Vivarte a démenti jeudi un article de presse lui prêtant l’intention de vouloir vendre l’ensemble de ses enseignes. Citant Patrick Puy, PDG du groupe d’habillement et de chaussures, le magazine Capital affirme que la mission du dirigeant consiste à «vendre ce groupe jusqu’au dernier morceau» et qu’il entend tout céder d’ici à 2021. «Vivarte dément formellement avoir l’intention de céder l’ensemble de ses marques», a déclaré un porte-parole du groupe, pour qui les citations attribuées au PDG «ne reflètent pas les propos qui ont été tenus». Seuls restent valables à ce jour les plans de cessions et de restructuration de la dette décidés fin 2016 et début 2017, a ajouté le porte-parole.
Le leader mondial de l’ameublement a annoncé hier la création de plus de 1.300 postes en Grande-Bretagne, un investissement majeur dans ce pays qui vient d’enclencher la procédure de Brexit. Le groupe suédois a précisé qu’il ouvrirait un magasin à Sheffield, dans le nord de l’Angleterre cette année. Deux autres, l’un à Exeter, dans le sud-ouest du pays, et l’autre à Greenwich, à Londres, devraient suivre en 2018. Ces nouvelles créations augmenteront de 12,5% les effectifs de l’entreprise en Grande-Bretagne et en Irlande, les portant à quelque 11.700 personnes, a précisé Ikea.
Le groupe allemand de supermarchés à bas coûts, qui va ouvrir cet été ses premiers magasins aux Etats-Unis, a indiqué hier soir que ses produits seraient jusqu'à 50% moins chers que ceux de ses concurrents, déjà engagés dans une guerre des prix. Lidl a précisé qu’il ouvrirait ses 20 premiers supermarchés en Caroline du Nord, en Caroline du Sud et en Virginie à partir du 15 juin et 80 autres devraient suivre au cours de la première année, ce qui lui permettra de créer quelque 5.000 postes.
Le leader mondial de l’ameublement a annoncé mercredi la création de plus de 1.300 postes en Grande-Bretagne, un investissement majeur dans le pays qui vient d’enclencher la procédure de Brexit. Le groupe suédois a précisé qu’il ouvrirait un magasin à Sheffield, dans le nord de l’Angleterre cette année. Deux autres, l’un à Exeter, dans le sud-ouest du pays, et l’autre à Greenwich, à Londres, devraient suivre en 2018. Ces nouvelles créations augmenteront de 12,5% les effectifs de l’entreprise en Grande-Bretagne et en Irlande, les portant à quelque 11.700 personnes, a précisé Ikea.
La maison mère de Casino a annoncé hier soir dans un communiqué avoir placé avec succès une émission obligataire de 350 millions d’euros de maturité janvier 2023. Cette émission a été très largement sursouscrite, par une base d’investisseurs diversifiée, avec un livre d’ordres dépassant 2,6 milliards d’euros sur la base des conditions finales. Elle vise à refinancer la souche octobre 2018 et affiche un rendement de 4,375% équivalent au rendement de la souche refinancée. Cette opération allonge la maturité moyenne de la dette obligataire de Rallye.
La première enseigne mondiale de bricolage a annoncé mardi un bénéfice et des ventes à périmètre comparable supérieurs aux attentes, à la faveur d’une augmentation de la fréquentation de ses magasins et du montant du panier moyen de sa clientèle aux Etats-Unis. Son bénéfice net s’est élevé à 2,01 milliards de dollars (1,82 milliard d’euros), soit 1,67 dollar par action, sur le trimestre clos le 30 avril, le premier de son exercice fiscal, contre 1,80 milliard (soit 1,44 dollar par action) un an plus tôt. Le chiffre d’affaires global a grimpé de 5% à 23,89 milliards. Les analystes attendaient en moyenne un bénéfice par action de 1,62 dollar et un chiffre d’affaires de 23,76 milliards.
Macy’s et Kohl’s ont nettement reculé hier à Wall Street, perdant respectivement 17% et 7,89%, après avoir fait part de revenus inférieurs aux prévisions au dernier trimestre fiscal, continuant de souffrir de la concurrence de la distribution en ligne. Macy’s a publié un chiffre d’affaires trimestriel de 5,3 milliards de dollars (4,8 milliards d’euros), contre 5,8 milliards de dollars un an plus tôt et 5,5 milliards de dollars attendus par les analystes. Macy’s a réaffirmé sa prévision sur l’exercice 2017 d’un déclin de ses ventes de 2,2% à 3,3% dans ses magasins ouverts depuis plus d’un an. De son côté, Kohl’s a amélioré ses résultats grâce à une progression de ses marges, mais la baisse de 2,7% de ses revenus à nombre constant de magasins s’est révélée supérieure aux attentes des analystes. D’autres distributeurs ont été entraînés dans leur sillage, JC Penney, Nordstorm et Dillard reculant tous d’au moins 6%.
Macy’s et Kohl’s reculent nettement aujourd’hui en début de séance à Wall Street, alors que les deux chaînes américaines de grands magasins ont fait part de revenus inférieurs aux prévisions au dernier trimestre fiscal, continuant de souffrir de la concurrence de la distribution en ligne.
Zalando, le principal spécialiste européen de la vente d’habillement en ligne, a affiché une croissance de 23% de ses ventes au premier trimestre à 980 millions d’euros, soutenues notamment par la clientèle masculine. Face au ralentissement de sa croissance, le groupe allemand s’est diversifié dans la mode masculine et les équipements sportifs. Le résultat d’exploitation (Ebit) est resté stable à 20,3 millions d’euros, conformément aux attentes des analystes. Soit une marge de 2,1%, contre 2,5% un an plus tôt. Le chiffre d’affaires a augmenté de 17% dans la principale région d’activité de Zalando regroupant l’Allemagne, l’Autriche et la Suisse et de 28% sur les autres marchés plus récents en Europe.
