La croissance économique en Italie devrait se renforcer à court terme, soutenue par le secteur manufacturier et les investissements ainsi que par l’amélioration de la confiance des consommateurs et des entreprises, a dit jeudi l’Istat, l’institut national de la statistique. Dans sa note de conjoncture mensuelle, l’Istat précise que son dernier indicateur principal composite s’est amélioré, «renforçant les perspectives de croissance à court terme». La troisième économie de la zone euro a enregistré une croissance de 0,3% au deuxième trimestre, après une hausse de 0,5% au premier. Le gouvernement du président du Conseil italien, Paolo Gentiloni, a relevé le mois dernier sa prévision de croissance officielle pour 2017 à 1,5% contre 1,1% auparavant, après des données meilleures que prévu au premier semestre.
Les immatriculations de voitures neuves en Grande-Bretagne ont baissé de 9,2% en septembre, un repli qui devrait probablement entraîner en 2017 une première contraction sur l’ensemble de l’année depuis 2011, selon des chiffres provisoires de la fédération du secteur. Septembre est généralement un bon mois pour les livraisons de voitures neuves dans le pays en raison du traditionnel changement bi-annuel des plaques d’immatriculation indiquant l'âge des véhicules mais la demande laisse à désirer depuis quelque mois dans le deuxième marché automobile européen.
La confiance des dirigeants de start-ups ou d’entreprises intermédiaires françaises «est en train de monter en flèche» et près des deux tiers d’entre eux prévoient une croissance supérieure aux dernières prévisions de la Banque mondiale (2,7%), selon le baromètre de la croissance 2017 du cabinet Ernst & Young publié jeudi. Dans le détail, plus d’un dirigeant sur trois (38%) s’attend à voir son activité croître de 6 à 10% et près d’un sur cinq (19%) table sur une expansion de 11 à 15%. 7% des dirigeants français craignent une croissance négative.
La croissance du secteur des services s’est accélérée plus fortement que prévu en septembre aux Etats-Unis, son indice ayant atteint son plus haut niveau depuis août 2005, montraient hier les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. L’indice ISM des services est ressorti à 59,8 le mois dernier, contre 55,3 en août, alors que les économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un indice de 55,5.
La croissance du secteur des services s’est accélérée plus fortement que prévu en septembre aux Etats-Unis, son indice ayant atteint son plus haut niveau depuis août 2005, montrent mercredi les résultats de l’enquête mensuelle de l’Institute for Supply Management (ISM) auprès des directeurs d’achats. L’indice ISM des services est ressorti à 59,8 le mois dernier, contre 55,3 en août, alors que économistes interrogés par Reuters attendaient en moyenne un indice de 55,5.
Les prix à la production industrielle ont augmenté de 0,3% en août, soit plus que prévu, après leur stabilité du mois de juillet, montrent des données publiées hier par Eurostat. Les économistes prévoyaient en moyenne une hausse limitée à 0,1%. Sur un an, ces prix ont augmenté de 2,5% contre 2,0% (confirmés) en juillet et 2,3% attendus par le consensus. Les prix dans l’ensemble de l’industrie à l’exclusion du secteur de l'énergie ont augmenté de 0,1%, a ajouté Eurostat.
Les prix à la production industrielle ont augmenté de 0,3% en août, soit plus que prévu, après leur stabilité du mois de juillet, montrent des données publiées mardi par Eurostat. Les économistes interrogés par Reuters prévoyaient en moyenne une hausse limitée à 0,1%. Sur un an, ces prix ont augmenté de 2,5% contre 2,0% (confirmé) en juillet et 2,3% attendu par les économistes.
L’activité manufacturière de la zone euro a connu une nouvelle accélération en septembre pour évoluer à son rythme de croissance le plus soutenu depuis février 2011. L’indice des directeurs d’achats (PMI) IHS Markit a été de 58,1 en septembre, contre 58,2 en estimation flash, 57,4 en août et 56,6 en juillet. Le sous-indice de la production, qui entre dans le calcul de l’indice PMI composite qui sera publié demain, s’est établi à 59,2, un plus haut depuis avril 2011, contre 58,3 en août et 56,5 en juillet.
L'économie américaine devrait enregistrer une croissance de 2,7% en rythme annualisé au troisième trimestre compte tenu de la hausse plus forte que prévu des dépenses de construction en août et de l’accélération inattendue de l’activité manufacturière en septembre, montrait hier le modèle de prévision GDP Now de la Réserve fédérale d’Atlanta. Cette estimation est supérieure au taux de croissance de 2,3% calculé par la Fed d’Atlanta le 29 septembre.
Les dépenses de construction aux Etats-Unis ont rebondi en août après deux mois de baisse, avec des hausses dans le parc privé comme dans le public. Elles ont augmenté de 0,5% à 1.210 milliards de dollars (1.031 milliards d’euros) en rythme annualisé, selon les chiffres publiés hier par le département du Commerce. La baisse de juillet a été révisée à -1,2% au lieu de celle de -0,6% annoncée en première estimation. Les économistes tablaient en moyenne sur une progression de 0,4% en août. D’un an sur l’autre, les dépenses de construction ont augmenté de 2,5%.
