy now pay later», s’utilise autant en ligne qu’en magasin et se déploie désormais en Espagne.
Sa plateforme de financement lancée il y a un mois avec quatre partenaires attire plus de clients que prévu et accueillera de nouvelles fintechs sous peu.
Le spécialiste du transfert d’argent développe son offre en direct pour faciliter et réduire le coût des paiements internationaux, mais aussi de façon indirecte auprès des banques traditionnelles ou innovantes.
L’assurtech tricolore, qui compte déjà près de 1.000 polices en portefeuille, s’associe à l’assureur Axeria pour augmenter ses capacités de souscription.