Vanguard Asset Services, qui regroupe les activités de la société de gestion américaine au Royaume-Uni, en Irlande, en France, aux Pays-Bas, en Allemagne et en Suisse, a vu son bénéfice chuter de 33 % à 17,5 millions de livres en 2021, selon Financial News, qui a consulté des documents déposés auprès de la Companies House. La société a pourtant enregistré une hausse de ses revenus à 295,5 millions de livres. Mais ses dépenses ont augmenté de plus d’un cinquième à 274 millions de livres. Les coûts salariaux ont bondi de 22 % à 132,9 millions de livres. Cela intervient alors que les effectifs de l’activité européenne de Vanguard ont progressé de plus de 190 personnes l’an dernier.
Le fonds californien annonce quatre nouvelles avancées avec un objectif intermédiaire, un changement de processus d’investissement, une nouvelle allocation et l’adoption de scénarios climatiques.
Ils veulent inciter les fournisseurs de cartes bancaires dont ils sont actionnaires à fournir une traçabilité des transactions liées aux ventes d’armes.
L’assureur Allianz fait partie des investisseurs présents au deuxième closing du fonds «Digital Infrastructure Vehicle II» porté par DTCP, une ancienne division de Deutsche Telekom. Il accompagne des investisseurs comme BlackRock, Abrdn et un fonds souverain du Moyen-Orient, portant la taille du fonds à 1 milliard d’euros. Le gérant espère lever encore plusieurs centaines de millions d’euros avant la fin de sa collecte prévue en 2023. Le fonds, qui a déjà déployé 730 millions d’euros dans 4 opérations, intervient avec des tickets entre 150 et 200 millions d’euros et se concentre sur les data centers, les tours de téléphonie mobile et les réseaux de fibre en Europe.
Face au changement climatique et aux enjeux sociétaux, l’analyse "ESG" souffre d’une faiblesse originelle, celle de ne pas intégrer les externalités négatives des entreprises dans leurs propres valorisations.
La Première ministre, Elisabeth Borne, a déclaré dans une interview publiée dimanche par le Parisien ne pas être hostile au principe d’une taxe sur les « super profits », jugeant toutefois plus efficace une baisse volontaire des prix par les entreprises afin de protéger le pouvoir d’achat des consommateurs. Avec la rentrée resurgit le débat sur la taxation des résultats des entreprises dont l’activité a pu profiter de l’inflation. « Je ne ferme pas la porte à taxer les super profits », a déclaré Elisabeth Borne, dans un entretien au quotidien. « Mais je pense que le plus efficace et le plus concret pour les Français, c’est quand une entreprise, quand elle le peut, baisse les prix pour le consommateur et donne du pouvoir d’achat à ses salariés », ajoute-t-elle. Le groupe d'énergie TotalEnergies ainsi que le transporteur maritime CMA CGM avaient annoncé fin juillet des baisses de prix, répondant alors à l’appel du gouvernement d’accentuer leur participation à la lutte contre l’inflation.
NPS, l'un des plus grands fonds de pension au monde, gros actionnaire de Samsung, a publié des résultats à fin mai. Il veut accroître son exposition à l'étranger.
Federated Hermes, Fidelity Investments, Invesco, Wells Fargo et JPMorgan soutiennent un groupe d'élus républicains qui veulent punir les fonds de pension publics pro-climat.
La biopharmaceutique Pharnext a signé un accord de prêt avec la biotech Néovacspour un montant de 2,5 millions d’euros. Ce prêt portera intérêt à hauteur de 1% par mois pendant une durée maximum de six mois, soit au plus tard jusqu’au 21 février 2023. Il intervient dans le cadre de négociations en cours entre Pharnext et Néovacs pour la conclusion éventuelle d’un accord de financement plus large de Pharnext par Néovacs. En cas d’accord, le prêt, les intérêts encourus et une commission de structuration égale à 1% du montant du prêt, pourront faire l’objet d’une compensation de créances avec des instruments financiers émis par Pharnext au bénéfice de Néovacs. Les deux sociétés ne capitalisent plus chacune que 1 à 2 millions d’euros.