Les dépenses de construction aux Etats-Unis ont rebondi en août après deux mois de baisse, avec des hausses dans le parc privé comme dans le public. Elles ont augmenté de 0,5% à 1.210 milliards de dollars (1.031 milliards d’euros) en rythme annualisé, selon les chiffres publiés ce lundi par le département du Commerce. La baisse de juillet a été révisée à -1,2% au lieu de celle de -0,6% annoncée en première estimation il y a un mois. Les économistes interrogés par Reuters tablaient en moyenne sur une progression de 0,4% en août. Par rapport au mois d’août 2016, les dépenses de construction ont augmenté de 2,5%.
L’activité manufacturière de la zone euro a connu une nouvelle accélération en septembre pour évoluer à son rythme de croissance le plus soutenu depuis février 2011, un élan qui devrait se poursuivre en octobre au vu de la bonne tenue des nouvelles commandes. L’indice des directeurs d’achats (PMI) IHS Markit a été de 58,1 en septembre, contre 58,2 en estimation flash, 57,4 en août et 56,6 en juillet. Le sous-indice de la production, qui entre dans le calcul de l’indice PMI composite qui sera publié mercredi, s’est établi à 59,2, un plus haut depuis avril 2011, contre 58,3 en août et 56,5 en juillet.
Les dépenses de consommation, qui représentent plus des deux tiers de l’activité économique aux Etats-Unis, ont faiblement progressé le mois dernier, comme prévu par les économistes interrogés par Reuters, après +0,3% en juillet, montrent les chiffres publiés vendredi par le département du Commerce. L’indice des prix à la consommation, hors énergie et produits alimentaires, a augmenté de 0,1% sur un mois, comme en juillet, mais légèrement moins vite que prévu (+0,2%). Sur un an, cet indice a augmenté de 1,3%, après 1,4% en juillet, à son rythme le plus faible depuis novembre 2015.
La croissance du produit intérieur brut (PIB) de la France pourrait s’élever à 1,8% cette année, a déclaré hier le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, lors de l'émission Le Grand jury RTL-Le Figaro-LCI. Le projet de budget pour 2018, présenté mercredi dernier, a été construit sur l’hypothèse d’une accélération de la croissance à 1,7% en 2017 et 2018 après 1,1 % en 2016.
La hausse des prix à la consommation dans la zone euro a été moins prononcée que prévue en septembre, selon la première estimation publiée vendredi par Eurostat. L’inflation dans les 19 pays partageant la monnaie unique a été de 1,5% sur un an, comme en août. Les économistes avaient anticipé en moyenne une progression de 1,6%. L’inflation sous-jacente s’est établie comme en août à 1,3%, alors que le consensus la donnait à 1,2%. La Banque centrale européenne (BCE) se fixe comme objectif une inflation annuelle légèrement inférieure à 2% à moyen terme.
Selon les chiffres annoncés vendredi par le Bureau fédéral du travail, le nombre de chômeurs en Allemagne a diminué en septembre de 23.000 à 2,506 millions en données corrigées des variations saisonnières, alors que le consensus Reuters donnait une baisse de 5.000 et que la prévision la plus optimiste était un repli de 15.000. Le taux de chômage est tombé à 5,6%, un nouveau creux depuis la réunification de 1990, alors que les économistes l’avaient attendu inchangé à 5,7%.
Les dépenses de consommation, qui représentent plus des deux tiers de l’activité économique aux Etats-Unis, ont augmenté de 0,1% le mois dernier, comme prévu par les économistes interrogés par Reuters, après +0,3% en juillet, montrent les chiffres publiés ce vendredi par le département du Commerce. L’indice des prix à la consommation, hors énergie et produits alimentaires, a augmenté de 0,1% sur un mois, comme en juillet, mais légèrement moins vite que prévu (+0,2%). Sur un an, cet indice a augmenté de 1,3%, après 1,4% en juillet, à son rythme le plus faible depuis novembre 2015.
Selon les chiffres annoncés vendredi par le Bureau fédéral du travail, le nombre de chômeurs en Allemagne a diminué en septembre de 23.000 à 2,506 millions en données corrigées des variations saisonnières, alors que le consensus Reuters donnait une baisse de 5.000 et que la prévision la plus optimiste était un repli de 15.000. Le taux de chômage est tombé à 5,6%, un nouveau creux depuis la réunification de 1990, alors que les économistes l’avaient attendu inchangé à 5,7%.
Les ventes au détail en Allemagne ont reculé contre toute attente en août, ce qui peut laisser supposer que la contribution de la consommation privée à la croissance du pays s'émousse quelque peu. La statistique fait ressortir un repli de 0,4% en termes réels, selon les données publiées ce matin par Destatis, l’office fédéral de la statistique. Les économistes interrogés par Reuters avaient anticipé en moyenne une progression de 0,5% après le recul de 1,2% enregistré en juillet. Sur un an, les ventes au détail ont augmenté de 2,8% en août, comme en juillet, contre un consensus des économistes de +3,2%.