Pour ne pas reporter sur ses clients des hausses de prix importantes, le distributeur britannique a retiré de la vente de nombreux produits d’Unilever.
Le distributeur stéphanois confirme un objectif de plus de 500 millions d’euros de résultat opérationnel courant en France, mais le consensus n’y croit pas.
Wal-Mart a indiqué hier qu’il anticipait une stagnation de son bénéfice sur l’exercice annuel clos le 31 janvier 2018, ainsi que des investissements en biens d'équipement de 11 milliards de dollars (9,8 milliards d’euros) environ. Il table en outre désormais sur une progression de 5% de son bénéfice par action (BPA) sur l’exercice 2019, contre une croissance de 5% à 10% auparavant attendue. Bloomberg rapportait par ailleurs hier que Wal-Mart avait refusé de payer 600 millions de dollars au ministère américain de la Justice pour mettre un terme à ses enquêtes sur des pratiques de corruption à l'étranger.
Lors de sa rencontre annuelle avec les investisseurs, Wal-Mart a indiqué jeudi qu’il anticipait une stagnation de son bénéfice sur l’exercice annuel clos le 31 janvier 2018, ainsi que des investissements en biens d'équipement de 11 milliards de dollars (9,8 milliards d’euros) environ. Le géant américain de la distribution anticipait auparavant une croissance de ce bénéfice. Il table en outre désormais sur une progression de 5% de son bénéfice par action (BPA) sur l’exercice 2019, contre une croissance de 5% à 10% auparavant attendue.
Le distributeur britannique veut réduire ses coûts d’exploitation de 1,5 milliard de livres (1,7 milliard d’euros) dans les trois prochaines années, en améliorant son réseau de distribution et en simplifiant l’organisation de ses magasins, a-t-il indiqué hier. Il vise une marge d’exploitation de 3,5% à 4% pour l’exercice fiscal 2019-2020, contre 2,18% au premier semestre 2016-2017 (clos le 27 août dernier). Il prévoit 1,4 milliard de livres d’investissement par an en moyenne, contre un milliard en 2015-2016.
Le distributeur britannique a indiqué ce matin qu’il prévoit de réduire ses coûts d’exploitation de 1,5 milliard de livres (1,7 milliard d’euros) sur les trois prochaines années, en améliorant son réseau de distribution et en simplifiant l’organisation de ses magasins. Il vise une marge d’exploitation de 3,5% à 4% pour l’exercice fiscal 2019-2020, contre une marge de 2,18% au premier semestre 2016-2017 clos le 27 août dernier. Les investissements prévus atteindront 1,4 milliard de livres par an en moyenne, contre un milliard engagé sur le dernier exercice.
Kering a annoncé hier la nomination de Claus-Dietrich Lahrs, ancien PDG de Hugo Boss, à la tête de Bottega Veneta. Claus-Dietrich Lahrs, qui prendra ses fonctions le 4 octobre, remplacera Carlo Alberto Beretta, nommé «chief client & marketing officer» du groupe Kering, poste nouvellement créé. Cette nomination intervient alors que la griffe est dans une passe difficile et voit sa croissance ralentir depuis deux ans. Claus-Dietrich Lahrs était PDG de Hugo Boss jusqu’en février 2016, après être passé chez Cartier, Louis Vuitton et Christian Dior Couture.
Le distributeur a annoncé hier soir le succès de son offre de rachat obligataire pour un montant total de 333 millions d’euros. L’offre lancée le 20 septembre lui a permis de racheter à hauteur de respectivement 150 millions, 95,2 millions et 88,1 millions d’euros des obligations de maturité août 2019, janvier 2023 et août 2026. Les titres rachetés seront annulés le 30 septembre. Cette offre de rachat, sans impact matériel sur les frais financiers en 2016, permettra une amélioration du résultat financier de l’ordre de 10 millions d’euros l’an prochain.
Le groupe de mode enfantine lance une augmentation de capital de 30 millions d’euros minimum. Son actionnaire de contrôle cédera pour 15 millions d’euros de titres.
Le leader mondial de l’ameublement a annoncé hier une hausse de 7% de son chiffre d’affaires au titre de son exercice fiscal 2015-2016, à 34,2 milliards d’euros. La progression est légèrement moins marquée que ce que le groupe suédois avait prévu, mais le total atteint un record. Sur les 12 mois à fin août, Ikea précise que ses ventes à magasins constants ont augmenté de 5%. La Chine reste l’un de ses marchés en plus forte croissance, aux côtés de l’Australie, du Canada et de la Pologne.
Le leader mondial de l’ameublement a annoncé mardi une hausse de 7% de son chiffre d’affaires au titre de son exercice fiscal 2015-2016, soit une progression légèrement moins marquée que ce que le groupe suédois avait prévu, ce qui n’empêche pas le total d’atteindre un nouveau record de 34,2 milliards d’euros. Sur les 12 mois à fin août, la société non cotée précise que ses ventes à magasins constants ont augmenté de 5%. Ikea souligne que la Chine reste l’un de ses marchés en plus forte croissance, aux côtés de l’Australie, du Canada et de la Pologne.
Wal-Mart Stores va supprimer 7.000 postes administratifs dans ses magasins américains, essentiellement dans les services de comptabilité et de facturation, dans la continuité d’un programme lancé en juin et limité jusqu'à présent à la côte Ouest des Etats-Unis. Ces suppressions de postes concerneront l’intégralité de ses quelque 4.600 magasins au cours des prochains mois, a précisé hier une porte-parole du numéro un mondial de la distribution, premier employeur privé aux Etats-Unis avec environ 1,5 million de salariés. Cette initiative s’inscrit dans le cadre des efforts de Wal-Mart pour déployer davantage de personnel au contact de la clientèle et le groupe va proposer aux employés concernés des postes commerciaux. Wal-Mart avait annoncé en juin qu’il supprimerait des postes administratifs dans plusieurs centaines de magasins et que si cette mesure donnait des résultats, il l'étendrait à d’autres points de vente.
Après trois années de baisse, le chiffre d’affaires français progresse de 0,1% au premier semestre. Les résultats de la Chine permettent d’afficher un bénéfice net.
Le fonds activiste a porté sa participation dans le capital de l’enseigne discount britannique Poundland à 22,7%, ce qui le place en position de bloquer l’OPA amicale de Steinhoff International Holdings. Cette initiative pourrait être un nouveau coup dur pour le groupe sud-africain qui a averti hier que la chute de la livre après le vote en faveur du Brexit pourrait affecter son activité au Royaume-Uni. Les actionnaires de Poundland doivent se prononcer sur l’OPA de Steinhoff avant une réunion d’investisseurs le 7 septembre.
Abercrombie & Fitch a creusé sa perte nette au deuxième trimestre à 13,1 millions de dollars (11,7 millions d’euros), contre -810.000 dollars un an plus tôt, soit une perte par action de 19 cents. Le chiffre d’affaires de l’enseigne américaine de vêtements a reculé de 4% à 783 millions de dollars, pénalisé par un ralentissement du tourisme outre-Atlantique. Le groupe, qui prévoit de fermer jusqu’à 60 magasins aux Etats-Unis cette année, anticipe désormais un recul des ventes à magasins comparables au second semestre alors que celles-ci étaient jusqu’alors attendues en progression.
Le distributeur, qui vient de finaliser sa fusion, compte dégager 30 millions d’euros de synergies dès le second semestre, pour un objectif de 500 millions mi-2019.