Le fonds Residys a bouclé sa levée de capitaux à 370 millions d’euros. Un signe de l’intérêt que suscite le résidentiel pour les investisseurs institutionnels.
AEW a clôturé sa levée de fonds pour le compte de Residys, un fonds qui cible des actifs immobiliers résidentiels en France. Avec l’entrée de nouveaux investisseurs institutionnels français et internationaux, Residys est désormais doté de 370 millions d’euros de capitaux propres ce qui porte sa capacité d’investissement à plus de 600 millions d’euros. Depuis son lancement, Residys a réalisé 15 acquisitions, principalement à Paris et en région parisienne, ce qui représente 50% de sa capacité d’investissement. « Cette levée de fonds réussie, auprès notamment de nouveaux clients internationaux, reflète l’engouement des investisseurs institutionnels pour cette classe d’actifs », explique dans un communiqué, Stéphane Sebban, gérant du Fonds Residys chez AEW.
La société d’investissement Wendel a dévoilé ce jeudi en préambule de sa journée investisseurs un chiffre d’affaires en hausse au troisième trimestre, marqué par une progression soutenue des revenus de Bureau Veritas et de Stahl. Mesure clé de la performance, l’actif net réévalué (ANR) par action affiche en revanche une baisse de 17,7% depuis le début de l’année, à 145,1 euros.
Candidat potentiel à une introduction en Bourse, le groupe familial Lesaffre pourrait finalement ouvrir son capital au Groupe Bruxelles Lambert, la société d’investissement d’Albert Frère et de son associé canadien Paul Desmarais, selon Les Echos. Le spécialiste mondial des levures pourrait être valorisé entre 3 et 4 milliards d’euros par cette opération. Une partie des nombreux actionnaires familiaux de la société, dont les origines remontent à 1853, cherchent à monétiser leurs parts. Lesaffre réalise plus de 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires.
La start-up française Woleet a levé 1 million d’euros pour développer sa technologie blockchain. Avec ce premier tour de table mené par OneRagtime, une plateforme d’investissement co-fondée par Stéphanie Hospital et Jean-Marie Messier, la société rennaise créée en 2015 entend développer sa technologie «d’horodatage de données». L’incubateur 50 Partners et Bpifrance ont également participé à la levée de fonds. La société a développé une technologie permettant d’ancrer n’importe quelle donnée dans la blockchain afin de générer des preuves d’existence, d’authenticité et de provenance.
Candidat potentiel à une introduction en Bourse, le groupe familial Lesaffre pourrait finalement ouvrir son capital au Groupe Bruxelles Lambert, la société d’investissement d’Albert Frère et de son associé canadien Paul Desmarais, indiquent Les Echos. Le spécialiste mondial des levures pourrait être valorisé entre 3 et 4 milliards d’euros par cette opération. Une partie des nombreux actionnaires familiaux de la société, dont les origines remontent à 1853, cherchent à monétiser leurs parts. Le groupe nordiste s’est également engagé dans une politique active d’acquisitions. Lesaffre réalise plus de 2 milliards d’euros de chiffre d’affaires.
La start-up française Woleet a annoncé mercredi avoir levé 1 million d’euros pour développer sa technologie blockchain. Avec ce premier tour de table mené par OneRagtime, une plateforme d’investissement co-fondée par Jean-Marie Messier, la société rennaise créée en 2015 entend développer sa technologie « d’horodatage de données ». L’incubateur 50 Partners et Bpifrance ont également participé à la levée de fonds.
Bain Capital envisagerait de faire une offre sur le spécialiste allemand de l'éclairage Osram, selon Bloomberg. Le fonds de capital investissement travaillerait avec des conseillers financiers afin d'évaluer le groupe allemand, dont la valeur boursière avoisine les 3,9 milliards d’euros. D’autres sociétés pourraient également être intéressées par son rachat. Osram a abaissé à deux reprises ses objectifs de bénéfices cette année, évoquant la faible demande des constructeurs automobiles et le conflit commercial entre les États-Unis et la Chine.
Selon l’agence Bloomberg, Bain Capital envisagerait de faire une offre sur le spécialiste allemand de l'éclairage Osram. Le fonds de capital investissement travaillerait avec des conseillers financiers afin d'évaluer les activités du groupe allemand dont la valeur boursière avoisine les 3,9 milliards d’euros. D’autres sociétés, dont des concurrentes de l’ancienne division de Siemens, pourraient également être intéressées par son rachat, ajoute l’agence de presse. Osram a abaissé à deux reprises ses objectifs de bénéfices cette année, évoquant la faible demande des constructeurs automobiles et le conflit commercial entre les États-Unis et la Chine.
Parquest a mené à bien sa stratégie chez Caillau. Entré au capital il y a trois ans, l’ex-ING Parcom va céder le contrôle du spécialiste des colliers de serrage destinés au secteur automobile à Cathay Capital, après avoir inauguré un nouveau site industriel de 25.000 mètres carrés à Romorantin. Grâce à ce nouvel outil, qui a nécessité un investissement de 25 millions d’euros, le groupe a enregistré une croissance à deux chiffres. Parallèlement, Parquest a soutenu l’effort de R&D et le développement d’outillages permettant d’adresser la demande des grandes plate-formes mondiales, tout en investissant dans la digitalisation des process. La prise de relais de Cathay doit se traduire par une expansion sur les marchés américains et asiatiques, à l’image de l’ouverture prochaine d’une filiale en Chine.
Eurazeo PME réalisera un beau multiple de 2,8 fois sa mise à l’occasion de la cession de Vignal Lighting. Entré en 2014, le fonds vient de signer un accord d’exclusivité avec EMZ Partners pour lui vendre ses 77% du spécialiste des solutions d’éclairage pour véhicules industriels et commerciaux, avec à la clé un produit de cession de 119 millions d’euros. En quatre ans, Eurazeo PME a permis à Vignal Lighting de diversifier sa gamme en reprenant en ABL Lights, un spécialiste des feux jaunes, puis CEA en 2016, un expert des gyrophares. Ces deux opérations ont favorisé les ventes croisées et élargi le portefeuille clients de Vignal Lighting, dont les revenus ont plus que doublé. Le groupe a également construit un nouveau centre industriel et R&D en France, et investi dans un site en Chine.
Le groupe Claire va aborder une nouvelle phase de son développement. Contrôlée depuis 2012 par Industries & Finances, l’ex-filiale de Veolia pourra bientôt compter sur le soutien de Gimv, qui a été séduit par les perspectives de croissance du marché des équipements de réseaux hydrauliques. Outre la reprise de l’investissement en France, soutenue par les pouvoirs publics, le groupe entend tirer parti du développement de solutions innovantes comme la surveillance et l’optimisation de la consommation d’eau. Parmi les six acquisitions réalisées ces dernières années, celles de VVE (réseaux intelligents) et de Fast (détection de fuite) en Allemagne ont permis de diversifier le groupe, qui entend poursuivre sur son élan, notamment à l’international. Pour l’heure, Claire génère 15% de ses revenus à l’étranger.
Bpifrance a signé hier un programme de co-investissement avec Mubadala, le fonds souverain d’Abu Dhabi, à l’occasion de la visite en France du prince héritier du royaume. Cette enveloppe de 300 millions d’euros sera dédiée à l’investissement «tant directement dans les entreprises françaises que dans des fonds privés de capital risque français», précise le communiqué diffusé par Bpifrance. Il complète le Fonds Franco Emirati également doté de 300 millions d’euros et lancé en 2014 par Mubadala et CDC International Capital, filiale de la Caisse des Dépôts dont les activités seront reprises «d’ici à la fin de l’année» par Bpifrance.