La croissance de l'économie française devrait atteindre 0,5% au troisième trimestre, soit le même rythme que celui enregistré lors des trois mois précédents, maintient la Banque de France dans sa deuxième projection fondée sur son enquête mensuelle de conjoncture d’août publiée lundi. La prévision de la banque centrale pour le trimestre est en outre identique à celle avancée par l’Insee dans sa dernière note de conjoncture publiée fin juin.
Le déficit du budget de l’Etat français s'élevait à 83,8 milliards d’euros fin juillet, en hausse de 3 milliards par rapport à la même période il y a un an, selon les données publiées vendredi par le ministère de l’Action et des Comptes publics. Le ministère souligne qu’au-delà des évolutions inscrites en loi de finances initiale, le mois de juillet intègre la recapitalisation d’Areva, pour 2 milliards d’euros, qui a été financée sur crédits budgétaires.
La production industrielle de la France a rebondi de 0,5% en juillet, soutenue par les secteurs de l'énergie et des matériels de transport, selon les données publiées ce matin par l’Insee. La seule production manufacturière a progressé de 0,3% sur le mois. Les économistes tablaient en moyenne sur une hausse de 0,6% de la production industrielle. L’Insee a confirmé en parallèle les évolutions de juin pour la production industrielle (-1,1%) comme pour la production manufacturière (-0,9%).
Les prix à la consommation en Chine ont augmenté de 1,8% en août sur un an, a annoncé samedi le Bureau national de la statistique. Ce niveau dépasse les attentes des analystes interrogés par Reuters qui anticipaient une hausse plus modeste de 1,6%, après 1,4% en juillet. Les prix à la production ont en parallèle progressé de 6,3% sur un an en août, un chiffre là aussi supérieur aux prévisions des analystes et qui représente une accélération inédite en six mois.
Le déficit du budget de l’Etat français s'élevait à 83,8 milliards d’euros fin juillet, en hausse de 3 milliards par rapport à la même période il y a un an, selon les données publiées ce matin par le ministère de l’Action et des Comptes publics. Au 31 juillet, les dépenses (budget général et prélèvements sur recettes) s'établissaient à 236,9 milliards contre 228,2 milliards un an plus tôt, soit une hausse de 3,8% (3,0% à périmètre constant) par rapport à fin juillet 2016.
La production industrielle de la France a rebondi de 0,5% en juillet, soutenue par les secteurs de l'énergie et des matériels de transport, selon les données publiées ce matin par l’Insee. La seule production manufacturière a progressé de 0,3% sur le mois. Les économistes tablaient en moyenne sur une hausse de 0,6% de la production industrielle. L’Insee a confirmé en parallèle les évolutions de juin pour la production industrielle (-1,1%) comme pour la production manufacturière (-0,9%).
A l’occasion de sa visite à Athènes, le président français a plaidé à nouveau pour une intégration plus poussée au sein de la zone euro. «Nous avons besoin d’une zone euro plus intégrée, et donc d’un vrai budget de la zone euro, d’un ministre des Finances permanent qui dirige cet exécutif», a déclaré Emmanuel Macron. D’ici là, le dirigeant propose de transformer le Mécanisme européen de stabilité en Fonds monétaire européen, «mais qui en rien ne se confond avec un budget: c’est un mécanisme d’accompagnement des crises, pour permettre, aussi, aux uns et aux autres, de pouvoir se relever lorsque des crises» sont traversées. Faisant allusion à la restructuration de la dette grecque, Emmanuel Macron a estimé que «le Fonds monétaire international n’avait pas sa place dans les affaires européennes, et je souhaite donc que l’Europe puisse retrouver son indépendance».
La Cour constitutionnelle espagnole a suspendu hier, comme on s’y attendait, l’entrée en vigueur d’une loi adoptée par le parlement régional catalan sur la tenue d’un référendum sur l’indépendance le 1er octobre, a-t-on appris auprès de la cour. La suspension restera en vigueur tant que les juges étudieront les arguments portant sur la constitutionnalité du texte. Le recours avait été déposé par le président du gouvernement espagnol, le conservateur Mariano Rajoy.
Le nombre des inscriptions au chômage a augmenté plus que prévu la semaine dernière aux Etats-Unis, une conséquence directe de l’ouragan Harvey, mais sans remettre en cause la tendance de fond du marché du travail qui reste solide. Ce nombre a augmenté de 62.000 à un total de 298.000 dans la semaine au 26 août, le plus élevé depuis avril 2015, a annoncé aujourd’hui le département du Travail. Cette hausse est la plus forte depuis novembre 2012. Les économistes projetaient une hausse limitée à 241.000. La moyenne mobile de quatre semaines a augmenté de 13.500 à 250.250.
A l’occasion de sa visite à Athènes, le président français a plaidé à nouveau pour une intégration plus poussée au sein de la zone euro. «Nous avons besoin d’une zone euro plus intégrée, et donc d’un vrai budget de la zone euro, d’un ministre des Finances permanent qui dirige cet exécutif», a déclaré Emmanuel Macron.
