Le Fonds monétaire international (FMI) a appelé hier les dirigeants du G20 qui se retrouvent cette semaine à Hambourg à ne pas recourir aux politiques protectionnistes «à courte vue» et à surmonter leurs divergences en matière commerciale et économique. Dans une note économique, le FMI estime que «la poursuite à courte vue de politiques à somme nulle ne peut que pénaliser l’ensemble des pays, comme l’a montré l’histoire». Le FMI note que ses prévisions de croissance pour cette année se situent autour de 3,5% et que ce chiffre ne prend pas en compte une éventuelle guerre commerciale.
Le ministre de l’Economie et des Finances, Bruno Le Maire, a annoncé hier que l’Etat allait procéder dans les mois à venir à des cessions de participations «importantes» afin de contribuer au financement de l’innovation. «Nous mettrons 10 milliards d’euros à disposition pour financer l’innovation et en particulier l’innovation de rupture», a indiqué Bruno Le Maire lors d’un événement à Paris sur l’attractivité de la capitale et de la région Ile-de-France en précisant que «ces 10 milliards d’euros viendront de la cession d’actifs de l’Etat dans un certain nombre d’entreprises, qui seront placés et rapporteront les moyens financiers nécessaires pour financer l’innovation». Il s’agirait en fait d’abriter 10 milliards de participation dans un fonds dédié, dont les dividendes alimenteraient le financement de l’innovation, précise-t-on à Bercy.
Les prix à la production ont baissé plus que prévu en mai dans la zone euro, en raison essentiellement du recul de 1,3% du poste énergétique, montrent des données publiées hier par Eurostat. Ces prix ont reculé de 0,4% d’un mois sur l’autre en mai tout en progressant de 3,3% par rapport à mai 2016. Les économistes interrogés par Reuters avaient anticipé respectivement -0,2% et +3,5%.
Le taux de chômage en Irlande a baissé à 6,3% en juin contre 6,4% le mois précédent, montrent les données publiées hier par le service des statistiques. Le chômage a diminué de manière constante depuis son pic à 15,1% touché en 2012. Le ministère des Finances s’attend à ce que le taux de chômage passe sous la barre des 6% d’ici à la fin de l’année.
Le taux de chômage en Irlande a baissé à 6,3% en juin contre 6,4% le mois précédent, montrent les données publiées ce mardi par le service des statistiques. Le chômage a diminué de manière constante depuis son pic à 15,1% touché en 2012, au moment où le pays était à mi-parcours d’un plan de sauvetage international de trois ans. Le ministère des Finances s’attend à ce que le taux de chômage passe sous la barre des 6% d’ici à la fin de l’année, ce qui signifie que l'économie pourrait connaître une situation de plein emploi l’an prochain avec un chômage qui devrait se maintenir à 5,5% à partir de 2018.
Les prix à la production ont baissé plus que prévu en mai dans la zone euro, en raison essentiellement du recul de 1,3% du poste énergétique, montrent des données publiées mardi par Eurostat. Ces prix ont reculé de 0,4% d’un mois sur l’autre en mai tout en progressant de 3,3% par rapport à mai 2016. Les économistes interrogés par Reuters avaient anticipé respectivement -0,2% et +3,5%. Eurostat a confirmé que les prix à la production étaient restés inchangés sur un mois en avril et qu’ils avaient augmenté de 4,3% sur un an.
Le taux de chômage est resté inchangé en mai dans la zone euro à 9,3%, comme le mois précédent, montrent les données publiées hier par Eurostat. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient un taux de 9,2% en mai. Le nombre de chômeurs dans les 19 pays partageant l’euro s'élevait à 15,034 millions en mai contre 15,273 millions en avril. Pour l’ensemble des 28 pays de l’Union européenne, le taux de chômage de mai est également identique à celui d’avril à 7,8%.
