Sfac, Euler-Sfac, Euler Hermes, et aujourd’hui Allianz Trade. Le numéro un mondial de l’assurance-crédit change de nom. Une évolution qualifiée de «naturelle», mettant en lumière le géant allemand de l’assurance, actionnaire exclusif depuis 2018 (il détenait jusqu’alors déjà près des deux tiers du capital). Devenir Allianz Trade, «c’est renforcer davantage notre position d’acteur international» et «bénéficie(r) encore plus de la réputation et de la solidité du groupe Allianz», a plaidé l’assureur-crédit, qui communiquait également, lundi, sur les trois piliers de son plan stratégique à horizon 2025. Renforcer l’«avantage compétitif» sur le cœur de métier qu’est l’assurance-crédit tout d’abord, vœu passant par une présence accrue sur le marché américain et «une distribution multicanale incluant le réseau d’agents Allianz». «Développer plus rapidement» en outre les relais de croissance «à fort potentiel», tels les cautions, les garanties et les solutions de spécialités. «Se préparer pour le monde de demain», enfin, car «il est crucial d’anticiper la transformation des échanges commerciaux», notamment B2B en ligne.