Nos articles d’actualité et d’analyse sur les grands évènements et décisions politiques susceptibles d’influer les marchés financiers et les principales économies (élections, guerre, remaniements, réformes etc.)
Le principal parti d’opposition argentin a remporté dimanche les élections primaires de mi-mandat, un indicateur important de la façon dont les électeurs voteront lors des élections prévues en novembre. Les conservateurs sont notamment arrivés en tête dans la région de Buenos Aires - la plus peuplée - avec 84% des voix. D’autres résultats ont montré un recul du parti péroniste au pouvoir en vue des élections du 14 novembre. La plupart des candidats étant déjà connus, ces primaires font office de répétition générale avant les élections de novembre, où 127 des sièges de la Chambre des députés (sur 257) sont en jeu, ainsi que 24 (sur 72 sièges) au Sénat.
La Première ministre écossaise, Nicola Sturgeon, a demandé lundi au gouvernement britannique de faire preuve de «coopération» en autorisant la tenue d’un nouveau référendum sur l’indépendance de sa nation, ce à quoi s’oppose fermement Boris Johnson jusqu’à présent. Nicola Sturgeon souhaite organiser ce nouveau référendum d’ici la fin de 2023, se fixant d’abord comme objectif de surmonter la crise liée à la pandémie. Son parti, arrivé en tête des élections locales en mai, s’est allié pour gouverner aux Verts, également favorables à l’organisation d’un référendum.
Le principal parti d’opposition argentin a remporté dimanche les élections primaires de mi-mandat, un indicateur important de la façon dont les électeurs voteront lors des élections prévues en novembre. Les conservateurs sont notamment arrivés en tête dans la région de Buenos Aires - la plus peuplée - avec 84% des voix.
A moins de trois semaines des élections législatives allemandes, le 26 septembre, l’enquête fait grand bruit. Jeudi, des procureurs allemands ont perquisitionné les ministères des Finances et de la Justice dans le cadre d’une enquête sur l’agence gouvernementale de lutte contre le blanchiment d’argent, une agence du ministère des Finances d’Olaf Scholz, candidat du parti Social démocrate, et possible successeur d’Angela Merkel à la tête du gouvernement. Les enquêteurs cherchent à savoir si on a demandé à l’agence d’ignorer les avertissements concernant des paiements suspects vers l’Afrique. Olaf Scholz a repoussé les critiques à la suite de ces perquisitions. Lors d’une étape de sa campagne à Potsdam, le ministre a rappelé qu’il avait fait passer le personnel de l’agence de lutte contre la criminalité financière de 165 à près de 500 personnes et qu’il avait investi massivement pour mieux l'équiper. Cet épisode survient quelques mois après le scandale Wirecard, qui n’avait pas été détecté par la BaFin, l’autorité de régulation financière.
A moins de trois semaines des élections législatives allemandes, le 26 septembre, l’enquête fait grand bruit. Jeudi, des procureurs allemands ont perquisitionné les ministères des Finances et de la Justice dans le cadre d’une enquête sur l’agence gouvernementale de lutte contre le blanchiment d’argent, une agence du ministère des Finances d’Olaf Scholz, candidat du parti Social démocrate, et possible successeur d’Angela Merkel à la tête du gouvernement selon les derniers sondages
La Cour suprême des Etats-Unis a refusé, mercredi dernier, de suspendre une loi de l’Etat du Texas interdisant d’avorter après six semaines de grossesse… Cette législation équivaut à une quasi-interdiction d’avorter, en dépit de l’arrêt Roe contre Wade qui avait légalisé ce droit aux Etats-Unis en 1973. Mais l’Etat du Texas a formulé sa loi de façon inhabituelle, en donnant le pouvoir aux citoyens de poursuivre toute personne qui permet un avortement après six semaines. Outre le reflet d’une Cour suprême plus conservatrice depuis les nominations de Donald Trump, cette décision pourrait peser sur la volonté des républicains, bien représentés dans les zones rurales, de rallier des électeurs dans les grandes villes et les banlieues à l’occasion des élections de mi-mandat en 2022.
La Cour suprême des Etats-Unis a refusé, mercredi à 5 voix contre 4, de suspendre une loi de l’Etat du Texas interdisant d’avorter après six semaines de grossesse… Cette législation équivaut à une quasi-interdiction d’avorter, en dépit de l’arrêt Roe contre Wade qui avait légalisé ce droit aux Etats-Unis en 1973 (sans interdiction possible avant plutôt 24 à 28 semaines). Mais l’Etat du Texas a formulé sa loi de façon inhabituelle, en donnant le pouvoir aux citoyens de poursuivre toute personne qui permet, aide ou encourage un avortement après six semaines.
Le Premier ministre japonais Yoshihide Suga, critiqué pour sa gestion de l'épidémie de Covid-19, a annoncé vendredi qu’il ne se représenterait à la direction du Parti libéral-démocrate (PLD), la formation au pouvoir, lors du scrutin interne de septembre, ouvrant la voie à son remplacement, un an après sa prise de fonctions.