L’activité manufacturière dans la zone euro a connu en juin sa plus forte croissance depuis plus de six ans montre l’enquête IHS Markit auprès des directeurs d’achats publiée hier. L’indice PMI manufacturier définitif de la zone euro s’est élevé à 57,4 le mois dernier après 57,0 en mai. Il avait été donné à 57,3 en version préliminaire. Il atteint ainsi son plus haut niveau depuis avril 2011 et demeure largement au-dessus du seuil de 50 témoignant d’une croissance de l’activité. «Aucun signe n’indique que cette performance impressionnante va prendre fin bientôt. Le secteur manufacturier est clairement en mode expansif et semble durablement promis à une croissance robuste dans les mois à venir», a commenté Chris Williamson, chef économiste chez IHS Markit.
Le taux de chômage est resté inchangé en mai dans la zone euro à 9,3%, comme le mois précédent, montrent les données publiées aujourd’hui par Eurostat. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient un taux de 9,2% en mai. Le nombre de chômeurs dans les 19 pays partageant l’euro s'élevait à 15,034 millions en mai contre 15,273 millions en avril. Pour l’ensemble des 28 pays de l’Union européenne, le taux de chômage de mai est également identique à celui d’avril à 7,8%, soit 19,115 millions de sans-emploi.
La croissance de l'économie britannique a nettement ralenti à 0,2% sur la période janvier-mars après avoir atteint 0,7% sur les trois mois précédents, a confirmé vendredi l’ONS, l’institut national de la statistique britannique. L’ONS précise que les revenus disponibles des ménages, sous le coup à la fois de la hausse de l’inflation induite par la chute de la livre depuis le scrutin et du ralentissement de la hausse des salaires, ont baissé de 1,4% au premier trimestre. Les revenus subissent ainsi leur troisième trimestre consécutif de repli, du jamais vu depuis les années 1970, poursuit l’ONS, qui ajoute que le ratio d'épargne des ménages est tombé à un plus bas historique de 1,7%.
Le nombre des inscriptions au chômage a augmenté la semaine dernière aux Etats-Unis, sans altérer l’image de robustesse du marché du travail. Ce nombre a augmenté de 2.000 au total CVS de 244.000 dans la semaine au 24 juin, a annoncé hier le département du Travail. Les économistes interrogés par Reuters voyaient ce nombre diminuer à 240.000 par rapport aux 241.000 annoncées en première estimation la semaine précédente. La moyenne mobile sur quatre semaines, considérée comme un meilleur étalon, donne un nombre en baisse de 2.750 à 242.250 la semaine dernière.
La croissance économique des Etats-Unis a moins ralenti qu’on ne l’avait estimé précédemment au premier trimestre, en raison de la hausse inattendue des dépenses de consommation et d’un bond plus vif des exportations. Le Produit intérieur brut (PIB) a finalement augmenté de 1,4% en rythme annualisé au premier trimestre au lieu de 1,2% comme indiqué le mois dernier, a annoncé hier le département du Commerce. Cela reste cependant le rythme de croissance le plus faible depuis le deuxième trimestre de l’an dernier. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient un taux inchangé de 1,2%.
L’inflation a accéléré de manière inattendue en juin en Allemagne, soutenue par la hausse des coûts dans les services et l’alimentaire, selon les données provisoires publiées hier par l’Office fédéral de la statistique. L’indice des prix à la consommation harmonisé aux normes européennes (IPCH) affiche une hausse de 1,5% sur un an ce mois-ci après une croissance de 1,4% en mai dans la première économie européenne. Il dépasse la progression de 1,3% attendue par les économistes interrogés par Reuters. Sur un mois, l’indice IPCH a progressé de 0,2% en juin alors que les économistes l’attendaient inchangé.
