Le distributeur de produits chimiques de spécialité Safic Alcan élargit son actionnariat. Contrôlé depuis sept ans par son équipe de direction, emmenée par Martial Lecat, il vient d’opter pour un MBO (Management buy out) le valorisant un peu plus d’un milliard d’euros. Le groupe voit ses partenaires financiers historiques – Sagard, EMZ et Société Générale Capital Partenaires – réinvestir. En parallèle, le management se relue et s’ouvre à trois nouveaux fonds, à savoir Equistone Partners Europe, IK Partners et, dans une moindre mesure, Geneo Capital. Safic Alcan développe et fournit de larges gammes de polymères, matériaux et additifs pour les industries du caoutchouc, des revêtements, des adhésifs, des thermoplastiques, du polyuréthane, des lubrifiants, de la détergence, des cosmétiques, des produits pharmaceutiques et des nutraceutiques. Disposant d’un réseau de 32 bureaux dans le monde, il a affiché un chiffre d’affaires de 725 millions d’euros l’an dernier.
Le distributeur de produits chimiques de spécialité Safic Alcan élargit son actionnariat. Contrôlé depuis sept ans par son équipe de direction, emmenée par Martial Lecat, il vient d’opter pour un MBO (Management buy out) le valorisant un peu plus d’un milliard d’euros. Le groupe voit ses partenaires financiers historiques – Sagard, EMZ et Société Générale Capital Partenaires – réinvestir. En parallèle, le management se relue et s’ouvre à trois nouveaux fonds, à savoir Equistone Partners Europe, IK Partners et, dans une moindre mesure, Geneo Capital. Safic Alcan développe et fournit de larges gammes de polymères, matériaux et additifs pour les industries du caoutchouc, des revêtements, des adhésifs, des thermoplastiques, du polyuréthane, des lubrifiants, de la détergence, des cosmétiques, des produits pharmaceutiques et des nutraceutiques. Disposant d’un réseau de 32 bureaux dans le monde, il a affiché un chiffre d’affaires de 725 millions d’euros l’an dernier.
Le dirigeant-fondateur de LBO France pose les premières pierres de sa succession. Robert Daussun, à la tête de la société de gestion qu’il a créée en 1985, vient en effet de confier la direction générale à Stéphanie Casciola, la responsable de l’activité immobilière. Une première étape avant de céder le contrôle d’ici deux ou trois ans.
Stéphane Eimer, dirigeant-fondateur de Biogroup, le plus grand réseau de biologie médicale de France, est décédé. L’information a été confirmée jeudi par le groupe. Selon les premiers éléments, il a été retrouvé mort au pied d’un palace parisien. L’enquête est en cours pour déterminer les circonstances de son décès. Né en 1969, Stéphane Eimer avait créé son premier laboratoire en 1998, près de Mulhouse. Il avait ensuite mené tambour battant de multiples acquisitions en Alsace, en Lorraine, en Bourgogne, puis dans tout l’Hexagone. Entre 2013 et 2021, Biogroup a vu son chiffre d’affaires passer de 50 millions à 2,4 milliards d’euros, dont la moitié grâce aux tests Covid-19. Son Ebitda a caracolé à plus d’un milliard d’euros en 2021, contre 496 millions un an plus tôt et 170 millions en 2019.
Le secteur de la bio-analyse est en émoi. Stéphane Eimer, dirigeant-fondateur de Biogroup, le plus grand réseau de biologie médicale de France, est décédé. L’information a été confirmée par le groupe. Selon les premiers éléments, il a été retrouvé mort au pied d’un palace parisien. L’enquête est en cours pour déterminer les circonstances de son décès.
La société britannique PLP, partenaire du canadien Ivanhoé Cambridge, a annoncé aujourd’hui la clôture de son deuxième véhicule d’investissement dédié au développement d’un portefeuille d’actifs logistiques au Royaume-Uni, baptisé UKLV2. Doté d’une capacité d’investissement de plus de 750 millions de livres (878 millions d’euros), ce véhicule a été financé par Ivanhoé Cambridge, investisseur majoritaire du fonds, Peel L&P, The Greater Manchester Pension Fund et la direction de PLP. UKLV2 fait suite au succès du premier véhicule d’investissement de PLP, UKLV1, dans lequel Ivanhoé Cambridge et plusieurs co-investisseurs avaient engagé 500 millions de livres pour développer plus de 929.000 mètres carrés d’espaces logistiques de premier ordre.
