Le taux de chômage a de nouveau reculé en octobre dans la zone euro à 7,5% (contre 7,6% en septembre), selon Eurostat, étant au plus bas depuis juillet 2008. Le nombre de demandeurs d’emploi dans les 19 pays de la zone euro a diminué de 31.000 à 12,334 millions. Sur un an, leur nombre a baissé de 761.000. En Allemagne, le nombre de chômeurs a diminué en novembre, premier signe d’une stabilisation dans l’industrie. Les économistes anticipaient une hausse compte tenu des difficultés rencontrées par le pays dans le secteur manufacturier. Le nombre de chômeurs a diminué de 16.000 à 2,266 millions sur un mois, selon le bureau fédéral du travail. Le taux de chômage reste bas à 5% (au-dessus du point bas de 4,9%). Toutefois, ce niveau du chômage fait craindre une remontée. Les industriels allemands ont déjà annoncé cette année 90.000 suppressions d’emplois.
La banque centrale de Corée du Sud (BOK) a diminué sa prévision pour 2019 de 2,2% à 2%, selon son gouverneur Lee Ju-yeol. Elle a également revu à la baisse la prévision de croissance pour 2020 à 2,3% contre 2,5% initialement. Une croissance de 2% pour 2019 sera la plus faible enregistrée depuis 2009, lorsque le pays avait réalisé une hausse de seulement 0,8% dans le contexte de la crise économique mondiale. La banque centrale a maintenu son taux directeur à son niveau historiquement bas de 1,25% dans son effort pour relancer la croissance.
La production manufacturière a chuté de 4,2% en octobre par rapport au mois précédent, selon le ministère du Commerce en-deçà des prévisions. Les données montrent une production particulièrement réduite sur les voitures et les machines de production, donc à la fois liée à la demande extérieure et intérieure. La baisse de la production d’automobiles a fait craindre que la hausse de la TVA imposée début octobre ait déjà un impact direct.
Les consommateurs américains ont davantage dépensé en ligne que dans les magasins, pénalisant les chiffres de ventes et le trafic dans les points de vente physiques, d’après les premiers chiffres sur le Black Friday, une des journées les plus chargées de l’année en terme de consommation. Les ventes en ligne ont bondi de 19,6% pour atteindre 7,4 milliards de dollars (6,7 milliards d’euros) lors de la journée de vendredi, en-deçà des estimations qui ressortaient à 7,6 milliards de dollars, selon Adobe Analytics, qui compile les transactions effectuées chez 80 des 100 plus grands distributeurs américains. Des chiffres préliminaires de la société d’analyse RetailNext montrent que les chiffres de vente dans les points de vente en dur ont reculé de 1,6%.
Les investisseurs surveilleront la semaine prochaine l’avancée des discussions commerciales entre les Etats-Unis et la Chine et une série d’indicateurs macroéconomiques, dont le rapport mensuel sur l’emploi américain.
Le taux de chômage a de nouveau reculé en octobre dans la zone euro à 7,5% (contre 7,6% en septembre), selon Eurostat. C’est le niveau le plus bas depuis juillet 2008. Le nombre de demandeurs d’emploi dans les 19 pays de la zone euro a diminué de 31.000 à 12,334 millions. Sur un an, leur nombre a baissé de 761.000.
La banque centrale de Corée du Sud (BOK) a diminué sa prévision pour 2019 de 2,2% à 2%, a déclaré aujourd’hui à la presse son gouverneur Lee Ju-yeol. Elle a également revu à la baisse la prévision de croissance pour 2020 à 2,3% contre 2,5% initialement. Une croissance de 2% pour 2019 sera la plus faible enregistrée depuis 2009, lorsque le pays avait réalisé une hausse de seulement 0,8% dans le contexte de la crise économique mondiale. Les nouvelles prévisions de la BOK sont en ligne avec celles du Fonds monétaire international (FMI).
La production manufacturière a chuté de 4,2% en octobre par rapport au mois précédent, selon les données du ministère du Commerce publiées vendredi, bien en-deçà des prévisions et à son rythme le plus rapide depuis janvier 2018. Les données montrent une production particulièrement réduite sur les voitures et les machines de production, donc à la fois liée à la demande extérieure et intérieure. La baisse de la production d’automobiles a fait craindre que la hausse de la TVA imposée début octobre ait déjà un impact direct. «Il est de plus en plus probable que la croissance sera négative au quatrième trimestre. La demande intérieure est en train de se détériorer», a déclaré Takeshi Minami, économiste en chef à l’Institut de recherche Norinchukin cité par Reuters.
Les flux migratoires des citoyens de l’Union européenne vers la Grande-Bretagne ont continué de reculer cette année à un plus bas depuis septembre 2013, à 199.000. Au total, le nombre de personnes y ayant migré sur un an à fin juin dépasse de 212.000 celles qui ont quitté le territoire britannique, selon l’institut de statistiques ONS. Sur un an, 155.000 d’entre eux ont quitté le Royaume-Uni, le chiffre le plus élevé depuis 10 ans. Le ministère britannique de l’Intérieur dénombre qu’à peine plus de la moitié des 3,5 millions de citoyens de l’UE vivant outre-Manche ont obtenu leur nouveau statut juridique.
