Les efforts engagés restent très insuffisants, même par rapport à des objectifs affichés parfois trop peu ambitieux, selon une étude de la Société Générale.
L’Inde exerce son pouvoir d’attraction sur les investisseurs grâce à des taux de croissance exceptionnels, une démographie dynamique et désormais de fortes perspectives d’investissement.
Le gouvernement a multiplié les réformes pour rendre le marché obligataire davantage investissable pour les étrangers, mais les barrières sont encore importantes.
Les indices PMI révèlent un arrêt de la détérioration, sans montrer de signe de reprise et restant largement en territoire de contraction à l’image de l’Italie.
La croissance mondiale devrait s’établir à 2,7% l’an prochain après 2,9% cette année. Mais des risques demeurent pouvant provoquer un choc plus important.
Près de 50% de la population mondiale est concernée par une élection, avec un risque de volatilité à court terme mais aussi pour les déficits publics et les dettes.
Le Congrès doit trouver des accords avant le 2 février pour éviter un «shutdown». Les négociations pourraient cependant être moins difficiles qu’en septembre.
Avec les vastes programmes publics et les besoins dans les transitions énergétiques et numériques, l’investissement des entreprises redevient le relais de croissance de l’économie.
L’endettement a augmenté de 9.500 milliards au troisième trimestre dans le monde, à 307.300 milliards de dollars, et devrait poursuivre cette ascension.