Le groupe public adopte son premier plan d’action d’adaptation aux effets du dérèglement climatique dans la mise à jour sa politique climat, qui comprend également un renforcement des exclusions des énergies fossiles.
Le groupe de maisons de retraite lance un sévère avertissement sur résultat et engage une procédure de conciliation sur sa dette. Une forte dilution est inévitable.
L'entreprise française de services numériques renoue avec la croissance dans ses derniers résultats trimestriels. Ses dirigeants disent vouloir mener à terme son projet de scission d’ici au second semestre 2023, et être à l'écoute des actionnaires, tels Sycomore AM.
Vincent Mortier, le directeur des investissements d’Amundi, estime que les chocs sur le marché obligataire britannique devraient constituer un «signal d’alarme» pour les investisseurs et les régulateurs concernant les dangers de l’endettement caché dans le système financier. Dans une interview au Financial Times, le responsable déclare que les récentes turbulences provoquées par le «mini» budget du gouvernement britannique sont «un rappel du fait que le shadow banking est une réalité. Je pense que personne n’avait la moindre idée de l’ampleur de ce shadow banking dans le secteur des retraites avant la crise». Selon Vincent Mortier, le déplacement du levier des banques vers les établissements non bancaires fait qu’il est très difficile pour les régulateurs d’obtenir une idée réelle des risques. «C’est beaucoup plus difficile qu’en 2007, lorsque l’essentiel de l’effet de levier se trouvait dans les banques», a-t-il déclaré. «Le problème est que nous ne savons pas exactement où il se trouve. Si vous ne pouvez pas mesurer quelque chose, il est difficile d’agir dessus». Vincent Mortier mentionne plusieurs domaines où l’endettement caché pourrait être un problème: les dérivés de gré à gré, l’immobilier et des parties du marché du crédit privé, dont les leveraged loans.
Le Carbon Disclosure Project lance sa campagne annuelle. Il attend le soutien de toutes les institutions financières, contre seulement 21% aujourd’hui.
Richement dotées, les prestigieuses universités américaines ont elles aussi subi les effets de marchés adverses malgré leurs stratégies d’investissement sophistiquées.
L’Agence des participations de l’Etat affichait un portefeuille valorisé 64,6 milliards d’euros en Bourse au 30 juin 2022. Les priorités de l'Etat se multiplient.
Le gérant de maisons de retraite se serait rapproché d'investisseurs institutionnels. La conversion en capital d'obligations détenues par des hedge funds serait aussi envisagée.
La coalition réunit onze investisseurs institutionnels parmi lesquels figurent les principales institutions de prévoyance suisse et participe au dialogue avec des entreprises qui semblent avoir commis des infractions graves.
Florian Berg est chercheur associé au MIT Sloan School of Management, avec pour domaine de recherche les notations ESG. Il nous explique dans cet entretien les dynamiques en jeu pour la gestion d’actifs, les différentes incohérences qui persistent dans le secteur, et comment y répondre.
Credit Suissea vendu saparticipation de 8,6% dans le groupeAllfundsvia une offre accéléréeau prix de 6,195 euros par action, levant ainsi 334 millions d’euros (326,2 millions de dollars), a déclaré vendredi un teneur de livres. L’opération intervient alors que Credit Suisse cherche à vendre des actifsen vue de limiter son recours aux marchés pour financer sa restructuration.L’activité de produits titrisés de la banque suisse seraitégalement en vente et elle auraitlancé un processus qui pourrait inclure la vente de sa branche américaine de gestion d’actifs, selon Reuters. Le plan de restructuration de la banque doit être présenté le 27 octobre. D’ici là, les rumeurs de marché vont encore aller bon train.
Credit Suisse a vendu sa participation de 8,6% dans le groupe Allfunds via une offre accélérée au prix de 6,195 euros par action, levant ainsi 334 millions d’euros (326,2 millions de dollars), a déclaré vendredi un teneur de livres. L’accord intervient alors que Credit Suisse cherche à vendre des actifs en vue de limiter son recours aux marchés pour financer sa restructuration. L’activité de produits titrisés de la banque suisse serait également en vente et elle aurait lancé un processus qui pourrait inclure la vente de sa branche américaine de gestion d’actifs, selon Reuters. Le plan de restructuration de la banque doit être présenté le 27 octobre. D’ici là, les rumeurs de marché vont encore aller bon train.
Covéa a annoncé jeudi dans un communiqué avoir conclu un accord visant à céder sa filiale de droit irlandais Medical Insurance Company (MIC) au groupe Compre, spécialisé dans la gestion de portefeuilles en extinction. Présent au capital depuis 2005, MMA (groupe Covéa) avait rendu publique son intention de prendre le contrôle exclusif en 2013 de MIC, qui intervient sur le marché de responsabilité civile médicale essentiellement en France, avant d’arrêter la souscription de nouveaux risques en novembre 2015. «Cette opération s’inscrit dans la stratégie du groupe Covéa de recentrer ses activités internationales et de faire de la réassurance son principal levier de développement industriel à l’étranger. Elle est soumise à l’approbation du régulateur irlandais, la Central Bank of Ireland», explique Covéa.
Aaron Lovine, ancien responsable de la politique et de la réglementation pour la plateforme de prêts en cryptoactifs Celsius Network de février à septembre 2022 selon son profil LinkedIn rejoint JPMorgan pour occuper un poste similaire nouvellement créé. D’abord révélé par Bloomberg Law, l’information a été confirmée par un porte-parole de la holding financière américaine. Celsius Network est placé sous le régime des faillites depuis le 14 juillet. Cette embauche intervient peu de temps après les propos tenus par le directeur général de JPMorgan Jamie Dimon fin septembre qualifiant les cryptomonnaies de «pyramide de Ponzi décentralisée».
Comme pour la commission des sanctions de l’AMF, les audiences de la commission des sanctions de l’ACPR seront désormais publiques. Par exception, les audiences de la commission des sanctions de l’ACPR se dérouleront à huis-clos si l’organisme poursuivi « justifie, à l’appui de sa demande en ce sens, de circonstances particulières ». Les dates des audiences seront rendues publiques sur le site de l’ACPR. Cette annonce intervient quinze jours après le colloque de la commission des sanctions de l’AMF, où ce sujet avait été évoqué.