Les ventes au détail en zone euro ont augmenté conformément aux attentes en septembre de 0,4% sur un mois, et elles se sont contractées de 0,6% sur un an, alors que les données du mois d’août ont été révisées en forte hausse (stable au lieu de -0,3%), montrent les statistiques publiées mardi par Eurostat. La statistique annuelle marque un recul nettement moins prononcé que la contraction de 1,3% attendue par les économistes. La progression enregistrée en septembre par rapport à août a été principalement portée par les achats en ligne, qui ont augmenté de 2,6% après une chute de 4,1% le mois précédent, période de vacances estivales. A l’inverse, les ventes d’essence, qui avaient augmenté de 2,1% en août, ont diminué de 0,6% en septembre.
Les ventes au détail en zone euro ont augmenté conformément aux attentes en septembre de 0,4% sur un mois, et se sont contractées de 0,6% sur un an, alors que les données du mois d’août ont été révisées en forte hausse (stable au lieu de -0,3%), montrent les statistiques publiées mardi par Eurostat.
L’activité économique en zone euro s’est contractée au rythme le plus rapide depuis fin 2020 en octobre, montrent les résultats définitifs des enquêtes S&P Global auprès des directeurs d’achat du secteur des services en Europe publiés vendredi. L’indice PMI composite a reculé à 47,3 en octobre, à un creux de 23 mois, après 48,1 en septembre (47,1 en première estimation). Le sous-indice des nouvelles commandes est tombé à 45,0 (46,3 en septembre). L’indice PMI des services ressort à 48,6 en octobre après 48,8 en septembre (48,2 en première estimation).
La production industrielle en France a baissé de 0,8% sur un mois en septembre, après une hausse de 2,7% en août, en données révisées, a annoncé vendredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Cette baisse est due à un repli «dans la plupart des grandes branches» et en particulier dans la production automobile, qui a connu un recul de 5,5% après un «mois d’août très dynamique» (+16,4%), a détaillé l’Insee. La seule production manufacturière a également reculé, enregistrant un repli de 0,4% sur un mois en septembre, après avoir grimpé de 3% en août, en données révisées, a précisé l’institut.
Les commandes à l’industrie allemande ont enregistré une contraction nettement plus importante que prévu en septembre en raison d’une forte baisse de la demande en provenance de l'étranger, montrent les données de l’Office fédéral de la statistique publiées vendredi. En données ajustées des variations saisonnières, elles ont reculé de 4% sur un mois en septembre, alors que les analystes interrogés par Reuters tablaient sur une baisse de 0,5%. Les chiffres du mois d’août, initialement indiqués en repli de 2,4%, sont révisés à -2,0%. Sur le mois de septembre, les commandes domestiques ont augmenté de 0,5%, tandis que les commandes extérieures ont diminué de 7 %.
La production industrielle en France a baissé de 0,8% sur un mois en septembre, après une hausse de 2,7% en août, en données révisées, a annoncé vendredi l’Institut national de la statistique et des études économiques (Insee). Cette baisse est due à un repli «dans la plupart des grandes branches» et en particulier dans la production automobile, qui a connu un recul de 5,5% après un «mois d’août très dynamique» (+16,4%), a détaillé l’Insee.
Les commandes à l’industrie allemande ont enregistré une contraction nettement plus importante que prévu en septembre en raison d’une forte baisse de la demande en provenance de l'étranger, montrent les données de l’Office fédéral de la statistique publiées vendredi. En données ajustées des variations saisonnières, elles ont reculé de 4% sur un mois en septembre, alors que les analystes interrogés par Reuters tablaient sur une baisse de 0,5%.
L’activité économique en zone euro s’est contractée au rythme le plus rapide depuis fin 2020 en octobre, montrent les résultats définitifs des enquêtes S&P Global auprès des directeurs d’achat du secteur des services en Europe publiés vendredi. «Après les données sur les PMI du troisième trimestre et celles officielles sur le PIB qui montrent un ralentissement, les derniers résultats pour le début du quatrième trimestre suggèrent que l’économie de la zone euro se dirige désormais vers une récession cet hiver», a déclaré Joe Hayes, économiste chez S&P Global Market Intelligence, évoquant la baisse de la demande des ménages et de la confiance des entreprises face à l’inflation toujours élevée.
Les inscriptions au chômage ont légèrement diminué aux Etats-Unis lors de la semaine au 29 octobre, à 217.000 contre 218.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient une augmentation des inscriptions, à 220.000 en moyenne. Les inscriptions de la semaine au 22 octobre ont été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 217.000. La moyenne mobile sur quatre semaines s'établit à 218.750 contre 219.250 (révisé) la semaine précédente. Le nombre de personnes percevant régulièrement des indemnités s’est élevé à 1,485 million lors de la semaine au 22 octobre (dernière semaine pour laquelle ces chiffres sont disponibles) contre 1,438 million la semaine précédente.
L’activité du secteur privé britannique a subi en octobre sa plus forte contraction depuis le début de l’an dernier, montrent les résultats définitifs de l’enquête mensuelle de S&P Global auprès des directeurs d’achats parus jeudi. L’indice PMI composite, qui rassemble le secteur des services et celui de l’industrie manufacturière, a reculé à 48,2 en octobre, après 49,1 en septembre, mais bien moins que les 47,2 indiqués en première estimation. L’indice PMI des services a reflué à 48,8 en octobre, après 50,0 en septembre. Mercredi, l’indice PMI manufacturier était ressorti à 46,2 pour octobre (un peu mieux que la première estimation de 45,8), en chute après les 48,2 constatés en septembre.
