L’actualité (lancement, levée de fonds, nouveaux produits) des start-up qui utilisent les nouvelles technologies pour proposer des services innovants dans le domaine de la finance.
Les premiers contrats à terme sur le bitcoin, lancés dans la nuit sur le CBOE Futures Exchange de Chicago, ont gagné jusqu'à plus de 20% en séance. Le contrat à un mois a ouvert à 15.460 dollars, s’est brièvement replié puis a atteint un pic de 18.700 dollars. En milieu de journée lundi, il se traitait en hausse de près de 15% à 17.690 dollars, avec 2.756 contrats traités. Au même moment, le site coindesk.com affichait le bitcoin en hausse de 10,5% à 16.615 dollars.
La plate-forme technologique Treezor, qui offre des services de tenue de compte et de paiement en marque blanche ou via API (interfaces de programmation) à des fintech ou entreprises établies, a annoncé jeudi soir être «la première fintech française» à avoir signé avec Apple Pay. Elle a lancé ce mois-ci le service de paiement mobile d’Apple pour l’application de paiement mobile Lydia, en s’appuyant sur une technologie de son partenaire Mastercard. La start-up souligne dans un communiqué pouvoir «désormais fournir à l’ensemble de ses clients agents ou distributeur de monnaie électronique, des cartes de paiement, physiques ou virtuelles, compatibles Apple Pay pour régler des achats sans contact via leur iPhone». La banque mobile allemande N26 propose également Apple Pay à ses clients français.
Neuf sociétés ont été labellisés par Finance Innovation dans la filière gestion d'actifs. Les labellisés se caractérisent par leurs offres de solutions dans les domaines de l'allocation, de la connaissance du client ou encore du reporting.
En cette fin d’année 2017, Epargnissimo, courtier indépendant, complète sa gamme de produits en partenariat avec Suravenir, filiale d’assurance vie et de prévoyance du Crédit Mutuel ARKEA, en intégrant une offre de gestion pilotée, gérée par les experts de la société de gestion Carmignac.
La plate-forme technologique Treezor, qui offre des services de tenue de compte et de paiement en marque blanche ou via API (interfaces de programmation) à des fintech ou entreprises établies, a annoncé hier soir être « la première fintech française » à avoir signé avec Apple Pay. Elle a lancé ce mois-ci le service de paiement mobile d’Apple pour l’application de paiement mobile Lydia, en s’appuyant sur la technologie de tokenisation de son partenaire Mastercard. La banque mobile allemande N26 propose également Apple Pay à ses clients français.
La fintech britannique WordlRemit, leader du transfert d’argent international sur mobile, a annoncé hier avoir levé 40 millions de dollars (34 millions d’euros) pour viser 10 millions de clients des pays émergents à horizon 2020, dont 50% en Afrique. Ce tour de table (série C) porte à 220 millions de dollars le total des investissements dont a bénéficié WorldRemit à ce jour. Il a été orchestré par LeapFrog Investments, avec le concours des investisseurs historiques Accel et TCV.
La fintech britannique WordlRemit, leader du transfert d’argent international sur mobile, a annoncé aujourd’hui avoir levé 40 millions de dollars (34 millions d’euros) pour viser 10 millions de clients des pays émergents à horizon 2020, dont 50% en Afrique. Ce tour de table (série C) porte à 220 millions de dollars le total des investissements dont a bénéficié WorldRemit à ce jour. Il a été orchestré par LeapFrog Investments, avec le concours des investisseurs historiques Accel et TCV.
La néobanque britannique Revolut, lancée en juillet 2015 et qui revendique un million de comptes, dont 170.000 en France, propose désormais à ses utilisateurs d’acheter et échanger, au sein de leur application mobile, trois cryptomonnaies: Bitcoin, Litecoin et Ethereum, et ce depuis 25 devises. Plus de 10.000 utilisateurs de Revolut se sont enregistrés en moins de six jours pour tester la version beta, se réjouissait hier la fintech dans un communiqué.
La néobanque britannique Revolut, lancée en juillet 2015 et qui revendique un million de comptes, dont 170.000 en France, propose désormais à ses utilisateurs d’acheter et échanger, au sein de leur application mobile, trois crypto-monnaies: Bitcoin, Litecoin et Ethereum, et ce depuis 25 devises. Plus de 10.000 utilisateurs de Revolut se sont enregistrés en moins de 6 jours pour tester la version beta, se réjouit la fintech dans un communiqué.
Le président socialiste vénézuélien, Nicolas Maduro, a annoncé dimanche la création du «petro», une monnaie virtuelle basée sur les réserves de pétrole du pays, pour lutter contre le «blocus financier» des Etats-Unis. «J’annonce que le Venezuela va mettre en place un nouveau système de cryptomonnaie basé sur ses réserves pétrolières. Le Venezuela va créer une cryptomonnaie, le petro, pour progresser en matière de souveraineté monétaire, pour procéder à ses transactions financières malgré le blocus financier», a déclaré M. Maduro lors de son émission télévisée hebdomadaire.