La balance des paiements de la France a enregistré en juillet un déficit de 4,2 milliards d’euros, en nette hausse par rapport à celui du mois de juin, révisé à 2,4 milliards d’euros, selon les données publiées jeudi par la Banque de France. Le déficit de juin avait été annoncé à 2,1 milliards d’euros en première estimation. Le solde des transactions courantes s’est creusé en juillet, notamment sous l’effet d’une forte accentuation du déficit des biens (-5,2 milliards contre -3,7 milliards en juin) tandis que le solde des services est ressorti quasi nul (-0,2 milliard après +0,2 milliard).
C’est la croissance du PIB mondial au deuxième trimestre. Une croissance synchrone et en accélération, après 3 % au premier trimestre, à son rythme le plus rapide depuis le troisième trimestre 2013, rapporte Euler Hermès qui maintient sa prévision de 2,9 % pour 2017, les cycles économiques entre les différentes zones étant décalés.
Les commandes à l’industrie en Allemagne ont baissé contre toute attente en juillet, victimes d’un tassement de 1,6% de la demande intérieure, tandis que la demande à l’exportation a stagné. La baisse a été de 0,7% en juillet après une hausse de 0,9% (1,0% en première estimation) le mois précédent, suivant les données publiées hier par le ministère de l’Economie. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient une hausse de 0,3% en juillet. Hors éléments volatils, les commandes à l’industrie ont néanmoins progressé de 0,6%.
Le déficit de la balance commerciale américaine a augmenté de 0,3% en juillet par rapport au mois précédent, pour ressortir à 43,69 milliards de dollars (36,62 milliards d’euros), a annoncé hier le département du Commerce. Les économistes tablaient en moyenne sur un déficit commercial de 44,7 milliards de dollars. Le déficit de juin a été revu en légère baisse, à 43,54 milliards de dollars, contre une estimation initiale de 43,64 milliards. Les exportations ont fléchi de 0,3%, à 194,38 milliards, tandis que les importations ont baissé de 0,2%, à 238,07 milliards.
Le gouvernement italien devrait porter sa prévision de croissance économique pour cette année de 1,1% actuellement à 1,4% ou 1,5%, à l’occasion de la publication ce mois-ci des nouvelles projections économiques du Trésor, selon une source gouvernementale citée hier matin par Reuters. Il se peut aussi que le Trésor annonce un nouvel objectif de déficit budgétaire de 1,7% ou 1,8% du PIB en 2018 (contre 1,2% actuellement). Ceci compliquerait la réduction du déficit structurel à laquelle l’Italie s'était engagée auprès de Bruxelles en avril.
Le déficit de la balance commerciale américaine a augmenté de 0,3% en juillet par rapport au mois précédent, pour ressortir à 43,69 milliards de dollars (36,62 milliards d’euros), a annoncé aujourd’hui le département du Commerce. Le déficit de juin a été revu en légère baisse, à 43,54 milliards de dollars, contre une estimation initiale de 43,64 milliards. Les économistes tablaient en moyenne sur un déficit commercial de 44,7 milliards de dollars pour juillet. Les exportations ont fléchi de 0,3%, à 194,38 milliards, tandis que les importations ont baissé de 0,2%, à 238,07 milliards.
Le gouvernement italien devrait porter sa prévision de croissance économique pour cette année à 1,4% ou 1,5%, contre 1,1% actuellement, à l’occasion de la publication dans la deuxième quinzaine de septembre des nouvelles projections économiques du Trésor, et se rapprocher ainsi de celle du consensus, selon une source gouvernementale citée ce matin par Reuters. Il se peut aussi que le Trésor annonce un nouvel objectif de déficit budgétaire de 1,7% ou 1,8% du PIB en 2018 contre 1,2% actuellement, ce qui compliquerait la réduction du déficit structurel de 0,3 point et non plus de 0,8 point comme l’Italie s’y était engagée auprès de Bruxelles en avril.
Les commandes à l’industrie en Allemagne ont baissé contre toute attente en juillet, victimes d’un tassement de 1,6% de la demande intérieure, tandis que la demande à l’exportation a stagné. La baisse a été de 0,7% en juillet après une hausse de 0,9% (1,0% en première estimation) le mois précédent, suivant les données publiées aujourd’hui par le ministère de l’Economie. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient une hausse de 0,3% en juillet. Hors éléments volatils, les commandes à l’industrie ont néanmoins progressé de 0,6%.
La croissance de l’activité du secteur privé dans la zone euro s’est poursuivie en août au même rythme qu’au mois de juillet, selon les données définitives publiées mardi par Markit Economics. L’indice PMI composite de la zone euro s’est inscrit à 55,7 en août, comme en juillet, alors que l’estimation provisoire publiée par Markit le 23 août faisait état d’un indice un peu plus élevé, à 55,8.
Edouard Philippe a annoncé ce mardi des mesures qui permettront, selon lui, d’assurer un gain de pouvoir d’achat pour 75% des travailleurs indépendants. Une baisse des cotisations sociales permettra en 2018 de compenser la hausse de la Contribution sociale généralisée (CSG) pour tous les indépendants, a déclaré le Premier ministre lors d’un discours à Dijon. Une exonération dégressive s’y ajoutera, qui permettra aux indépendants dont les revenus nets sont inférieurs à 43.000 euros par an, soit 75% d’entre eux, de bénéficier d’un gain de pouvoir d’achat. Ce gain de pouvoir d’achat est estimé à 200 millions d’euros.