Les ventes au détail dans leur ensemble ont augmenté de 0,6% d’un mois sur l’autre, le chiffre le plus élevé depuis décembre, après une hausse de 0,3% en juin selon les chiffres révisés, montrent les statistiques publiées hier le département du Commerce. Les économistes prévoyaient en moyenne une progression de 0,4% des ventes en juillet après la baisse de 0,2% annoncée initialement pour juin. Sur un an, les ventes au détail sont en hausse de 4,2% en juillet. Hors automobiles, carburants, matériaux de construction et services alimentaires, les ventes au détail ont augmenté de 0,6% par rapport à juin après +0,1% un mois plus tôt.
La confiance des patrons de petites et moyennes entreprises aux Etats-Unis s’est érodée en juin, minée par l'échec des parlementaires au Congrès à trouver un accord sur la réforme de l’assurance-santé. L’indice de confiance de la National Federation of Independent Businesses (NFIB), l’association américaine du secteur, s’est contracté à 103,6 le mois dernier, contre 104,5 en mai. Les économistes s’attendaient à un indice de 104,5 en juin.
L'économie américaine devrait connaître une croissance de 2,6% en rythme annualisé au deuxième trimestre au vu des dernières données sur les créations d’emplois et les stocks de grossistes, indiquait hier le modèle de prévision GDP Now de la Réserve fédérale d’Atlanta. Cette nouvelle estimation de la croissance du PIB américain est inférieure à celle de 2,7% calculée le 6 juillet.
La confiance des patrons de petites et moyennes entreprises aux Etats-Unis s’est érodée en juin, minée par l'échec des parlementaires au Congrès à trouver un accord sur la réforme de l’assurance-santé. L’indice de confiance de la National Federation of Independent Businesses (NFIB), l’association américaine du secteur, s’est contracté à 103,6 le mois dernier, contre 104,5 en mai. Les économistes s’attendaient à un indice de 104,5 en juin.
Le crédit à la consommation aux Etats-Unis a progressé à son rythme le plus élevé depuis sept mois en mai. Son encours a augmenté de 18,4 milliards de dollars, soit 5,8%, sur le mois, indiquent des données publiées hier par la Réserve fédérale. La progression apparaît supérieure à la prévision des économistes qui tablaient sur un gain de de 13,5 milliards de dollars sur le mois.
L’administration Trump prévoit de dévoiler en septembre son projet de réforme fiscale avec l’espoir de le faire adopter par le Congrès des Etats-Unis avant la fin de l’année, a déclaré hier le secrétaire américain au Trésor. Steve Mnuchin a aussi déclaré que l’administration Trump n’envisageait pas d’augmenter les impôts sur les Américains les plus riches pour financer des allègements fiscaux pour la classe moyenne.
Les commandes à l’industrie ont baissé plus que prévu en mai aux Etats-Unis, de 0,8%, a annoncé le département du Commerce hier. Elles avaient déjà reculé de 0,3% en avril. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à un repli de 0,5%. Les commandes de biens d'équipement civils, hors aéronautique, ont augmenté de 0,2% en mai au lieu d’un repli de 0,2% annoncé le mois dernier. Les livraisons de ce type de biens d'équipement, utilisés dans le calcul de l’investissement productif du PIB, ont progressé de 0,1% au lieu du recul de 0,2% précédemment annoncé.
Les commandes à l’industrie ont baissé plus que prévu en mai aux Etats-Unis mais les commandes de biens d'équipement ont été un peu meilleures qu’initialement estimé, ce qui suggère que le secteur manufacturier reste sur une trajectoire de croissance modérée. Les commandes à l’industrie ont baissé de 0,8%, a annoncé le département du Commerce mercredi. Elles avaient déjà reculé de 0,3% en avril. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient à un repli de 0,5% en mai après une baisse de 0,2% en première estimation en avril. Par rapport à mai 2016, les commandes à l’industrie sont toutefois en hausse de 4,8%.
La croissance de l’activité du secteur manufacturier aux Etats-Unis a progressé plus rapidement que prévu en juin, montrent lundi les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. Son indice d’activité est ressorti à 57,8 le mois dernier, son plus haut niveau depuis août 2014, après 54,9 en mai, et reste bien au-dessus du seuil de 50 à partir duquel il rend compte d’une croissance. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un indice en hausse plus faible, à 55,2.
L'économie américaine connaît actuellement un taux de croissance de 3,0% en rythme annualisé au deuxième trimestre au vu des dernières données relatives à l’activité manufacturière et aux dépenses de construction, indiquait hier le modèle de prévision GDP Now de la Réserve fédérale d’Atlanta. Cette nouvelle estimation de la croissance du PIB américain est supérieure à celle de 2,7% publiée vendredi par la Fed régionale.
La croissance de l’activité du secteur manufacturier aux Etats-Unis a progressé plus rapidement que prévu en juin, montrent lundi les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. Son indice d’activité est ressorti à 57,8 le mois dernier, son plus haut niveau depuis août 2014, après 54,9 en mai, et reste bien au-dessus du seuil de 50 à partir duquel il rend compte d’une croissance. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne un indice en hausse plus faible, à 55,2.
Les records à répétition des indices boursiers américains et l’appréciation continue du patrimoine immobilier outre-Atlantique ont permis au patrimoine des ménages américains d’atteindre un nouveau pic au premier trimestre, d’après les données de la Réserve fédérale publiées hier. Le patrimoine net des ménages a crû de 2.350 milliards de dollars, soit 2,5% entre janvier et mars, pour le porter à 94.840 milliards. Le patrimoine financier a gagné 1.780 milliards tandis que la valeur du patrimoine immobilier s’est accrue de 436 milliards.
La rumeur se faisait de plus en plus insistante, le président américain est venu la confirmer : les Etats-Unis vont se retirer de l’accord historique sur le climat décidé lors de la COP21 à Paris en décembre 2015 et signé par près de 200 pays. Cet accord vise à limiter les conséquences du réchauffement climatique d’ici à la fin du siècle.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté plus que prévu la semaine dernière aux Etats-Unis, à 248.000 lors de la semaine au 27 mai, a annoncé hier le département du Travail alors que les économistes en attendaient en moyenne 239.000. Parallèlement, d’après l’enquête mensuelle publiée hier par ADP, le secteur privé aux Etats-Unis a créé 253.000 emplois en mai, un chiffre bien supérieur aux 185.000 anticipés en moyenne par les économistes. Les chiffres officiels des créations d’emploi de mai seront publiés aujourd’hui par le département du Travail et portent à la fois sur le secteur privé et le secteur public.
Les inscriptions hebdomadaires au chômage ont augmenté plus que prévu la semaine dernière aux Etats-Unis, mais cette hausse n’augure probablement pas d’un changement significatif du marché du travail. Ces inscriptions se sont établies à 248.000 lors de la semaine au 27 mai, soit une augmentation de 13.000 par rapport à la semaine précédente pour laquelle la statistique a été révisée à la hausse, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient en moyenne 239.000 inscriptions au chômage.
Le dollar a profité vendredi de la révision à la hausse de la croissance américaine au premier trimestre ainsi que d’indicateurs supérieurs aux attentes pour se renforcer de 0,5% face aux 6 autres principales devises et de 0,6% face à l’euro pour repasser sous le seuil de 1,12 de parité. Le ralentissement de la croissance a finalement été limité à 1,2% en rythme annuel au cours du premier trimestre, contre 0,7% en toute première estimation il y a un mois et 0,9% anticipé par le consensus Reuters. Il s’agit néanmoins du chiffre le plus faible enregistré depuis le premier trimestre 2016.