Nos articles d’actualité et d’analyse sur l'écosystème du paiement, avec les banques, les fintechs (Stripe, PayPal, Klarna), les acteurs spécialisés (Worldline), les Gafa (Apple Pay), la réglementation (DSP), le paiement instantané, les virements, le buy now pay later.
L’accès aux comptes bancaires des emprunteurs permet d’évaluer leur solvabilité en temps réel et d’octroyer immédiatement les trois quarts des prêts, y compris en magasin.
Après plusieurs années de flottement, l’EPI prend corps avec les acquisitions d'iDeal et de Payconiq qui lui donneront une base d’utilisateurs importante et un savoir-faire technologique solide. Elle accueille également quatre nouvelles banques actionnaires.
Le spécialiste des avantages pour les salariés profite de la bonne exécution de son plan stratégique. Il affiche un chiffre d’affaires en hausse de 20% au premier trimestre et poursuit ses acquisitions.
Partenaires de longue date, ces deux géants du paiement en France comptent créer une entreprise commune pour reprendre la main sur les services aux commerçants, marché sur lequel des fintechs se sont largement imposées depuis dix ans.
Les deux sociétés veulent créer une coentreprise de services aux commerçants en France. Elle devrait être opérationnelle en 2025 et serait contrôlée par Worldline.
Les fintechs rivalisent d’initiatives pour proposer aux entreprises des leviers de productivité. Leur terrain de conquête aujourd’hui le plus en vue ? Les notes de frais. Alliances, partenariats et levées de fonds s’y multiplient. Et la concurrence est féroce.
Spécialiste de la gestion des frais d’entreprises, cette fintech française a remporté de très grands comptes et accélère sa croissance avec cette nouvelle levée de fonds.
En pleine croissance, le spécialiste français du paiement fractionné poursuit son développement avec des commerçants de toutes tailles, en ligne et en magasins. Les matelas Emma tombent dans son escarcelle.
La fintech réduit les coûts et la complexité de la gestion des titres spéciaux de paiement grâce à l’open banking et évite d’immobiliser l’argent des salariés et des employeurs.
Le spécialiste des paiements en ligne affiche une croissance de 26% pour 2022, et développe des services qui augmentent le chiffre d’affaires de ses clients.
Fraude Fight Club, c’est le nom d’une campagne d’information sur les réseaux sociaux qui débute ce 5 avril pour alerter les 25-35 ans des risques liés à la fraude par ingénierie sociale.
En s’associant avec cet acteur espagnol du banking as a service, la fintech française renforce sa présence dans la péninsule ibérique et enrichit son catalogue de services.