Swiss Life Banque Privée vient d'annoncer l’arrivée d’Eric Bleines en tant que directeur de la gestion actions. Il vient ainsi renforcer l’équipe de gérants dirigée par Alessandra Gaudio, directeur général et responsable des investissements, poursuivant ainsi l'élan donné depuis un an à sa société de gestion d’actifs.
Dans le cadre du développement d'un fonds de portefeuilles immobiliers d'une fondation, Stern & Cie est à la recherche d'un premier immeuble indépendant pouvant répondre aux critères ISR.
Royal Bank of Canada (RBC) réfléchit à l’avenir de filiale de gestion de fortune en Asie, ce qui pourrait déboucher sur sa vente, ont dit à Reuters quatre sources proches. «On s’interroge vraiment sur la rentabilité de ce type d’activité qui manque de masse critique», déclare l’une d’elle. Plusieurs établissements occidentaux se sont retirés de la banque privée en Asie, alors que la croissance ralentit dans cette zone et qu’ils réduisent leurs coûts. En 2016, la gestion de fortune internationale (hors Canada et Etats-Unis) de RBC a généré 430 millions de dollars canadiens de recettes (310 millions d’euros), contre 639 millions en 2015 et 722 millions en 2014.
Royal Bank of Canada (RBC) réfléchit à l’avenir de filiale de gestion de fortune en Asie, ce qui pourrait déboucher sur sa vente, ont dit à Reuters quatre sources proches du dossier. «On s’interroge vraiment sur la rentabilité de ce type d’activité qui manque de masse critique, a dit une source au fait du dossier. Est-ce une activité stratégique pour la banque? Sans doute pas». Plusieurs établissements occidentaux se sont retirés de la banque privée en Asie, pressés de réduire leurs coûts dans leur pays d’origine, alors même que la croissance ralentit dans cette région et que les coûts liés à la mise en conformité avec les textes légaux ne cessent de croître.
Le cabinet en gestion de patrimoine Letus Private Office, tout juste fondé en décembre 2016, a annoncé le recrutement de Stephen Lasry en qualité d'associé, en charge du développement commercial et responsable d'un portefeuille clients.
Dans le monde financier, les nouveaux départements dédiés aux riches clients poussent comme des champignons. Le changement de génération qui s’annonce au sein de nombreuses entreprises familiales alimente la fièvre du marché.
Sanctionnée lourdement hier en Bourse pour la baisse inattendue de son chiffre d’affaires, HSBC a aussi avoué ses difficultés dans un autre domaine : la gestion de fortune. Au quatrième trimestre, le géant britannique a décidé de déprécier l’intégralité des écarts d’acquisition résiduels qu’il portait sur sa banque privée en Europe, soit 2,4 milliards de dollars (2,28 milliards d’euros). Une charge qui s’ajoute aux 800 millions de dépréciations passées à fin juin 2016 sur cette division. Cette écriture comptable reflète à la fois l’histoire de HSBC et les tendances lourdes qui pénalisent aujourd’hui la banque privée. Outre le CCF, le groupe a hérité ses survaleurs du rachat, en 1999, de Republic New York et de Safra Republic, la banque fondée par Edmond Safra, pour 10,2 milliards de dollars. Chèrement payée, la cible l’avait fait à l’époque doubler de taille dans ce métier. Mais elle lui a aussi apporté, bien des années après, une flopée de litiges. Republic/Safra a formé le socle des activités de HSBC Private Bank à Genève, qui s’est retrouvée au cœur des accusations d’aide à l’évasion fiscale. Le scandale a culminé avec la révélation des SwissLeaks en 2015. Le groupe traîne toujours son boulet : il a révélé hier dans son rapport annuel faire l’objet d’une enquête de la FCA britannique pour d’éventuelles défaillances dans la lutte antiblanchiment. 15% DE SES ENCOURS PERDUS EN UN AN Entretemps, HSBC a entrepris de nettoyer ses portefeuilles de clients et de sortir de nombreux pays, comme Monaco en octobre dernier. De quoi peser sur les perspectives de l’activité. Au niveau mondial, la banque privée du groupe a perdu 15% de ses encours en un an, à 298 milliards de dollars, et ses revenus ajustés ont fondu de 11% à 1,8 milliard. La décollecte a atteint 17 milliards en 2016, même si HSBC se flatte de flux positifs sur les marchés qu’elle cible (Royaume-Uni, Hong Kong…). « La réduction des prévisions de cash-flows est due au repositionnement en cours de l’activité et à de moindres attentes de collecte et de rentabilité des actifs », souligne le groupe pour expliquer la dépréciation de ses goodwills. Mais toutes les banques privées sont logées à la même enseigne. Les revenus sont sous pression en raison des taux bas, de la lutte contre l'évasion fiscale et l’argent sale, et de la prochaine entrée en vigueur de la directive MIF2. Les coûts de structure, eux, ne pourront rester à de tels niveaux. En témoigne le vaste plan de départ à l’étude chez Neuflize OBC.
