Bien moins négatifs que ne le laissaient penser les premières déceptions, les résultats du troisième trimestre sont de nouveau supérieurs aux attentes.
Les rendements obligataires affichent une volatilité démultipliée par rapport à celle des taux, du fait de l’effet duration. Un impact qui est toutefois amené à diminuer.
Après un mois d’octobre compliqué, les émetteurs, dont Danone et Suez, profitent de l’amélioration du sentiment de marché et de la forte demande des investisseurs.
Les implications pour les actifs financiers du vieillissement démographique sont assez consensuelles. Les stratégistes de Deutsche Bank en proposent une vue décalée.
La fin d’année sur les marchés est généralement marquée par un rallye sur les actions. Mais les catalyseurs semblent manquer. Cette saisonnalité se retrouve à d’autres moments de l’année.
Le regain de tension géopolitique a mis un coup d’arrêt aux émissions obligataires corporate euro, face au risque d’exécution et à des investisseurs plus sélectifs.
Les investisseurs ont de nouveau testé ce seuil après l’avoir dépassé en début de semaine. Outre la résilience de l’économie américaine, ses besoins de financement font décoller les taux.
Le regain de tension au Proche-Orient aura des conséquences sur l’économie israélienne, avec une augmentation des dépenses publiques et de la dette, et un risque de stagflation. La banque centrale se concentre sur la stabilité du système financier.