L’inflation a progressé un peu en Allemagne en novembre. Les prix à la consommation calculés aux normes européennes IPCH ont augmenté de 1,2% sur un an, selon l’institut statistique Destatis, le chiffre le plus élevé enregistré depuis juin. Mais l’inflation reste, pour le sixième mois consécutif, nettement inférieure à l’objectif que s’est fixé la Banque centrale européenne (BCE), légèrement inférieur à 2%. Le consensus Reuters prévoyait une baisse de 0,7% des prix par rapport à octobre et une hausse de 1,2% en rythme annuel.
Les statistiques de la Banque centrale européenne (BCE) montrent une accélération de la croissance du crédit aux entreprises dans la zone euro, revenue à +3,8% sur un an après +3,6% en septembre. Elle reste toutefois sous ses plus hauts de l’année. Le crédit aux ménages a augmenté de 3,5% en rythme annuel, un plus haut niveau depuis 2009, contre +3,4% en septembre. Le taux de croissance annuelle de la masse monétaire M3, considérée comme un indicateur avancé de l’activité, est resté stable à 5,6% alors que les économistes prévoyaient en moyenne 5,5%.
L’espoir d’un accord commercial entre la Chine et les Etats-Unis les rend plus confiants même si l’incertitude demeure élevée. Les marchés actions restent au plus haut.
L’inflation a progressé en Allemagne en novembre mais très légèrement. Les prix à la consommation calculés aux normes européennes IPCH ont augmenté de 1,2% sur un an, selon l’institut statistique Destatis, le chiffre le plus élevé enregistré depuis juin. Mais l’inflation reste, pour le sixième mois consécutif, nettement inférieure à l’objectif que s’est fixé la Banque centrale européenne (BCE), légèrement inférieur à 2%.
Les flux migratoires vers la Grande-Bretagne ont continué de reculer cette année à un plus bas depuis septembre 2013. Au total, le nombre de personnes y ayant migré sur un an à fin juin dépasse de 212.000 celles qui ont quitté le territoire britannique, selon l’institut de statistiques ONS.
D’après les statistiques officielles publiées ce matin, les ventes au détail au Japon ont diminué de 7,1% en octobre en rythme annuel, sous l’effet notamment de la faible demande pour les biens coûteux - voitures, appareils électroménagers. Il s’agit de leur plus importante chute depuis mars 2015. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient en moyenne un déclin de 4,4%. Le gouvernement nippon a relevé le 1er octobre la TVA de 8% à 10%, une mesure que Tokyo juge essentielle pour réduire la massive dette publique du pays.
Les statistiques publiées ce matin par la Banque centrale européenne (BCE) montrent une accélération de la croissance du crédit aux entreprises dans la zone euro, revenue à +3,8% sur un an après +3,6% en septembre. Elle reste toutefois sous ses plus hauts de l’année. Le crédit aux ménages a augmenté de 3,5% en rythme annuel, un plus haut niveau depuis 2009, contre +3,4% en septembre. Le taux de croissance annuelle de la masse monétaire M3, considérée comme un indicateur avancé de l’activité, est resté stable à 5,6% alors que les économistes prévoyaient en moyenne un chiffre de 5,5%.
Les derniers signaux de stabilisation de la première économie de la zone euro et ses réticences à l’égard de tout expansionnisme budgétaire plaident pour un statu quo.
La confiance des ménages dans la situation économique a progressé de deux points en novembre en France, après deux mois de stabilité, selon les données publiées ce matin par l’Insee. L’indicateur synthétisant cette confiance s’est établi à 106, dépassant les attentes des économistes interrogés par Reuters qui anticipaient une baisse à 103. Cet indicateur se maintient au-dessus de sa moyenne de long terme de 100. Les ménages français estiment que leur situation financière passée et future s’est améliorée et qu’il est opportun de faire des achats importants. Par ailleurs, leurs craintes concernant l’évolution du chômage diminuent.
L’indice du sentiment des consommateurs allemands a progressé de 9,6 à 9,7 à l’approche du mois de décembre, selon l’enquête mensuelle de l’institut GfK. Les dépenses des consommateurs devraient donc continuer de soutenir la croissance allemande à la fin de l’année. Les Allemands sont devenus plus confiants dans les perspectives de croissance grâce aux «timides signes de détente» entre les Etats-Unis et la Chine, selon l’institut GfK. Lundi, l’indice Ifo du moral des entreprises allemandes s’est légèrement amélioré en novembre, nouveau signe de la résistance de la première économie européenne.
L’Unédic, qui gère le régime d’assurance chômage, a présenté et adopté mardi de nouvelles prévisions financières portant sur 2019-2022. En raison de projections macroéconomiques dégradées par rapport au précédent exercice, l’amélioration du solde financier interviendrait plus tard. L’Unédic anticipe par conséquent «un retour à l’équilibre de l’assurance chômage en 2021». Après des déficits de 2,0 milliards d’euros en 2019 et de 0,7 milliards en 2020, son solde financier serait excédentaire de 2,3 milliards d’euros en 2021 et de 4,6 milliards en 2022. Fin 2020, la dette de l’assurance chômage atteindrait 38,2 milliards d’euros, puis elle diminuerait les deux années suivantes et atteindrait 31,4 milliards fin 2022. L’Unédic anticipe une poursuite de la baisse du taux de chômage qui était de 8,6% au troisième trimestre.