Sainsbury a dégagé un bénéfice avant impôts de 581 millions de livres (686 millions d’euros) sur son exercice clos mi-mars, contre 587 millions en 2015-2016. Ce résultat reflète les baisses de prix et l’inflation des coûts, compensées par des économies de 130 millions et une contribution d’Argos, acquis l’an dernier, de 77 millions, précise le groupe de distribution. «Le marché reste concurrentiel et l’impact des pressions sur les prix de revient demeure incertain. Cependant, nous sommes bien placés pour naviguer dans l’environnement externe», a expliqué Mike Coupe, son directeur général.
Sainsbury a dégagé un bénéfice avant impôts de 581 millions de livres (686 millions d’euros) sur son exercice clos mi-mars, contre 587 millions en 2015-2016. Ce résultat reflète les réductions de prix et l’inflation des coûts, compensée par des économies de 130 millions de livres et une contribution d’Argos, acquis l’an dernier, de 77 millions, précise le groupe de distribution britannique. « Le marché reste concurrentiel et l’impact des pressions sur les prix de revient reste incertain. Cependant, nous sommes bien placés pour naviguer dans l’environnement externe et nous restons concentrés sur la mise en œuvre de notre stratégie », a expliqué Mike Coupe, directeur général de Sainsbury.
Le groupe de vente de mode en ligne Showroomprivé a enregistré un bond de 31% de ses ventes au premier trimestre, à 154 millions d’euros. Les dépenses trimestrielles par acheteur progressent de 11% à 94,80 euros, tirées par la progression de la fréquence d’achat (+8,1% avec 2,4 commandes) et du panier moyen (+2,9% à 39,2 euros). Le groupe a gagné 300.000 nouveaux clients sur la période janvier-mars.
Le groupe de vente de mode en ligne Showroomprivé a enregistré un bond de 31% de ses ventes au premier trimestre à 154 millions d’euros (+22% hors Saldi Privati). Les dépenses trimestrielles par acheteur progressent de 11% à 94,80 euros, tirées par la progression de la fréquence d’achat (+8,1% avec 2,4 commandes) et du panier moyen (+2,9% à 39,2 euros). Le groupe a gagné 300.000 nouveaux clients sur la période janvier-mars. Pour l’exercice 2017, Showroomprivé confirme ses objectifs de chiffre d’affaires compris entre 690 et 720 millions d’euros (+28% à +33%) et de marge d’Ebitda supérieure à 6% (hors Saldi Privati), soit une hausse de 0,6 point.
Marie Brizard Wine & Spirit va décaler de deux ans à 2020 les objectifs financiers du plan stratégique quadriennal «BiG 3.0» lancé en 2014. «L’année 2016 n’a pas été exempte de turbulences: la reconfiguration des réseaux de distribution sur nos principaux marchés, étape indispensable pour atteindre nos futurs objectifs de croissance, a provoqué un effet de déstockage dont l’impact s’est poursuivi au cours du 1er trimestre 2017», a indiqué hier le directeur général, Jean-Noël Reynaud. «Le déploiement des nouveaux réseaux de distribution s’avère moins rapide que prévu», ajoute-t-il. Le plan vise notamment un excédent brut d’exploitation (Ebitda) compris entre 68 et 77 millions d’euros. Le groupe a dégagé en 2016 un résultat net de 6,9 millions d’euros (+17,7%), un Ebitda de 17,1 millions (+52,8%) et un chiffre d’affaires de 431,3 millions (-1,8% en organique). Au premier trimestre, la croissance organique a atteint 2,6% à 86,6 millions.
Fnac Darty a fait état vendredi d’une baisse de ses ventes de 3,2% (-2,9% à magasins comparables) à 1,67 milliard d’euros au cours du premier trimestre 2017, rappelant que la base de comparaison était élevée à la même période de l’an dernier. Le changement de norme de la télévision numérique en France intervenu en avril 2016 avait stimulé les ventes pro forma du groupe qui avaient progressé de 3,8% entre janvier et mars 2016. Le distributeur de produits culturels et électroménagers a confirmé son objectif de synergies de 130 millions d’euros dès 2018, dont au moins la moitié à fin 2017.
Tati, pionnier du discount textile en France mis en vente en février par le groupe Eram, a reçu une demi-douzaine de marques d’intérêt mais encore aucune offre ferme. «Nous avons une demi-douzaine d’investisseurs intéressés, émanant d’industriels et de fonds d’investissement, français et étrangers», a déclaré à Reuters Michel Rességuier, directeur général d’Agora, la structure regroupant les enseignes Tati, Giga Store et Fabio Lucci. Le meilleur projet de reprise sera celui qui permettra de pérenniser l’entreprise et de préserver ses emplois, a-t-l ajouté.
Adidas anticipe une légère contraction de sa marge d’exploitation en Chine à long terme et une forte progression à court terme de celle générée aux Etats-Unis, a déclaré jeudi le président du directoire de l'équipementier sportif allemand. Lors de sa première visite en Chine depuis sa nomination en septembre, Kasper Rorsted a estimé que la marge de 35% réalisée en 2016 en Chine et dans sa région se «stabiliserait et déclinerait légèrement». En revanche, a-t-il ajouté, le marché nord-américain, qui a affiché une marge de 6,3% l’année dernière contre 2,5% en 2015, «rattraperait son retard».