EXCLUSIF – Five Arrows Principal Investments a mandaté Deutsche Bank et Edmond de Rothschild Corporate Finance pour préparer la cession des pharmacies low-cost.
La Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) fait partie des investisseurs du cinquième fonds non coté du gérant canadien Inovia, qui a levé 325 millions de dollars (américains). La Caisse avait également investi dans des millésimes précédents du fonds de capital-risque. « La CDPQ est heureuse de poursuivre son engagement de longue date envers Inovia et de contribuer, par le biais de ce fonds, à l’émergence et à la croissance de sociétés innovantes », a affirmé Mario Therrien, chef des fonds d’investissement et de la gestion externe à la CDPQ. « Au cours des quinze dernières années, Inovia a su démontrer sa capacité à créer de la valeur chez les entreprises de son portefeuille au stade de démarrage ». Inovia, qui célèbre son 15e anniversaire cette année, est le plus important investisseur dans des entreprises en démarrage au Canada. Depuis le début de l’année 2021, l’entreprise a levé trois nouveaux fonds totalisant plus de 1 milliard de dollars (américains).
Surperformance. Selon le dernier baromètre de Coller Capital, les investisseurs dans les fonds de private equity (LP) déclarent des performances record pour les véhicules sur lesquels ils ont misé. Parmi les LP interrogés, 42 % obtiennent des rendements nets annuels de plus de 16 % pendant la durée de vie de leur portefeuille. Un niveau atteint uniquement lors de la première publication du baromètre en 2004, peu de temps avant la crise financière. Ces mêmes LP sont 70 % à indiquer que depuis la grande crise financière, leurs actifs de private equity surpassent leurs portefeuilles d’actions cotées. Ils sont plus de deux tiers à estimer que les facteurs ESG (environnement, social, gouvernance) augmentent la valeur des entreprises en portefeuille, le changement climatique étant l’enjeu le plus important pour 93 % d’entre eux. Enfin le baromètre de Coller révèle qu’un cinquième des LP interrogés dans le monde se disent prêts à placer de l’argent dans des fonds utilisant des cryptomonnaies pour investir.
Arcado. Le nom de ce groupe franc-comtois est relativement méconnu, mais s’appuie sur des marques Jean-Louis Amiotte, Morteau Saucisse, Clavière et Chambade, bien identifiées par les amateurs de charcuteries. Premier producteur de saucisses de Morteau et de Montbéliard, ce dernier s’apprête à passer sous le contrôle de Chevrillon & Associés (conseillé par Clearwater), sorti vainqueur de l’enchère organisée par Natixis Partners. Une notification de rapprochement a été récemment émise par l’Autorité de la concurrence. La société d’investissement présidée par Cyrille Chevrillon aurait accepté de valoriser le groupe agroalimentaire un peu plus de 150 millions d’euros, selon nos informations. Un montant que n’avait pas été en mesure de proposer certains de ses concurrents, à l’instar de LFPI et Siparex. Le nom d’Acto avait aussi été cité au cours du processus de cession. Arcado affiche une part de marché de 60 % sur ces spécialités sous Indication géographique protégée (IGP). Depuis 2014, il est accompagné par le Crédit Agricole. Tout d’abord via le fonds Carvest, puis quatre ans plus tard par Amundi Private Equity Funds, après une levée de fonds de 30 millions d’euros. Selon nos informations, le groupe affiche un Ebitda de près de 17 millions d’euros.
EXCLUSIF - La société de gestion affiliée au réseau bancaire CIC vient de boucler la levée de son fonds de dette senior large cap européen à 330 millions d’euros.
Arcado. Le nom de ce groupe franc-comtois est relativement méconnu, mais s’appuie sur des marques Jean-Louis Amiotte, Morteau Saucisse, Clavière et Chambade, bien identifiées par les amateurs de charcuteries. Premier producteur de saucisses de Morteau et de Montbéliard, ce dernier s’apprête à passer sous le contrôle de Chevrillon & Associés (conseillé par Clearwater), sorti vainqueur de l’enchère organisée par Natixis Partners. Une notification de rapprochement a été récemment émise par l’Autorité de la concurrence.
Exclusif – Le patron de Fimalac, âgé de 81 ans, a donné un mandat à la Société Générale et à LionTree pour recomposer l’actionnariat du leader français des médias numériques.
Exclusif – Le patron de Fimalac, âgé de 81 ans, a donné un mandat à la Société Générale et LionTree pour recomposer l’actionnariat du leader français des médias numériques.