Deux passions dans la vie : le hors-jeu au foot et l’inflation en économie. Fabrice a débuté comme journaliste spécialisé dans l’économie du sport et s’intéresse depuis vingt ans aux mécanismes financiers et aux enjeux de politique économique et monétaire.
Outre une inflation encore assez faible, la BNS a ressenti le besoin de freiner la hausse du franc suisse dans le contexte d’«incertitudes politiques en Europe».
Les livraisons de GNL américain ont chuté en mai. Les approvisionnements en gaz russe risquent de déclencher des effets directs ou indirects liés aux sanctions passées et à venir.
L'incertitude politique en France remet un coup de projecteur sur l’écartement des taux et le risque de fragmentation de l’Union monétaire. L’Eurosystème semble néanmoins plus apte à intervenir sur les taux italiens que sur les taux français dans la configuration de 2024.
La hausse des «spreads» français et italiens survient en plein milieu d’une période intense en volumes d'émissions nettes de dettes souveraines. Et ce, alors que la Banque centrale européenne (BCE) réduit son soutien aux Etats.
Le fournisseur d’indices estime que les investisseurs sont encore divisés sur le statut «souverain» de l’Union européenne, considérée aujourd'hui comme un émetteur supranational. Il les sondera à nouveau en 2025.