La société de notation Fitch Raings affirme que la forte décollecte touchant H2O AM, estimée à 4 milliards d’euros, entre fin mars et le 26 juin 2019, n’affecte ni la solidité financière de Natixis, ni celle du groupe BPCE. Les 31 milliards d’euros gérés par H2O ne représentent que 4% des 855 milliards d’euros gérés au total par Natixis Investment Managers, et environ 5% des revenus du gestionnaire (retraités des intérêts non-majoritaires). Natixis contribuant, pour sa part, à 40% des revenus nets du groupe BPCE. Le titre Natixis a chuté de 10% depuis la révélation par le Financial Times de la présence de positions non liquides dans les fonds de H2O. Plus que la chute potentielle de revenus liés aux difficultés de H2O, les investisseurs ont sanctionné un possible manquement dans le contrôle des risques de Natixis vis-à-vis de ses différents affiliés, pouvant affecter la stratégie multi-boutique du groupe.
La société de notation Fitch Raings affirme, dans une note, que la forte décollecte touchant H2O AM, estimée à 4 milliards d’euros, entre fin mars et le 26 juin 2019, n’affectait ni la solidité financière de Natixis, ni celle du groupe BPCE. La société rappelle ainsi que les 31 milliards d’euros gérés par H2O ne représentent que 4 % des 855 milliards d’euros gérés au total par Natixis Investment Managers, et environ 5 % des revenus du gestionnaire (retraités des intérêts non-majoritaires). Natixis contribuant, pour sa part, à 40 % des revenus nets du groupe BPCE, « le modèle multi-boutique de Natixis IM protège le gérant des effets de contagions », explique Fitch.
Éric Bertrand est nommé Directeur Général Adjoint d’OFI Asset Management et Directeur Adjoint des gestions. Il restera en charge des gestions Taux, Diversifiées et Quantitatives, sous la responsabilité de Jean-Marie Mercadal, Directeur Général Délégué en charge des Gestions.
Eric Bertrand a été nommé directeur général adjoint d’OFI Asset Management et directeur adjoint des gestions. Il restera en charge des gestions taux, diversifiées et quantitatives, sous la responsabilité de Jean-Marie Mercadal, DG délégué en charge des gestions. Eric Bertrand a rejoint OFI Asset Management en 2016 en tant que directeur des gestions taux et diversifiées.
La Société Générale transfère la plate-forme Global Fund Trading au groupe suédois, qui vise 1.000 milliards d’euros d’actifs intermédiés d’ici deux ans.
Eric Bertrand a été nommé directeur général adjoint d’OFI Asset Management et directeur adjoint des gestions. Il restera en charge des gestions taux, diversifiées et quantitatives, sous la responsabilité de Jean-Marie Mercadal, DG délégué en charge des gestions. Eric Bertrand a rejoint OFI Asset Management en 2016 en tant que directeur des gestions taux et diversifiées.
Morningstar a repris la notation du fonds H2O Allegro, qu’elle avait suspendue le 19 juin, provoquant un mouvement de défiance vis-à-vis de la boutique de gestion d’actifs détenue à 50% par Natixis. Sur le site de Morningstar, le fonds H2O Allegro est désormais noté « neutre », contre une notation « bronze » avant la suspension de cette dernière, ce qui correspond à une dégradation.
Les offres de Mediobanca et J.C. Flowers évalueraient Kairos à 200 millions d’euros, soit moitié moins que l’estimation de sa maison mère, Julius Baer, en début d’année.
H2O Asset Management, la boutique de gestion d’actifs de Natixis ébranlée par des doutes sur la liquidité et la transparence de certains de ses fonds, a annoncé mercredi un ralentissement de sa décollecte. «Les actifs sous gestion, au 26 juin, s'élèvent à 27 milliards d’euros», précise le gérant dans un communiqué. Sachant que H2O AM revendiquait environ 31 milliards d’euros d’encours à fin mars, ce sont donc quelque 4 milliards d’euros d’encours qui sont partis en fumée sur le trimestre en cours, sous l’effet des rachats de la part des clients et d’une réévaluation à la baisse de la valeur de certains fonds.
Le fonds de pension danois LD Pensions est en quête d’un gestionnaire d’actifs pour lui attribuer un portefeuille d’actions «poursuivant un impact positif». Le mandat doit faire l’objet d’une gestion active et investir dans des actions cotées mondiales, spécifie l’institution. La taille du mandat, estimée à 1.200 millions de couronnes danoises (160 millions d’euros) est indiquée à titre indicatif en raison de l’incapacité de LD Pensions «de déterminer les volumes en avance», souligne le fonds de pension. L’institution précise en outre que ce mandat d’actions aura un univers d’investissement restreint, qui devra respecter les principes de laFuture-Fit Foundation londonnienne , qui vise à favoriser le bien-être ou restaurer l’environnement. A ce jour, LD Pensions délègue la gestion de son portefeuille d’actions danoises àCarnegie, les actions Monde à MFS, celles des pays émergents à Fisher et les actions climatiques et environnementales à Impax. Côté obligations, le fonds de pension fait notamment confiance à Axa IM sur l’Investment Grade, KKR sur le crédit etT. Rowe Price sur le High Yield. Prévu pour une durée de 60 mois, le contrat pourra être renouvelé deux fois à hauteurde 12 mois. Date limite de réception des offres : le 19 juillet 2019 à 23h00 (heure locale) Lire l’avis complet : ici.
C’est fait. Une semaine après avoir été contraints de révéler suite à des rumeurs de presse qu’ils étaient en discussions exclusives, Credit Suisse et Allfunds Group ont confirmé qu’ils allaient s’allier à travers InvestLab, la plate-forme de sélection du Credit Suisse en fonds d’investissement. Selon un communiqué, l’accord «donnera naissance à une plate-forme internationale en matière de distribution de fonds, avec des actifs gérés combinés dépassant 570 milliards de francs et des compétences de distribution spécifiques. L’activité née de l’alliance tirera parti de la présence mondiale du Credit Suisse dans le domaine de la gestion de fortune et de la capacité d’innovation technologique d’Allfunds, améliorant encore l’offre de services destinée aux gestionnaires d’actifs et aux distributeurs dans le monde.»
La liquidation partielle des obligations privées et leur réévaluation montre que la «valeur de marché en situation normale» de ces titres est difficile à établir.