Nos articles d’actualité et d’analyse portant sur les opérations de fusion-acquisition et de cessions menées par les grandes entreprises françaises et internationales, le classement M&A de L’Agefi.
Le géant de la logistique, qui détient déjà 9% d'Air France-KLM et 10% d'Eutelsat, a franchi ce seuil via l'acquisition de titres sur le marché. Il indique ne pas prévoir de prendre le contrôle de la chaîne de télévision.
Le géant minier a approché le canadien Teck Resources, qui a rejeté son offre non sollicitée. Celle-ci valorise la cible à 30 milliards de dollars canadiens.
Le spécialiste américain de la micro-épargne s'implante ainsi en Europe et devrait contribuer à l'accélération de l'expansion internationale des deux marques de «teen-banking».
Le Ministère public entend identifier d’éventuelles infractions pénales commises par des responsables gouvernementaux, des régulateurs ou certains dirigeants des deux banques.
Avec cette opération de 4,8 milliards de dollars dans les centres d’appels, la société d’investissement deviendra le premier actionnaire d’un ensemble capable de rivaliser avec le leader mondial Teleperformance.
Chaque semaine, L'Agefi Private Equity vous propose de retrouver la liste des principales opérations de fusions et acquisitions impliquant une partie européenne, en exclusivité avec les données de Mergermarket.
En renonçant à entrer au capital d’Evidian, l’avionneur, critiqué par un investisseur activiste pour ce projet, réamorce les incertitudes quant à l’avenir d’Atos. Le profil financier de ce dernier ne rassure pas le marché.
Le groupe financier brésilien BTG Pactual, présent sur le segment de la gestion d’actifs, a annoncé, vendredi 24 mars, l’acquisition totale de la banque privée luxembourgeoise FIS Privatbank, établie dans la gestion de fortune et d’actifs. FIS Privatbank gérait environ 500 millions d’euros d’encours pour 300 clients fin 2022.
Le patron du bureau parisien d'Alantra prend la co-présidence des activités de banque d'investissement de la boutique espagnole, dans le cadre d'une réorganisation plus vaste.
Ni les cessions sud-américaines, ni le projet de Meccano audacieux en France ne convainquent investisseurs et actionnaires face au double mur de dette qui approche.
Le conseil d’administration du conglomérat industriel a accepté l’offre du consortium japonais mené par JIP, qui valorise sa cible 14 milliards d’euros.