Aurélie parcourt les rédactions de son sud-ouest natal dès l’âge de 18 ans. A Sciences Po, sa vocation se confirme. C’est finalement l’économie qu’elle choisit à sa sortie d’école de journalisme. Elle découvre le monde de la finance aux Echos. Après La Correspondance Economique et L’Argus de l’assurance, elle rejointL’Agefipour y couvrir l’industrie bancaire. Dans sa bibliothèque personnelle, les livres du ministre Bruno Le Maire et du directeur général de la Maif Pascal Demurger côtoient les ouvrages féministes de Mona Chollet.
Les stress tests des autorités ont livré leur verdict. En cas de scénario adverse, la filiale de La Poste verrait son ratio de capital ramené à 0% en 2025. Les autres banques françaises se montrent résistantes au choc.
Le bénéfice net du Crédit Mutuel Alliance Fédérale recule de 7% au premier semestre, sous l’effet de la baisse de la marge nette d’intérêt dans la banque de détail. L’assurance et les autres métiers tirent les revenus.
Le résultat net part de la banque française a reculé de 11,9% au deuxième trimestre, à 2,8 milliards d'euros, mais reste supérieur aux attentes des analystes.
Malgré des revenus en forte croissance, la banque allemande publie un bénéfice après impôt en baisse de 22% au deuxième trimestre. Elle annonce le lancement de son programme de rachat d’actions.
BNP Paribas ouvre jeudi le bal des résultats trimestriels. Les investisseurs seront en quête de visibilité, alors que les revenus devraient rester sous pression, notamment dans la banque de détail en France.
La banque privée a enregistré des rentrées de capitaux de 7,1 milliards de francs suisses au premier semestre, après le sauvetage de sa concurrente. Elle continue d’embaucher pour renforcer ses forces commerciales.
Le taux du Livret A est maintenu à 3% jusqu’en janvier 2025. Un niveau qui reste supérieur au rendement du fonds en euros. Si les assureurs nient un effet de concurrence, ils sont contraints de réagir face à la décollecte sur leur produit phare.
JPMorgan, Citi et Wells Fargo ouvrent le bal des résultats trimestriels vendredi. Tandis que la banque d’investissement est toujours à la peine, les banques universelles tireront leur épingle du jeu.
Après la faillite de SVB, les autorités craignent que des plateformes, comme l’allemande Raisin, ne participent à la fuite des dépôts en cas de crise. La BCE pourrait étudier de nouvelles exigences en matière de liquidité.