L’actualité (lancement, levée de fonds, nouveaux produits) des start-up qui utilisent les nouvelles technologies pour proposer des services innovants dans le domaine de la finance.
Une enquête mené par le CFA Institute révèle que le conseil automatisé - robo-advisors en tête - fait naître des craintes de dérives en matière d'erreurs, de défaut dans les algorithmes et de protection des données.
La start-up créée en 2009 et spécialisée jusqu’ici dans le courtage en placements va désormais proposer également son intermédiation sur le financement. Pandat propose aux entreprises et autres personnes morales (2.000 clients au total) de rassembler pour elles les offres de quelque 80 banques – notamment régionales - répondant à leurs besoins. A côté des entreprises de taille intermédiaire et des grands groupes, le courtier s’adresse aux TPE grâce à une plate-forme traitant en mode automatique les demandes de placement et de financement. L’offre couvrira désormais le crédit court terme, l’affacturage, les financements en crowdfunding et EuroPP.
L'ordonnance rénovant le régime juridique applicable à ces titres de créances est parue au JO. Les plates-formes de crowdlending vont pouvoir s'en saisir.
La fintech spécialisée dans les paiements en ligne a fait état hier d’un chiffre d’affaires net en progression de 15% à 6,2 millions d’euros sur un an à fin mars. L’activité micropaiement se redresse, tandis que la monétique poursuit sa forte croissance (+30% en rythme annuel). Ce dynamisme et la poursuite des investissements en R&D ne devraient pas se faire au détriment de la rentabilité opérationnelle, avec une marge d’Ebitda de près de 17 % et un résultat net positif attendus par HiPay sur l’ensemble de l’exercice 2016.
Les fintechs ont doublé l’an dernier, à 13,6 milliards de dollars (12 milliards d’euros), les montants qu’elles ont levé à travers le monde via le capital-risque, rapporte une étude de KPMG. L’Amérique du Nord se taille la part du lion des financements pour ces entreprises spécialisées dans les technologies financières innovantes, avec 7,7 milliards de dollars, devant l’Asie avec 4,5 milliards et l’Europe avec 1,5 milliard. Sur les 26 transactions les plus importantes, seules trois ont eu lieu en Europe contre 15 en Amérique du Nord et huit en Asie, indique l'étude.
Les fintechs ont doublé l’an dernier, à 13,6 milliards de dollars (12 milliards d’euros), les montants qu’elles ont levé à travers le monde via le capital-risque, rapporte une étude de KPMG. L’Amérique du Nord se taille la part du lion des financements pour ces entreprises spécialisées dans les technologies financières innovantes, avec 7,7 milliards de dollars, devant l’Asie avec 4,5 milliards et l’Europe avec 1,5 milliard. Sur les 26 transactions les plus importantes, seules trois ont eu lieu en Europe contre 15 en Amérique du Nord et huit en Asie, indique l'étude.
La fintech Parisienne Anatec va lancer ce mois-ci son offre commerciale, baptisée WeSave. Il s’agit d’une proposition «unique qui repose sur l’alliance inédite d’experts en gestion d’actifs et en gestion de patrimoine associés à une équipe d’ingénieurs et de data scientists», annonce son fondateur Jonathan Herscovici, dans un e-mail envoyé hier à son réseau. A l’instar de son concurrent Yomoni, qui s’est lancé à l’automne dernier, WeSave devrait proposer de l'épargne en ligne à faible coût, sans doute une assurance-vie investie en ETF (exchange traded funds), en s’appuyant sur un robo-advisor qui détermine le profil de risque du client. La start-up est soutenue par Amundi, qui a pris une participation minoritaire à son capital comme l’avait révélé L’Agefi.
La fintech britannique GoCardless a réalisé une nouvelle levée de fonds auprès de Notion Capital pour un montant de 13 millions de dollars. Les investisseurs historiques Balderton Capital, Accel Partners et Passion Capital ont également participé à cette levée de fonds. GoCardless développe un réseau de paiement interbancaire au niveau mondial. La société assure exécuter chaque année plus d’un milliard d’euros et 10 millions de paiements pour 16.000 entreprises.
La fintech britannique GoCardless a réalisé une nouvelle levée de fonds auprès de Notion Capital pour un montant de 13 millions de dollars. Les investisseurs historiques Balderton Capital, Accel Partners et Passion Capital ont également participé à cette levée de fonds. GoCardless développe un réseau de paiement interbancaire au niveau mondial. La société assure exécuter chaque année plus d’un milliard d’euros et 10 millions de paiements pour 16.000 entreprises.
NextLaw Labs, la plate-forme d’innovation de Dentons, a investi dans Apperio, une start-up spécialisée dans une technologie visant à améliorer la gestion des dossiers par les avocats via un tableau de bord intuitif. «Aujourd’hui utilisée par 17 des 100 premières entreprises britanniques, la plate-forme a déjà généré plus de 20 millions de livres d’honoraires un an après son lancement», souligne Dentons. Il s’agit de la seconde société que NexLaw Labs intègre à son portefeuille après l’accord conclu en août 2015 avec Ross Intelligence.
NextLaw Labs, la plateforme d’innovation de Dentons, a investi dans Apperio, une start-up spécialisée dans une technologie visant à améliorer la gestion des dossiers par les avocats via un tableau de bord intuitif. «Aujourd’hui utilisée par 17 des 100 premières entreprises britanniques, la plateforme a déjà généré plus de 20 millions de livres d’honoraires un an après son lancement», indique Dentons. Il s’agit de la seconde société que NexLaw Labs intègre à son portefeuille après l’accord conclu en août 2015 avec Ross Intelligence.
Les acteurs institutionnels dotés d’une appétence particulière pour la distribution en ligne intègrent désormais les offres des principaux robo-advisors, Le conseil financier automatisé aiguise l’intérêt des régulateurs européens et français en raison notamment des difficultés à formaliser le devoir de conseil
Selon une enquête auprès de 544 responsables des services financiers dans 46 pays, les secteurs bancaires et des paiements sont les plus exposés à la menace.