Le groupe s’apprête à ouvrir au public la communauté d’utilisateurs français de Fidor, afin de construire conjointement une offre différente de banque mobile.
La cryptomonnaie de référence continue sa folle équipée. Après avoir franchi en 24 heures le seuil des 10.000 puis des 11.000 dollars, le cours du bitcoin s’est effondré de plus de 20% en 90 minutes hier soir, touchant un point bas de 9.009 dollars. Les fluctuations de l’actif numérique a entraîné des afflux de d’échanges sur les plates-formes, rendant notamment la plate-forme Coinbase inaccessible par moments. Le bitcoin s’est depuis quelque peu redressé, mais s’échangeait encore sous les 10.000 dollars dans la nuit. La performance du bitcoin depuis le début de l’année, où il était encore sous les 1.000 dollars, a toutefois attiré l’attention du fisc américain, qui a obtenu en justice l’accès aux noms des gros utilisateurs américains de Coinbase, alors que seuls quelques centaines de traders ont déclaré des gains sur le bitcoin ces dernières années.
Jonction. Max, l’assistant personnel 100 % mobile lancé par Crédit Mutuel Arkéa pour accompagner et conseiller les consommateurs dans leur vie quotidienne, enrichit son offre grâce à de nouveaux partenaires : Yomoni pour la gestion de l’épargne en ligne et WeSave pour la gestion de patrimoine. Les utilisateurs pourront souscrire aisément les produits ainsi proposés par Max « en toute impartialité ». Max préfigure la banque de demain organisée autour d’un agrégateur des comptes qui donne accès à divers services, bancaires, d’épargne, de crédit ou d’autres univers de consommation, qui peuvent être souscrits auprès de partenaires tiers raccordés à la plate-forme. Autre exemple, l’agrégateur Bankin’ s’est allié à Yomoni, tandis que Linxo a ouvert sa plate-forme Linxo Connect pour accueillir des partenaires. L’open banking est déjà là.
La filiale d’assurance de la Société Générale, Société Générale Insurance, a annoncé hier un partenariat stratégique en Europe entre sa start-up Moonshot-Internet et la start-up asiatique eBaoTech. Créée en mars 2017 par Société Générale Insurance, Moonshot-Internet fournit aux e-commerçants des offres de retour colis. «Par exemple, en cas de retard de leur avion, les clients du site partenaire de Moonshot-Internet ayant souscrit une assurance sont immédiatement prévenus et dédommagés par l’accès à des services VIP», précise un communiqué. De son côté, eBaoTech, start-up basée à Shanghai, fournit des plates-formes d’assurances connectées en assurance vie et non-vie. Moonshot-Internet est le premier client en Europe de la solution eBaoCloud vendue par la société chinoise.
La Commission européenne vient d'adopter aujourd'hui des règles garantissant une plus grande sécurité des paiements électroniques dans les magasins et en ligne. Elle a notamment réduit l'accès des fintechs aux données bancaires en interdisant le recours au « web scraping » à partir de septembre 2019.
La filiale d’assurance de la Société Générale, Société Générale Insurance, a annoncé aujourd’hui un partenariat stratégique en Europe entre sa start-up Moonshot-Internet et la start-up asiatique eBaoTech. Créée en mars 2017 par Société Générale Insurance, Moonshot-Internet fournit aux e-commerçants des offres de retour colis. « Par exemple, en cas de retard de leur avion, les clients du site partenaire de Moonshot-Internet ayant souscrit une assurance sont immédiatement prévenus et dédommagés par l’accès à des services VIP », précise un communiqué.
Hush, c’est le nom d’un projet de néo-banque européenne porté par Eric Charpentier (photo), un nom bien connu du monde bancaire français depuis qu’il a dû céder les rênes de Morning, autre néo-banque fondée pour diffuser le concept de « cobanking » : faire de la banque ensemble mais sans banque, à l’aide d’une plate-forme technologique servant surtout à créer des cagnottes. Son départ était devenu inexorable après le retrait d’agrément de l’ACPR. Cette fois, Eric Charpentier rebondit au Luxembourg pour lancer Hush et lever des fonds grâce une ICO (initial coin offering), qui consiste à émettre des actifs numériques (tokens) et à les échanger contre de la cryptomonnaie ou de la monnaie fiduciaire auprès d’investisseurs. Or bon nombre d’acteurs de la finance avertissent que l’essor galopant des ICO n’est rien d’autre qu’une bulle nourrie par des projets voués à l’échec, lancés par des entrepreneurs incontrôlables...