La croissance de l’activité du secteur des services aux Etats-Unis a ralenti plus que prévu en octobre pour revenir à son rythme le plus lent depuis mai 2020, montre l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) publiée jeudi. L’indice ISM des services est ressorti en baisse à 54,4 en octobre, toujours en croissance cependant après les 56,7 en septembre. Les professionnels ont signalé une forte contraction des exportations (47,7 après 65,1) en raison du ralentissement de la croissance mondiale et de la vigueur du dollar. Et également de la composante emploi, passée sous le seuil de 50 séparant contraction et expansion de l’activité, à 49,1 après 53 en septembre. L’indice ISM manufacturier d’octobre était ressorti à 50,2.
Les inscriptions au chômage ont légèrement diminué aux Etats-Unis lors de la semaine au 29 octobre, à 217.000 contre 218.000 (révisé) la semaine précédente, a annoncé jeudi le département du Travail. Les économistes attendaient une augmentation des inscriptions, à 220.000 en moyenne. Les inscriptions de la semaine au 22 octobre ont été révisées en hausse par rapport à une estimation initiale de 217.000.
L’activité du secteur privé britannique a subi en octobre sa plus forte contraction depuis le début de l’an dernier, montrent les résultats définitifs de l’enquête mensuelle de S&P Global auprès des directeurs d’achats parus jeudi.
Les résultats définitifs de l’enquête mensuelle de S&P Global (ex-IHS Markit) auprès des directeurs d’achats a montré mercredi une baisse d’activité dans le secteur manufacturier de la zone euro plus marquée encore qu’estimé initialement en octobre, confirmant que le secteur est entré en récession. Ainsi, l’indice PMI manufacturier a reculé à 46,4, au plus bas depuis 29 mois, après 48,4 en septembre, et 46,6 en première estimation. Un sous-indice mesurant l’évolution de la production, qui entre dans le calcul du PMI composite attendu vendredi, a chuté à 43,8 après 46,3 en septembre. Le sous-indice des nouvelles commandes est tombé à 37,9 le mois dernier, après 41,3 en septembre en dépit d’un léger reflux des tensions inflationnistes. «Les nouvelles commandes ont baissé à un rythme que nous avions rarement observé en 25 ans de recueil de données - hors pandémie et plus haut de la crise financière de 2008», a souligné Joe Hayes, économiste senior de S&P Global Market Intelligence, estimant que les conditions resteront difficiles «une bonne partie de 2023».
Les résultats définitifs de l’enquête mensuelle de S&P Global (ex-IHS Markit) auprès des directeurs d’achats a montré mercredi une baisse d’activité dans le secteur manufacturier de la zone euro plus marquée encore qu’estimé initialement en octobre, confirmant que le secteur est entré en récession.
Le PIB de l’Italie a augmenté de 0,5% au troisième trimestre, ralentissant par rapport à la croissance de 1,1% au deuxième trimestre selon les données publiées lundi par l’Istat, mais dépassant les attentes qui prévoyaient un décrochage. Le résultat a également dépassé les attentes de l’Office parlementaire italien du budget, qui anticipait une contraction de 0,2%, les autorités s’attendant à ce que la flambée des prix de l’énergie et l’incertitude politique au milieu des élections législatives anticipées frappent déjà les dépenses de consommation. En rythme annuel, l’économie italienne a encore progressé de 2,6%, l’acquis de croissance annuelle du PIB jusqu’au troisième trimestre restant à 3,9%.
Selon l'étude mensuelle publiée mardi par l’Institute for Supply Management (ISM), l’activité manufacturière américaine a stagné à 50,2 le mois dernier contre un indice 50,9 en septembre, alors que le consensus des économistes tablait en moyenne sur un indice de 50. Le chiffre d’octobre est le plus faible depuis mai 2020, pendant la période de confinement au début de la pandémie. Les nouvelles commandes ont accentué leur repli, avec un sous-indice de 47,1 contre 49,2 en septembre, tandis que la production a augmenté de 1,7 point en octobre, à 52,3.
L’activité dans le secteur privé en Chine s’est contractée en octobre contre toute attente. Les indices PMI des directeurs d’achats officiels ont basculé sous la barre des 50.
Le PIB de l’Italie a augmenté de 0,5% au troisième trimestre, ralentissant par rapport à la croissance de 1,1% au deuxième trimestre selon l’Istat, mais dépassant les attentes qui prévoyaient un décrochage. Le résultat a également dépassé les attentes de l’Office parlementaire italien du budget, qui anticipait une contraction de 0,2%, les autorités s’attendant à ce que la flambée des prix de l’énergie et l’incertitude politique au milieu des élections législatives anticipées frappent déjà les dépenses de consommation.
L’indice de confiance des consommateurs est tombé à 29,9 points en octobre au Japon, après 30,8 un mois plus tôt. Il s’agit du chiffre le plus bas depuis août 2020, dans un contexte de flambée des prix et de mauvaises nouvelles sur le potentiel de la croissance mondiale.