Dans un entretien accordé à Boursier.com, Laurent de Swarte, directeur général du family office Agami revient sur le rôle du family office et le positionnement de sa société sur ce marché. Il détaille également le type d'investissement financier rechercher par sa clientèle à l'heure actuelle.
La société de gestion Amplegest vient de publier un bilan de son activité 2016, revenant sur le développement de ses trois l'an passé. La gestion privée a effectué un virage patrimonial stratégique alors que le family office s’est développé à l’étranger. L’activité de gestion d’actifs a profité d’une bonne collecte principalement concentrée sur les fonds de petites valeurs. L’arrivée de nouveaux collaborateurs porte l’effectif de la société à 29 personnes.
La banque britannique HSBC a accusé une perte de 4,23 milliards de dollars (4 milliards d’euros) au quatrième trimestre 2016, contre une perte de 1,33 milliard de dollars un an plus tôt. En cause, la baisse inattendue du produit net bancaire et surtout une série de charges exceptionnelles, dont 1,6 milliard d'écritures comptables liées aux variations de valeur de sa dette. Le groupe a en particulier passé une dépréciation de survaleurs de 2,44 milliards de dollars sur ses activités de banque privée en Europe, ce qui porte à 3,24 milliards sur l’ensemble de l’exercice les charges liés aux goodwill sur ce pôle. Ces survaleurs sont liées au rachat en 1999 de Republic et Safra pour près de 9 milliards de dollars. L’activité s’est notamment retrouvée au coeur du scandale des SwissLeaks sur l'évasion fiscale.
La banque britannique HSBC a accusé une perte de 4,23 milliards de dollars au quatrième trimestre 2016, contre une perte de 1,33 milliard de dollars un an plus tôt. En cause, la baisse inattendue du produit net bancaire et surtout une série de charges exceptionnelles, dont 1,6 milliard d'écritures comptables liées aux variations de valeur de sa dette.
BNP Paribas et le Crédit Agricole viennent d'annoncer la création d’une filiale commune spécialisée de l’outsourcing bancaire et titres. La banque de la rue d’Antin et Crédit Agricole Titres se sont associés à parts égales dans Copartis, une société fondée sur la base de l’ancienne plate-forme bancaire de Cortal Consors intégrant en outre l’expertise titres et les systèmes de Crédit Agricole Titres.
D'après une information révélée par nos confrères des Échos, Thomas Piquemal, ancien directeur exécutif en charge des finances d’EDF vient de prendre la responsabilité de l’activité de la banque allemande en France, en plus des fusions-acquisitions mondiales. Bruno Hallak, en poste depuis 2013, quitte le groupe.
Baudouin de Marnix, CEO d’Indosuez Wealth Management, affiche ses nouvelles ambitions en Belgique. Une stratégie qui pourrait passer par des acquisitions.
Julius Baer a fait savoir vendredi qu’une société étrangère en cours de liquidation lui réclame 306 millions d’euros devant une juridiction européenne. La banque privée suisse est confrontée depuis 2013 aux revendications du liquidateur de cette société en faillite, dont l’identité n’est pas révélée. Il lui est reproché de ne pas avoir empêché deux de ses clients de détourner des actifs de cette société, précise Julius Baer qui rejette les accusations et dit avoir pris des mesures pour défendre ses intérêts.
A l'issue de son troisième trimestre fiscal clos au 31 décembre 2016, les actifs sous gestion du pôle de gestion d'actifs et de banque privée du groupe Rothschild & Co – à savoir Rothschild Private Wealth et Rothschild Asset Management – ont atteint 54 milliards d'euros, en hausse de 5,7% par rapport à fin septembre 2016 (51,1 milliards d'euros) et en progression de 7,6% par rapport à fin mars 2016 (50,2 milliards d'euros). Au cours du trimestre écoulé, ce pôle d'activité a bénéficié d'une collecte nette de 300 millions d'euros et d'un effet marché et de change positifs à hauteur de 2,6 milliards d'euros. Sur les neuf premiers mois de son exercice 2016-2017, sa collecte nette s'établit à 400 millions d'euros tandis que l'effet de marché et de change positif s'élève à 3,4 milliards d'euros.
Julius Baer a fait savoir ce matin qu’une société étrangère en cours de liquidation lui réclame 306 millions d’euros devant une juridiction européenne. La banque privée suisse est confrontée depuis 2013 aux revendications du liquidateur de cette société en faillite, dont l’identité n’est pas révélée. Il lui est reproché de ne pas avoir empêché deux de ses clients de détourner des actifs de cette société, précise Julius Baer qui rejette les accusations et dit avoir pris des mesures pour défendre ses intérêts.
Cette décollecte a été principalement centrée sur les États-Unis, précise un communiqué. Ainsi, en Europe, le pôle de Natixis a affiché des souscriptions nettes de 7 milliards d'euros, dont 2,2 milliards d'euros sur le seul dernier trimestre. Cette décollecte intervient après trois années de collecte en hausse (33 milliards d'euros en 2015, 28 milliards d'euros en 2014 et 13 milliards d'euros en 2013). Mais Natixis note que les rachats se sont arrêtés au dernier trimestre.
