L’actualité (lancement, levée de fonds, nouveaux produits) des start-up qui utilisent les nouvelles technologies pour proposer des services innovants dans le domaine de la finance.
En partenariat avec CNP Assurances, le robo advisor Advize va mettre à disposition son expertise au service de La Banque Postale dans le cadre de sa nouvelle assurance-vie.
La banque mobile Orange Bank proposera des crédits à la consommation au mois de mars, indique au Figaro Marc Rennard, directeur général adjoint d’Orange en charge de l’expérience client et de la banque mobile, dans un article publié hier soir. Il sera possible d’emprunter jusqu'à 70.000 euros sur cinq ans, rapporte le quotidien. Jusqu'à 7.000 euros, les clients n’auront pas besoin de fournir des informations supplémentaires. Orange Bank souhaite aussi lancer une carte Visa Premium cet été.
L’agrégateur Bankin, qui propose une application de conseil financier, a annoncé hier s’être associé à trois nouvelles fintech, après un premier partenariat avec le robo-advisor Yomoni signé en septembre. Bankin proposera désormais à ses clients les services de TransferWise, fintech britannique spécialiste du transfert d’argent à l’étranger, Pretto, spécialiste du courtage immobilier en ligne, et Réassurez-moi, spécialiste de l’assurance emprunteur en ligne.
L’agrégateur Bankin, qui propose une application de conseil financier, a annoncé aujourd’hui s’être associé à trois nouvelles fintech, après un premier partenariat avec le robo-advisor Yomoni signé en septembre. Bankin proposera désormais à ses clients les services de TransferWise, fintech britannique spécialiste du transfert d’argent à l’étranger, Pretto, spécialiste du courtage immobilier en ligne, et Réassurez-moi, spécialiste de l’assurance emprunteur en ligne.
Spécialisée dans le « cognitive computing », la société américaine est capable de détecter les intentions des banquiers en analysant tous les canaux de communication.
La fintech Iznes annonce avoir bouclé sa première levée de fonds, sans toutefois en dévoiler le montant. Dans ce cadre, 5 sociétés de gestion, qui participent depuis plusieurs mois aux travaux de développement de la solution, rejoignent OFI AM et SETL, la fintech spécialiste de la blockchain, au capital d’Iznes : Arkéa IS, Groupama AM, La Banque Postale AM, La Financière de l’Échiquier et Lyxor AM
Les fintech offrent des opportunités majeures aux trois premières banques japonaises (Mitsubishi UFJ, Mizuho et Sumimoto Mitsui) qui ont des « capacités d’investissement plutôt élevées », ainsi qu’aux nouveaux acteurs financiers à même de créer des systèmes d’information flexibles, selon une étude publiée aujourd’hui par S&P. A moyen-long terme (à partir de deux à trois ans), la nouvelle dynamique concurrentielle pourra être bénéfique au secteur bancaire japonais et à l’économie, en baissant notamment les frais de transactions. À court terme cependant, le développement des fintech pourrait bousculer la structure et l’équilibre actuels de l’industrie financière japonaise, unique parmi les pays développés par son partage géographique et par lignes de métiers, met en garde l’agence de notation.
La Financial Conduct Authority (FCA) a lancé hier un appel à contribution sur la manière dont la technologie peut simplifier les exigences de reporting et améliorer la qualité des informations transmises. Les sociétés technologiques spécialisées dans ce domaine sont regroupées sous l’appellation «regtech». La FCA demande aux contributeurs leur avis sur une première innovation visant à automatiser le reporting. La consultation est ouverte jusqu’au 20 juin et un premier retour devrait être publié au cours de l’été.
La croissance des fintech pose des risques inédits aux banques établies mais leur ouvre également de nouvelles opportunités, observe le Comité de Bâle dans un rapport sur le sujet publié hier. Le Comité souligne l’importance pour les régulateurs de ne pas se laisser dépasser par les innovations technologiques appliquées au secteur de la finance. Tout comme pour les banques, les régulateurs doivent chercher à éduquer leurs équipes aux nouveaux enjeux et défis créés par les fintech, et encourager l’application des nouvelles technologies pour améliorer leur rôle de superviseur. «Bien que l’industrie bancaire ait été affectée par de multiples innovations par le passé, l’adoption rapide des technologies et l’émergence de nouveaux modèles bancaires créent des risques et opportunités variés pour les banques établies dans quasiment tous les scénarios étudiés», note le Comité de Bâle.
Le régulateur américain des marchés dérivés, la CFTC, a signé hier un accord avec le gendarme britannique des marchés financiers, la FCA, portant sur une coopération renforcée dans le domaine de l’innovation technologique dans le secteur financier. Les deux régulateurs souhaitent notamment développer des liens entre leurs deux programmes pour les fintech, afin de les aider à franchir le pas de l’internationalisation.
La Finma a choisi une approche différente de l’AMF, privilégiant le laisser-faire, alors que la Suisse émerge comme l’un des principaux pôles pour les ICO.
CNP Assurances mène le dernier tour de table de 13 millions d’euros. La plate-forme de paiement mobile souhaite lancer prochainement une offre payante multiproduit.
A l'occasion d'une audition parlementaire mercredi, un porte-parole des fintechs Françaises a appelé la France à aller encore plus loin que ce que prévoit Bruxelles pour renforcer la concurrence dans le domaine des services bancaires.
Pour permettre aux Chinois d’utiliser leur application en Europe, Alipay multiplie les partenariats avec les banques acquéreurs et avec les fournisseurs de terminaux.
Grâce à la DPSP2, les commerçants pourront jouer le rôle de distributeurs de billets, avec un plafond de retrait qui pourrait s’établir autour de 150 euros.