La croissance économique des Etats-Unis a moins ralenti qu’on ne l’avait estimé précédemment au premier trimestre, en raison de la hausse inattendue des dépenses de consommation et d’un bond plus vif des exportations. Le Produit intérieur brut (PIB) a finalement augmenté de 1,4% en rythme annualisé au premier trimestre au lieu de 1,2% comme indiqué le mois dernier, a annoncé jeudi le département du Commerce. Cela reste cependant le rythme de croissance le plus faible depuis le deuxième trimestre de l’an dernier. Les économistes interrogés par Reuters anticipaient un taux inchangé de 1,2%.
Le nombre des inscriptions au chômage a augmenté la semaine dernière aux Etats-Unis, sans altérer l’image de robustesse du marché du travail. Ce nombre a augmenté de 2.000 au total CVS de 244.000 dans la semaine au 24 juin, a annoncé le département du Travail jeudi. Les économistes interrogés par Reuters voyaient ce nombre diminuer à 240.000 par rapport aux 241.000 annoncées en première estimation la semaine précédente. La moyenne mobile sur quatre semaines, considérée comme un meilleur étalon dans la mesure où elle lisse la statistique hebdomadaire, donne un nombre en baisse de 2.750 à 242.250 la semaine dernière.
Les promesses de ventes de logements aux Etats-Unis ont reculé de manière inattendue en mai, leur troisième mois de baisse d’affilée, en raison d’une pénurie d’offres, montrent les données publiées hier par la Fédération nationale des agents immobiliers (NAR). Leur indice, calculé à partir des compromis signés le mois dernier, a reculé de 0,8% à 108,5, contre 109,4 en avril. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient au contraire à une hausse de 0,8%. Sur un an, les promesses de ventes ont diminué de 1,7%.
Les promesses de ventes de logements aux Etats-Unis ont reculé de manière inattendue en mai, leur troisième mois de baisse d’affilée, en raison d’une pénurie d’offres, montrent les données publiées mercredi par la Fédération nationale des agents immobiliers (NAR). Leur indice, calculé à partir des compromis signés le mois dernier, a reculé de 0,8% à 108,5, contre 109,4 en avril. Les économistes interrogés par Reuters s’attendaient au contraire à une hausse de 0,8%. Sur un an, les promesses de ventes ont diminué de 1,7%.
Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé hier avoir revu en baisse ses prévisions de croissance pour les Etats-Unis, à 2,1% pour 2017 comme pour 2018, en expliquant ne plus prendre en compte l’impact attendu des promesses de réformes fiscales et budgétaires de l’administration Trump faute de précisions sur leur mise en oeuvre. En avril, l’organisation tablait sur une croissance de 2,3% cette année et de 2,5% l’an prochain outre-Atlantique. Pour l’institution dirigée par Christine Lagarde, les projets budgétaires de la Maison blanche feraient supporter une part disproportionnée des réductions de dépenses aux foyers à revenus faibles ou moyens.
Une cyberattaque de grande ampleur a visé hier de grandes entreprises et des services publics dans plusieurs pays, notamment en Russie, en Ukraine, en France, en Grande-Bretagne, aux Pays-Bas, au Danemark et en Norvège. En France, Saint-Gobain a fait état d’une tentative de piratage informatique à grande échelle mais a indiqué que le problème était en cours de résolution. A Moscou, le pétrolier Rosneft a fait savoir que ses serveurs avaient été touchés mais que sa production n'était pas affectée. En Ukraine, des banques, des entreprises, des sociétés d’Etat et jusqu’au réseau informatique du gouvernement ont été affectés par des intrusions informatiques.
La confiance du consommateur aux Etats-Unis s’est améliorée en juin, montrait hier l’enquête mensuelle du Conference Board. L’indice de confiance de l’organisation patronale est ressorti à 118,9 contre 117,6 le mois dernier, chiffre révisé en baisse par rapport à celui de 117,9 publié en première estimation. Le consensus l’attendait en moyenne à 116,0 ce mois-ci. La composante du jugement des consommateurs sur la situation actuelle a atteint 146,3 ce mois-ci contre 140,6 en mai. Celle des anticipations s’est en revanche dégradée à 100,6 contre 102,3.