Vontobel a annoncé hier une hausse de 47% de son bénéfice en 2016 à 264,4 millions de francs suisses (281,2 millions d’euros) qui a dépassé d’un peu plus de 3% le consensus des analystes. Hors éléments exceptionnels, le profit ressort en hausse de 12%, à 201 millions. «L’année ne sera pas facile», a toutefois souligné le directeur général de Vontobel, Zeno Staub. «Les développements politiques, l’arbitrage entre stratégies ‘croissance’ et ‘value’ et l’impact de la hausse des taux américains sur les marchés émergents sont autant de défis pour notre activité, particulièrement en gestion d’actifs», a-t-il précisé en ajoutant que «beaucoup de nos clients demeurent très prudents».
Selon nos informations, la banque ABN Amro serait sur le point d'annoncer un vaste plan social en France qui devrait toucher entre un quart et un tiers des effectifs. L'annonce en interne devrait intervenir dans les jours qui viennent, avant une annonce officielle à la fin du mois.
Vontobel a annoncé ce matin une hausse de 47% de son bénéfice en 2016 à 264,4 millions de francs suisses (281,2 millions d’euros) qui a dépassé d’un peu plus de 3% le consensus des analystes. Hors éléments exceptionnels, notamment le gain de 91 millions de francs suisses généré par la vente de sa participation dans l’assureur suisse Helvetia, le profit ressort en hausse de 12%, à 201 millions. Malgré cette performance et la hausse annoncée de 8% du dividende, à 2 francs, l’action de la banque privée suisse abandonnait plus de 2% à la mi-séance en raison de la frilosité de sa direction.
La Finma, le régulateur suisse des marchés, a condamné Coutts & Co pour violation des règles anti-blanchiment et profits illicites liés à des transactions autour du fonds souverain malaisien 1Malaysia Development Bhd (1MDB), en ayant permis à 2,4 milliards de dollars (2,22 milliards d’euros) de fonds suspects de transiter via des comptes en Suisse. La banque a aussi ignoré les alertes lancées en interne par certains employés. La Finma a condamné l’établissement à rembourser 6,5 millions de francs suisses (6,1 millions d’euros) de gains illicites liés à ces opérations.
La Finma, le régulateur suisse des marchés, a condamné Coutts & Co pour violation des règles anti-blanchiment et profits illicites liés à des transactions autour du fonds souverain malaisien 1Malaysia Development Bhd (1MDB). Coutts, dont le genevois UBP a racheté l’an dernier les actifs internationaux à Royal Bank of Scotland, a permis à 2,4 milliards de dollars (2,22 milliards d’euros) de fonds suspects de transiter via des comptes en Suisse, assure le régulateur. La banque a aussi ignoré les alertes lancées en interne par certains employés. La Finma a condamné l’établissement à rembourser 6,5 millions de francs suisses (6,1 millions d’euros) de gains illicites liés à ces opérations. UBP a dit n’avoir aucun lien avec cette affaire, ayant seulement repris les encours de Coutts International, et non l’ensemble du passif.
Les encours sous gestion de Julius Baer ont progressé l’an dernier de 12% pour atteindre 336 milliards de francs suisses (315 milliards d’euros) à fin décembre, a annoncé hier la banque privée zurichoise. Un tiers de cette hausse est lié à une collecte nette de 12 milliards de francs, un autre tiers à un effet de marché positif et le dernier tiers de l’acquisition de Kairos Investments Management et de Commerzbank International Luxembourg. Le résultat opérationnel ressort supérieur aux attentes à 2,85 milliards de francs, contre 2,69 milliard un an plus tôt.
A l'occasion de sa participation à la troisième édition des prix des Coupoles Distrib Invest, Evelyne Brugère, co-fondatrice du Family Office Autrement évoque l'importance de son expérience de gérante pour la sélection de fonds externes et l'importance de la connaissance des clients pour offrir un conseil sur-mesure de qualité.
Les encours sous gestion de Julius Baer ont progressé l’an dernier de 12% pour atteindre 336 milliards de francs suisses (315 milliards d’euros) à fin décembre, a annoncé ce matin la banque privée zurichoise. Un tiers de cette hausse est lié à une collecte nette de 12 milliards de francs, un autre tiers à un effet de marché positif et le dernier tiers de l’acquisition de Kairos Investments Management et de Commerzbank International Luxembourg. L’impact des taux de change a été marginal sur les encours.
Harvest, le spécialiste de l'édition de solutions digitales pour les métiers du conseil financier et patrimonial, vient d'annoncer la nomination de Patrice Henri, précédemment président du directoire de la Banque Martin Maurel, au poste de directeur général délégué. Il pilotera le développement commercial des offres dédiées à la digitalisation du conseil patrimonial auprès des établissements financiers