Le PIB américain a augmenté de 4,9% entre juillet et octobre en rythme annualisé, plus que prévu par les économistes, confirmant la résilience de l’économie malgré les taux élevés.
Les places boursières ont jusque-là bien résisté au regain de risque. L’histoire montre qu’après le choc initial, les actions se reprennent rapidement et affichent des gains après un an.
Alors que les déséquilibres économiques se sont aggravés, le président turc s’est résolu à une politique économique et monétaire plus orthodoxe. Les investisseurs restent prudents.
Qualifié pour le second tour face au péroniste Sergio Massa, le candidat antisystème, Javier Milei, veut créer un électrochoc économique en imposant le dollar comme monnaie.
En pleine saison des publications du troisième trimestre, les entreprises qui ont tout juste répondu aux attentes mais qui déçoivent légèrement sur leurs perspectives se font immédiatement sanctionner en Bourse.
La crainte que les traitements anti-obésité et anti-diabète utilisés pour maigrir affectent la consommation d’aliments transformés et de boissons a fait chuter ces secteurs. Et bien d’autres.