Le ministre chinois des Affaires étrangères Wang Yi a tenu mercredi une réunion virtuelle avec l’émissaire spécial américain sur le climat John Kerry durant lequel il a décrit la collaboration entre les deux pays sur les questions environnementale comme une «oasis» dans le désert des relations entre les deux pays. Mais il a aussi averti que les tensions politiques entre Pékin et Washington pourraient compromettre leurs efforts communs dans la lutte contre le changement climatique, car «la coopération (...) ne peut être envisagée séparément des relations entre les deux pays» sur d’autres questions diplomatiques comme le commerce, les droits humains ou la pandémie…
Les derniers sondages sont peu favorables pour le chef du gouvernement japonais Yoshihide Suga. Sa popularité atteint des points bas dans deux enquêtes d’opinion avant l’élection à la tête du Parti libéral démocrate (PLD) fin septembre. Le vainqueur de ce scrutin a toutes les chances de devenir Premier ministre, le PLD étant le parti majoritaire à la chambre basse de l’assemblée, et mener la campagne pour les prochaines élections législatives le 28 novembre ou avant en cas de scrutin anticipé. Yoshihide Suga n’a pu capitaliser sur les Jeux Olympiques et voit sa cote de popularité descendre sous 30% pour la première fois, à 26%, selon le journal Mainichi, alors qu’une quatrième vague de Covid-19 affecte le pays.
Les derniers sondages sont peu favorables pour le chef du gouvernement japonais Yoshihide Suga. Sa popularité atteint des points bas dans deux enquêtes d’opinion avant l’élection à la tête du Parti Libéral Démocrate (PLD) fin septembre.
Le lenteur du déploiement de la campagne de vaccination contre le Covid-19 pourrait entraîner une perte de 2.300 milliards de dollars de PIB produit intérieur brut (PIB) mondial sur les trois prochaines années, calcule le centre de recherche The Economist Intelligence Unit (EIU). Son étude publiée mercredi estime que les 200 pays étudiés enregistreront ces pertes s’ils ont vacciné moins de 60% de leur population d’ici à mi-2022. Les deux tiers des pertes seraient subies par des pays émergents, ce qui va ralentir leur rattrapage économique sur les plus développés, alimenter la pauvreté et augmenter le risque sociaux dans ces zones. Les pays d’Afrique sub-saharienne pourraient perdre 2,9% de PIB par rapport aux prévisions selon cette hypothèse, et la région Asie-Pacifique près de 1.700 milliards de dollars à elle seule sur la période. Seulement 1% des habitants des pays pauvres ont reçu au moins une dose de vaccin, contre 60% de la population des pays les plus riches.
Les intentions de vote en faveur du Parti social-démocrate allemand (SPD) dépassent celles pour l’alliance conservatrice CDU-CSU pour la première fois en 15 ans, selon un sondage publié mardi. Avec une progression de deux points en une semaine, le SPD (centre-gauche) est crédité de 23% des intentions de vote, devant le bloc constitué par l’Union chrétienne-démocrate (CDU) et son alliée bavaroise l’Union chrétienne-sociale (CSU), en recul d’un point avec 22%, selon Forsa, qui a réalisé cette enquête pour les chaînes de télévision RTL et NTV. C’est la première fois depuis 2006 que le SPD devance le bloc CDU-CSU de la chancelière Angela Merkel, qui quittera le pouvoir après le scrutin du 26 septembre. Dans la dernière édition de ce sondage hebdomadaire, les Verts occupent la troisième place, en recul d’un point avec 18% des suffrages.
Les élections législatives allemandes de septembre prochain réserveront-elles une surprise ? Les intentions de vote en faveur du Parti social-démocrate allemand (SPD) dépassent celles pour l’alliance conservatrice CDU-CSU pour la première fois en 15 ans, selon un sondage publié mardi.
Moscou a promis des mesures de représailles après une nouvelle série de sanctions imposées par les États-Unis à un navire russe et à deux sociétés impliquées dans le gazoduc Nord Stream 2, a annoncé samedi le ministère russe des Affaires étrangères dans un communiqué. Le projet de 11 milliards de dollars, qui doublera le gazoduc existant à travers la mer Baltique vers l’Europe et permettra à la Russie de contourner l’Ukraine, a été au centre des tensions entre Moscou et Washington. Les États-Unis et la Grande-Bretagne ont également imposé des sanctions à des hommes qui, selon eux, étaient des agents des services de renseignement russes responsables de l’empoisonnement il y a un an de l’opposant, Alexei Navalny.
Le nouveau Premier ministre de la Malaisie, Ismail Sabri Yaakob, a prêté serment samedi devant le roi alors que le pays lutte contre sa pire vague de Covid-19 et que la colère des habitants grandit face à la mauvaise gestion de la pandémie. A deux reprises cette année, la banque centrale a dû revoir en baisse ses prévisions économiques. Ismail Sabri, 61 ans, a été choisi vendredi par le roi Al-Sultan Abdullah mais est déjà sous le feu des critiques car il n’a pu empêcher la résurgence de l’épidémie malgré les restrictions et la vaccination alors qu’il était l’adjoint de Muhyiddin Yassin, le précédent Premier ministre. Issu du parti UMNO défait lors des élections de 2018 après le scandale 1MDB, il a obtenu une majorité parlementaire de la même alliance qui s’est effondrée la semaine passée, entrainant le départ du chef du gouvernement. Le nouveau Premier ministre doit désormais se soumettre à un vote de confiance au Parlement.